Vous êtes intéressée par un métier dans le milieu de la santé, alors la profession d’infirmière peut répondre à votre demande.
Elle vous garantira une sécurité de l’emploi, car actuellement en France l’offre est supérieure à la demande. A une époque, le gouvernement a dû faire appel à la main d’oeuvre espagnole pour répondre à une demande toujours plus croissante.
C’est une profession tout à fait honorable, mais que les étudiants délaissent pour d’autres domaines professionnels certainement mieux rémunérés. La durée des études est de 3 ans et vous obtenez un diplôme d’état reconnu. La sélection pour intégrer une école d’infirmières se fait par concours, actuellement assez sélectif, ce qui est contradictoire vu le manque de personnel dans les hôpitaux et autres établissements à caractère sanitaire.
Au terme des 3 années d’étude, et après l’obtention du diplôme d’infirmière d’état, vous pourrez exercer votre profession dans les centres hospitaliers, maisons de retraite, ou toute autre structure à caractère sanitaire, tels que les centres de convalescence, de rééducation. Si vous affectionnez particulièrement l’indépendance et l’autonomie, vous pourrez travailler en qualité d’infirmière libérale, où vous mettrez vos compétences et votre savoir-faire en oeuvre au domicile des patients.
Infirmière une profession qui gagne à être connu, et qui exige des qualités telles que la rigueur, le courage, le sens du contact.
Alors, en effet à une période, de courageuses espagnoles se sont pointées en France, mais elles ont vite fait de partir, car salaire pas assez intéressant… Vive la France!!
Aujourd’hui, une infirmière seule avec son enfant, gagne juste assez pour s’en sortir…
Profession très enrichissante, très vivante, instructive, mais aussi dure, car les infirmières sont un pivot dans les servies, et ce sont elles qui encaissent toutes les responsabilités, (coups de gueule des patients, erreures ou absence de prescription). Elles doivent assumer beaucoup, et cela rebute les étudiants : c’est la première raison pour laquelle les étudiants abandonnent la formation : « marre de se faire traiter comme de la m**** » »
Infirmière, un métier privilège, mais dont il faut avoir les épaules…pour ne pas craquer!
On apprend beaucoup sur soi, sur l’homme, de toute origine sociale, géographique, religieuse etc… Et en effet, on trouve du travail encore facilement, ce qui ne va peut etre durer. Les départs en retraite ne sont plus remlacés à l’hopital, ni en clinique, mais, dans la promotion à laquelle j’appartenais (diplomé il y a 10 jours!!!) je ne connais que 2 personnes au « chomage » sur la trentaine d’étudiants que je connais…tous embauchés 2 jours après les résultats. C’est très appréciable!
Un autre point très appréciable, est en effet, la diversité des postes, car meme au sein de l’hopital, d’un service à l’autre le travail et le contact avec les patients est bien différent, donc, la carrière ne peut être qu’intéressante et évolutive.
Voilà, je ne pouvais pas m’empecher de donner mon point de vue!!
Au terme des 3 années d’étude, c’est un bac+2, allez comprendre… peut-être pour plafonner les salaires de fin de carrière autour de 1500 €.
Elle vous garantira une sécurité de l’emploi : c’est de moins en moins vrai, la plupart des professionnels de la santé sont désormais roumains, en particulier dans les petits hôpitaux : il faut s’adapter à l’incompréhension.
Puis l’hôpital a inventé le PRE : Plan de Retour à l’Équilibre. Le grand n’importe quoi siège désormais dans les comités.
Ce que j’ai pu constater, ces 10 dernières années, c’est le nombre important d’infirmières ayant rejoint l’Education nationale,(plus une sinécure pourtant): comme quoi je comprends le peu de jeunes qui se précipitent sur ce métier où il faut tout donner pour recevoir …des clopinettes!
C’est pas une profession, c’est un …..sacerdoce, (à l’origine les infirmières étaient des religieuses)
Parfaitement exact, et c’est pas si vieux !