Peur des adjuvants?

De plus en plus, les maladies que nous connaissons sont dommageables pour notre corps. Les différentes types de grippe, les virus (grippe aviaire, grippe porcine) et autres maladies contagieuses contribuent à la perte d’êtres chers. Heureusement, nous avons la chance d’avoir une technologie plutôt simple pour nous immuniser : le vaccin. Je débâterai de la question suivante : Devrions-nous garder ou enlever les adjuvants du vaccin? De quoi sont faits les vaccins? Y a t-il des effets indésirables causés par les adjuvants? Pourquoi en avons-nous peur? Quelle est la différence entre le vaccin avec adjuvant et celui sans? C’est de quoi il sera question dans le texte qui suit.           

La plupart des vaccins connus et approuvés par le gouvernement sont sans danger pour la population. Bien sûr, vers les années 1918, il existait un vaccin contre la grippe espagnole, mais celui-ci ne contenait pas exactement ce que maintenant nous lui donnons. C’est cette petite différence qui fait toute la différence. À l’époque, le virus n’était pas MORT. En effet, aujourd’hui, le vaccin que nous connaissons contient bel et bien le virus, mais celui-ci est mort. Il ne comporte, donc, aucun risque pour notre santé. Il est impossible de tomber malade par le virus dans le vaccin. S’il y a complication, il peut s’agir d’une réaction allergique aux adjuvants. En effet, ceux-ci sont composés de squalène et de vitamine E tout cela mélangé avec du polysorbate 80 pour conserver une apparence homogène. Le squalène est de l’huile de poisson très purifiée (peut-être de là la réaction allergique). Ces adjuvants servent surtout à accélérer le processus de reconnaissance par le système immunitaire. Pas nécessaire direz-vous? Certainement, mais il ne s’agit pas de l’unique raison du gouvernement : « c’est pour utiliser le moins d’antigènes (virus) possible et ainsi permettre à d’autres pays de recevoir des stocks de vaccins. ». Je crois, donc qu’il n’y a aucune raison de s’inquiété en ce qui concerne les adjuvants. Et pourtant…           

Pourquoi autant de gens ne se sentent pas en confiance avec les composantes du vaccin? Plusieurs rumeurs circulent partout : sur internet, dans les journaux et à la télévision. De bouche à oreille, ces rumeurs deviennent des convictions chez la plupart des gens (même si ceux-ci ignorent d’où provient cette rumeur!). Je crois fermement qu’il n’y a aucun risque avec les adjuvants et qu’il ne faut pas les enlever. En effet, la rumeur concernant la présence de mercure et de métaux lourds dans les vaccins était fausse. Les chercheurs et les scientifiques n’ignorent pas les conséquences du mercure sur l’humain. Je ne comprends pas pourquoi nous saurions que le mercure est dangereux et que les gens qui travaillent avec en ignorerait les conséquences…C’est illogique! Le seul produit  potentiellement dangereux est le thimérosal qui est bien moins présent dans le vaccin que dans le thon que nous mangeons. De plus, la quantité d’huile de poisson est tellement petite et purifiée qu’elle est sans risque pour les gens allergiques au poisson. À court terme, il n’y a aucun risques et à long terme il n’y en a aucun connu jusqu’à maintenant. « plus de 40 millions de doses ont été administrées sans effet indésirable majeur à court ou long terme. »

Il n’y a donc aucun effet indésirable en ce qui concerne le vaccin et il n’y a aucune raison d’être méfiant.           

La principale différence entre le vaccin sans adjuvant et celui avec sont les effets. Je crois encore une fois qu’il s’agit de rumeur lorsqu’il s’agit de préférence personnelle entre l’un ou l’autre de ces vaccins. En effet, le vaccin avec adjuvants est beaucoup plus efficace : «Chez les adultes, par exemple, 95 à 99 % des gens qui reçoivent une dose de vaccin avec adjuvant développeront des anticorps qui les protégeront contre le virus A(H1N1); le taux passe entre 85 et 92 % chez ceux qui reçoivent un vaccin sans adjuvant.»

Beaucoup moins de gens ont la malchance de contracter le virus s’ils reçoivent les adjuvants, car le système immunitaire est stimulé par ceux-ci. Pour ma part je prendrai le vaccin avec adjuvant, car je ne désire pas réduire mes chances d’immunité de 15%. Et vous?             

Pour conclure, je dirai qu’il est préférable de se faire vacciner par le vaccin avec adjuvants et qu’il faut donc les conserver. Si ceux-ci étaient mal vus, ce n’était que par la faute de rumeurs non-fondées. Les composantes du vaccin ne comportent aucun risque à court et à long terme. Il faut donc se demander s’il faudrait garder les adjuvants ou bien d’avoir la maladie par la faute d’un vaccin qui s’est avéré inefficace…



[1] http://www.thechildren.com/fr/sante/pathologies.aspx?cID=&scID=&iID=469

[2] http://www.thechildren.com/fr/sante/pathologies.aspx?cID=&scID=&iID=469

[3] Ibid

image:http://www.couleurgeek.com/efoto/vaccin-piqure.jpg

6 réflexions sur « Peur des adjuvants? »

  1. J’invite d’urgence l’auteur de cet article à parcourir le site du Dr Mar GIRARD qui n’a rien d’un charlatan (il est expert CEE et conseiller pour les laboratoires pharmaceutiques et donc il SAIT, lui, de quoi il parle).

    Dr Marc Girard : « Qui croit sérieusement que, décrits par le Vidal comme « résidus » de certaines spécialités antigrippales, des substances comme la kanamycine ou le formaldéhyde 47 n’exposent aucun foetus à aucun risque à aucun moment d’une grossesse ?… »
    Le formaldéhyde ou méthanal ou aldéhyde formique ou formol est un polluant chimique qui été classé « comme ‘cancérogène certain’ par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui dépend de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) » (Wikipedia).

    La kanamycine est un antibiotique aminoside ; elle est neurotoxique, néphrotoxique et ototoxique ; elle « peut donc entrainer des problèmes rénaux et des pertes d’audition. En effet, comme tous les aminosides, cet antibiotique pénètre très mal certains tissus et se concentre au niveau des reins et de l’oreille interne. La kanamycine peut aussi déclencher des réactions allergiques. » (Wikipedia).

    Suivant une communication de la Commission, du 2 février 2000, sur le recours au principe de précaution :
    « Le principe de précaution peut être invoqué quand il est besoin d’une intervention urgente face à un possible danger pour la santé humaine, animale ou végétale, ou pour la protection de l’environnement dans le cas où les données scientifiques ne permettent pas une évaluation complète du risque. Il ne peut pas être utilisé comme prétexte pour des actions protectionnistes. Ce principe est surtout appliqué pour les cas de danger pour la santé publique. Il permet, par exemple, d’empêcher la distribution ou même de retirer du marché des produits susceptibles d’être dangereux pour la santé. »

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  2. Suite :

    « Marc Girard expose les coulisses de la grippe A: autorisation à l’aveugle de vaccins non testés et probablement inutiles, risques d’effets secondaires, mécanismes de désinformation…»

    [Grippe A et femmes enceintes : surévaluation par surmédicalisation et biais]
    « (…) le mythe d’une dangerosité toute particulière chez les femmes enceintes ressortit le plus probablement de cette remarquable bénignité :
    •d’une part et compte tenu des effectifs ridiculement faibles tels que disponibles actuellement, cette pseudo surreprésentation obstétricale n’a aucune significativité statistique démontrée ;
    •à une époque de surmédicalisation hystérique de la grossesse 21, il va de soi que par rapport à une maladie bénigne pour laquelle nombre de sujets atteints ne consultent même pas, les femmes enceintes sont bien plus susceptibles que les autres d’avoir consulté à la moindre poussée fébrile : il s’agit-là d’un biais 22 au sens statistique du terme. »
    [Etonnant revirement par rapport à la prudence et aux règles habituelles]

    Quatre catégories de personnes ont toujours été considérées comme des « espèces protégées » : les sujets âgés, les femmes enceintes et les enfants – auxquelles ils convient d’ajouter les personnes déjà fragilisées par des pathologies graves ou multiples (…) Les protocoles d’étude excluent de principe ces sujets ».
    Sans parler des mises en garde contre l’utilisation de telle molécule chez les femmes enceintes. Or tout change avec les vaccins contre la grippe A H1N1, les règles habituelles sont complètement retournées : « les sous-populations le plus susceptibles d’être immédiatement visées par ce vaccin issu d’un développement bâclé sont, précisément : les sujets âgés, les sujets déjà très fragilisés par une autre maladie 45, les femmes enceintes et les enfants – et même « les très jeunes enfants » (…).
    Il faut le dire tout net : c’est du n’importe quoi. »

    >>>

  3. Suite et fin :

    « Compte tenu de la prudence, voire de l’intransigeance habituelles des autorités sanitaires concernant les femmes enceintes, « comment justifier la précipitation avec laquelle des femmes enceintes vont se trouver exposées à un vaccin dont les composants (principe actif tout autant qu’adjuvants ou conservateurs) n’auront même pas été soumis aux prérequis normalement incontournables des tests chez les animaux, lesquels sont forcément longs puisqu’ils peuvent porter sur plusieurs générations successives ? Qui croit sérieusement que, décrits par le Vidal comme « résidus » de certaines spécialités antigrippales, des substances comme la kanamycine ou le formaldéhyde 47 n’exposent aucun foetus à aucun risque à aucun moment d’une grossesse ?… »

    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/09/22/marc-girard-expose-les-coulisses-de-la-grippe-a-des-conflits.html

  4. Tout faire comprendre à des gens qui n’ont pas besoin de savoir.

    [b]Les virus médicaux n’existent pas ![/b]

    [b]Les mots inventés[/b]
    Le mot « virus » fait partie de ces mots à caractère imaginaire. Ces mots inventés permettent d’échafauder des explications pour tout faire comprendre à des gens qui n’ont pas besoin de savoir. [i](Des méthodes de curés)[/i]

    Exemples : « Illuminati, Triatérale, Virus, Etc.

    La cuisine diabolique des croyances (Sida)
    http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/25/la-cuisine-diabolique-des-croyances/

    Les virus de curés
    http://levirusmachin.hautetfort.com/

  5. Fort de cette conclusion, je viens de consulter Resip – Banque Claude Bernard, qui expose qu' »en l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments. » pour le « A/California/7/2009 (H1N1)v VACCIN FL+FL 50 (CVA) Voie intramusculaire »

    Pour le reste, surtout lorsqu’on sait où mène le squalène, je recommande la lecture de cet article écrit par un médecin : http://www.atoute.org/n/article134.html

  6. le vaccin avec ou sans adjuvant contient du mercure demandez a votre medecin! ensuite le virus c’est arrete a la frontiere francobelge car chez eux il recul, etrange non!
    je trouve honteux de faire paniquer des tas de parents alors que si cela etait si dramatique qu’ils veulent bien le faire croire sarko se cacherait pas derriere bachelot, il prefere signer des accords avec obama pour envoyer nos jeunes en guerre, bien sur avec tout ce remu menage on entend plus rien, transparence dit-il oui mais les yeux bandes

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