AVERTISSEMENT 

Cet article ne parle pas des femmes, ni de la nature véritable des femmes, ni même de leurs différences avec l'homme, de leurs caratères ou de leur rôle… mais uniquement DE LA FEMINISATION DE LA SOCIETE en tant qu'outil de manipulations et propagande politique, de transformation de nos sociétés (qui se poursuit en direction des sociétés musulmanes par exemple) pour déconstruire le Traditionnel !!

Derrière ce qui apparaît comme des avancées sociales (méfiez vous du mot "social") il y a aussi des plans. Les choses n'arrivent pas au hasard ni de nulle part. Des gens pensent et orientent, à travers certains leviers, nos comportements, nos esprits, nos désirs. Ils n'ont pas besoin de tout contrôler pour cela, car notre société est un système en étoile, un système CENTRE : on a mis l'intelligence, le processeur, la puissance de calcul et l'information au centre, et en périphérie on a des terminaux passifs et débiles (C'est une image prise à mon article : "L'internet aujourd'hui, c'est du Minitel 2.0) qui se branchent sur l'ordinateur central (idem pour la TV). Les contenus au centre ne vous appartiennent pas. Et lorsqu'il vous appartiennent, ils ne se trouvent pas sur votre machine (cerveau), mais au centre, chez le propriétaire central qui stocke tout, manipulant les convictions à sa guise.

Notre univers physique n'est que l'aspect émergé, visible, d'un autre plan : notre univers véritable est un système de croyances. 

J'espère qu'il y aura au moins une femme qui pourra le lire et le comprendre ainsi, plutot que d'y voir une critique machiste, ce qui est un refus de débattre, voire d'accepter d'avoir été manipulée, ne serait-ce que pour des profits financiers.

La médecine est un business, la sécurité l'est devenue à son tour (voir mon article sur : "La boule à facettes de Nicolas Sarközy de Nagy Bocsa")

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Toutes les petites filles souffrent de leur absence de pénis, c'est connu : on touche au vrai pouvoir féminin ancré profondément aussi bien chez les hommes (il est juste masqué chez les hommes) que chez les femmes, quand on dépasse cette illusion des sexes qui nourrit notre sentiment d'incomplétude.

Dans l'article récent de @Sophy : "La crise, et la GUERRE DES SEXES…", j'ai trouvé de quoi nourrir ma réflexion à ce sujet !

 

1/ Une étude venue des USA ? On sait ce que vaut les études désormais, quelle objectivité elles possèdent là-bas, et maintenant chez nous : elles servent les intérêts de ceux qui les financent, mais passons ! Les faits sont-là. On licencie les hommes, est-ce une fatalité ? NON, c'est l'étape d'un Plan, celui du nouvel Ordre Mondial à venir.

2/ On voit combien il est opportun et facile de flatter les femmes pour en obtenir quelque chose : leur capacité à travailler pour "rien" est légendaire. Voilà pourquoi on les trouve partout. Les entreprises y trouvent des armées de « sous-mises », de suiveuses…

Encore que la Résistance en France et en Europe peut s'enorgueillir d'avoir compté dans ses rangs, ou d'avoir bénéficié de l'aide, du soutien, de quelques femmes courageuses et engagées.

3/ Pourquoi y a t-il eu la féminisation de la société ? Parce que les femmes ne risque pas de faire la révolution en période de crise (v 2/), contrairement au pouvoir masculin. Le mode de fonctionnement féminin consiste à faire progresser les choses dans le cadre existant, SANS JAMAIS LE REMETTRE EN CAUSE. Au contraire, les hommes provoquent le changement en appelant une tranformation du cadre : c'est la Révolution.

La féminisation de nos sociétés occidentales, venue des USA, avait bien pour objet d'affaiblir le pouvoir central et traditionnel des hommes en leur soumettant la concurrence de leurs compagnes, lesquelles jouaient ainsi, sans même le savoir, le rôle de l'immigration voulue par le patronat pour faire baisser le coût du travail, soit les salaires.

(Le même stratagème est employè par les autorités invisibles du  Marché pour déconstruire la société Musulmane de nos jours et s' ouvrir ainsi de nouveaux travailleurs et consommateurs, féminins comme masculins)

Il suffisait d'agir sur le pouvoir d'achat ou le coût de la vie des familles pour favoriser le deuxième emploi, d'inoculer à la « société des désirs-frustrations » le modèle le plus individualiste : l'illusion d'un pouvoir féminin indépendant (en fait dénaturé), alors que celui-ci est par essence coopératif.

Ne lui avait on pas retiré au passage la garde des enfants en abaissant l'entrée de ceux-ci à l'école ? Eduquer par l'Etat les prochaines générations permettait d'empêcher la transmission de l'histoire familiale qui assure l'enracinement et la construction personnelle, pour un arrimage à une autorité et une existence plus impersonnelles propres à la servitude ou au service sans conscience des réalites historiques, donc ouvert à toutes les formes de propagandes.

L'inversion des genres et des vérités continua dans ce sens  ne rencontrant que des serviteurs dévoués jusque dans la médecine sans âme mais pas sans argent : prôner la pilule (libérer l'utérus de la tutelle d'un seul mâle) pour faire croire à ces dames qu'elles accédaient à une forme de liberté même intérieure…

Le piège a toujours bien fonctionné et fonctionne encore contre la fidélité : la dégénérescence des mentalités et des comportements a suivi et de nombreux Judas, seulement fidèles à eux-mêmes, hantent les rues, les réceptions, les hôtels !

L'OBSESSION DU SEXE INSATISFAIT et l'identification à des modèles sans personnalité, sont devenues prégnantes à travers des images publicitaires et magazines érotisés à outrance, où le corps est dénudé comme jamais avant.

La frustration aide la semi-dépression si nécessaire au maintien de la société de consommation, laquelle est la vitrine respectable d'une détestable société de production dévastatrice de l'humain, de l'animal et du naturel dans son ensemble.

Le New-Age est venu par-dessus pour offrir l'illusion d'un choix à une fausse spiritualité féminine : il fallait en effet maintenir les gens dans la laïcité-marchande, dans une vision bi-polaire du monde et de l'humain, loin du religieux intemporel qui favorise l'Unité (les grandes vérités traditionnelles) pour continuer de faire croire à l'individualité (l'individualisme) comme seule essence fondamentale de notre Etre, même le plus intérieur, pour faire croître l'étendue et l'emprise du Marché sur nos existences et besoins.

4/ Politiquement, cela s'est manifesté par la PARITE en France : l'ouverture de la politique, mais aussi de l'armée, de l'administration, puis à des postes de hauts responsables dans de grandes entreprises de l'économie, en plus de l'apparition de la caissière de supermarché, première transformation par le Marché de l'ouvrière d'usine, relève également de cet affaiblissement du masculin si nécessaire à la bonne marche vers le nouvel Ordre Mondial dont on nous dit que personne ne pourra s'y opposer.

Ainsi, on s'assurait que les revendications ne seraient plus aussi radicales que par le passé et resteraient confinées à la douceur du papier-toilette, au prix du ticket restaurant et à la garde des enfants les mercredis après-midi.

Les femmes ne sont pas des "animaux politiques" dans leur grande majorité, ayant surtout développées la relation plutôt que l'action, à travers des ancêtres qui dans les grottes s'occupaient des enfants pendant que leurs hommes couraient à la chasse.


« PARTOUT OÙ LES FEMMES ARRIVENT EN MASSE, C'EST QUE LE POUVOIR A DISPARU » Eric Zemmour