Bien sûr ce que je vais dévoiler dans cet article n’a rien de nouveau, mais je pense qu’il est parfois bon d’effectuer une piqûre de rappel, pour essayer, bien que cela soit utopique de faire bouger les choses, au moins pour les générations futures.

 

Un récent rapport "remet sur le tapis" les méfaits que peut avoir sur la santé, l’emploi excessif dans l’agriculture, de pesticides et autres agents chimiques.

Il est à présent établi, que les causes de certaines pathologies dont on ignorait encore les origines, seraient en grande partie liées à l’utilisation de ces produits.


Certes des efforts en la matière ont été réalisés, tels que la l’interdiction des épandages depuis 2009 (ou sur dérogation dans certaines régions) et celle de certains agents hautement nocifs… Mais le mal semble t-il, est fait.

 

Il existe en ce moment en France plus de 300 pesticides utilisés pour éliminer ou encore repousser des nuisibles, tels que champignons, insectes ou bactéries, mais il semblerait d’après d’éminents scientifiques, que leur action se soit largement étendue à l’homme.

En effet des doses massives se retrouveraient dans l’eau que nous buvons, dans l’air que nous respirons, sur le sol que nous foulons et bien entendu dans ce que nous mangeons.

 

Les autorités médicales sont formelles, ces produits chimiques sont directement associés dans le développement de maladies telles que la maladie de Parkinson, ou encore le cancer de la prostate, de la peau, du sang et bien d’autres encore.

Neurologiquement parlant, chez les personnes les plus exposées, les risques de contracter la maladie d’Alzheimer, ou encore la sclérose latérale amyotrophique, seraient nettement plus importants.

On parlerait d’un mécanisme de libération des dérivés toxiques, dans l’oxygène des cellules sanguines.

 

L’influence des pesticides est bien entendu plus importante, chez les utilisateurs de ces produits, comme les agriculteurs par exemple, mais la qualité volatile des agents chimiques, ferait qu’ils soient transportés dans le voisinage des exploitations.

On aurait d’ailleurs constaté, des malformations congénitales chez les enfants, dont les mères durant leur grossesse, auraient habité près de certaines zones agricoles.

Une baisse de la fertilité masculine aurait elle aussi, été notée.

 

Face à ces phénomènes inquiétants, la Direction Générale de la Santé (DGS), aurait récemment demandé à l’Inserm de lui remettre un rapport précis, de toutes les études scientifiques qui auraient été réalisées sur le sujet, depuis ces 30 dernières années.

 

 

Espérons que des budgets scientifiques suffisants, seront alloués à ces équipes de chercheurs, qui semblent vouloir œuvrer, pour qu’un jour, si ce n’est pas trop tard, nos enfants puissent vivre sur une planète plus propre…