CLEARSTREAM-EADS: Le syndrome du sarkozysme.

Jean Galli-Douani est toujours à la recherche d’un éditeur suite à la décision des Editions Bénévent d’abandonner la publication de cet ouvrage, suite à des pressions émanant du ministère de l’Intérieur.

Tout d’abord  je vous fournis un papier Eric Biegala datant de 2006 sur l’affaire Jean Galli-Douani, histoire de vous familiariser avec le sujet.

Puis Jean Galli-Douani nous offre une version humoristique des derniers événements de l’actualité, entre barbouzes et corruption, la pertinence du texte illustre parfaitement la dérive de la classe politique sous l’ère de sa seigneurie Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa dit Nicolas Sarkozy.

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« Des affaires sensibles »

Eric Biegala a enquêté sur la façon dont les autorités traitent les affaires dites « sensibles ». Illustration avec un exemple, qui concerne le fonctionnement du ministère de l’intérieur il y a quelques années.

Il s’agit d’enquêter sur la police et c’est là que le bât risque de blesser. Au départ, il y a un contrat passé entre le ministère de l’Intérieur et la société de Jean Galli-Douani : Sud Accueil. Il visait à organiser les voyages et l’hébergement des fonctionnaires du ministère lorsqu’ils étaient en déplacement. Aujourd’hui ce contrat, cette « convention », est réputé n’avoir jamais existé. Les fonctionnaires de la place Beauvau produisent à sa place un autre contrat, pour les mêmes prestations, un contrat qui aurait été passé entre le ministère et l’UGAP, l’Union des Groupements d’Achat Publics, un faux affirme aujourd’hui Jean Galli-Douani :

Extrait interview Jean Galli-Douani :

« Le ministère de l’intérieur m’a remis, il y a un peu moins d’un an, un document qui s’est avéré être un faux document : il s’agissait d’une convention qui avait été signée en 1994 entre le ministère de l’Intérieur et l’Union des Groupements d’Achat Publics. Or, il y a une déclaration d’une personne du ministère de l’Intérieur qui confirme qu’il existait bien la convention entre le ministère de l’intérieur et ma société Sud Accueil. Alors là on attaque sur la base de Faux et usage de Faux commis par personne détentrice de l’autorité publique, ce qui qualifie la procédure en « criminel ». »

Les peines encourues par les fonctionnaires qui se seraient rendus coupables de ce faux sont de l’ordre de 7 ans de détention et 100 000 euros d’amende. Reste que tout ça ne serait jamais qu’une sombre dispute entre une autorité publique et un prestataire privé autour d’un contrat, s’il n’y avait derrière un fort soupçon de trucage des marchés publics. Maître Gilbert Collard est l’avocat de Jean Galli-Douani.

Extrait interview Gilbert Collard :

« C’est le premier acte d’une plainte qui, on l’espère à travers l’instruction qui va être diligentée, permettra de comprendre le mécanisme de passation des marchés au sein du ministère de l’Intérieur. Le but de Monsieur Galli-Douani c’est de dénoncer les conditions dans lesquelles l’attribution de certains marchés sont passés. Le faux qui a été produit à la justice et à propos duquel on demande qu’une instruction soit conduite doit permettre de démontrer la réalité tout à fait discutable et critiquable de la passation de certains marchés. »

Il semble bien que cette histoire de faux ne soit qu’un prétexte. L’arbre qui cache la forêt.

En clair, et pour reprendre l’expression d’un conseiller du Service Central de Prévention de la Corruption, qui a eu connaissance de l’affaire : « on ne peut qu’envisager l’existence d’une caisse noire » au sein même du ministère de l’Intérieur, alimentée par des marchés truqués.

S’il estime devoir chercher au-delà du « Faux », le juge d’instruction devra élargir son enquête et pour ce faire, demander l’autorisation au Parquet. C’est là que les ennuis commencent ! Nicolas Blot secrétaire général de l’Union Syndicale des Magistrats et vice procureur au parquet du tribunal de Paris.

Extrait interview Nicolas Blot :

« C’est en effet là que les ennuis commencent parce que le Parquet n’a pas toujours la volonté d’étendre les faits dont le juge est saisi. D’autant plus que l’ancien procureur de Paris qu’est Yves Bot, devenu Procureur Général, avait annoncé publiquement qu’il voulait limiter les saisines des juges d’instruction en matière financière et faire des enquêtes préliminaires c’est-à-dire ne pas saisir des juges et commencer par voir ce qu’il y avait dans un dossier avant de saisir un juge d’instruction. C’est un peu une mesure que nous avions considéré nous à l’Union Syndicale des Magistrats comme une mesure de défiance à l’égard des juges d’instruction, et aujourd’hui si vous allez enquêter au pôle financier, vous vous apercevrez qu’on multiplie quelque fois dans les affaires sensibles les enquêtes préliminaires ce qui ne fait que retarder les enquêtes et la manifestation de la vérité. »

Autre problème : déterminer le service policier qui se chargera d’une enquête sensible. Des gendarmes enquêteront lorsque des policiers sont en cause et inversement. Délu Bouvier du Syndicat de la Magistrature a longtemps été juge d’instruction.

Extrait interview Délu Bouvier :

« On veille à ne pas désigner des services de police lorsque c’est un policier qui est en jeu et vice versa et puis aussi on a des enquêteurs avec qui on a des relations de confiance, de loyauté parce qu’on les a connus dans d’autres affaires, on connaît leur courage, on connaît leur indépendance d’esprit et heu. Personnellement, en tant qu’ancien magistrat instructeur, ancien juge d’instruction, c’est ça : lorsque je connaissais une section de recherche de gendarmerie dont je connaissais la technicité et l’indépendance d’esprit et bien j’essayais de faire en sorte de les saisir eux, en espérant qu’ils résisteraient aux pressions et les pressions elles sont constantes dès que l’affaire est sensible. Il est notable et incontestable que la police judiciaire qui actuellement dépend du ministère de l’Intérieur n’est pas libre ou n’a pas la liberté qu’on pourrait souhaiter pour mener certaines enquêtes pénales – ça c’est un véritable problème auquel sont confrontés régulièrement des magistrats instructeurs dans des affaires un peu sensibles. Nous sommes assez nombreux à l’instruction à pouvoir témoigner de mésaventures de ce type. »

Difficile en effet de garantir la neutralité d’officiers de police qui auraient à enquêter sur – par exemple – les agissements de hauts fonctionnaires du ministère de l’Intérieur ! L’inspection Générale de la Police Nationale, la police des polices, a entendu Jean Galli-Douani il y a 3 semaines. L’IGPN dispose aujourd’hui de pièces mettant en lumière un possible trucage des marchés publics passés par son ministère de tutelle. Théoriquement, elle pourrait en référer à la justice.

Un dossier d’Eric Biegala, en direct de Marseille.


 

 

MAM: MEMERE A MATIGNON

La mère matrone, dite « la passerelle », dite « femme à lunettes », ambitionne un max depuis quelques temps. La kafkahyène veut ramener sa clique à la moitié céphalique de l’état sarkozyste.

Mister Président, lui, n’apprécie pas franco les prétentions de la luzienne. Il verrait d’un meilleur esprit que tantine se débarrasse d’abord de sa troupe de mercenaires véreux avant d’adouber.

Reconnaissons, pour une fois, que le cabinet est plutôt mal famé.  Mémère, la régalienne, traine avec elle une bande de scélérats compromis dans de scabreuses nuisances.

-David SENAT, « dit « le beau parleur », dit « Dada la balance », ou encore « le tuyauteur de cabinet », a de fâcheux antécédents. Le sournois a une réputation de barbouzeur à faire pâlir Poutine.

-JEVAKHOFF, dit « le bottier », dit « coup de pied au cul » et « Raspoutine », plus fou que moine. Considéré dans le milieu comme l’alchimiste de la trésorerie, a fait ses classes chez le grand Charles, ce qui lui vaut une signature chez les malfrats. Il serait né en même temps à Istanbul et à Paris, bref un magicien, un fortiche.

-Ludivine OLIVE, dite « « Lulu peau de chien », dite « la simplette », benjamine du cabinet.

Bref, la petite troupe d’aigrefins pourrait, selon les rumeurs, se retrouver à Casbah 2.

Si tel est le cas, l’ère du flingue est arrivé. Mémère n’est pas réputée pour faire dans la dentelle bretonne, sa spécialité c’est le pétard, la bastos dans le dos.

L’infanterie et la flicaille en ont gardé un grand souvenir.

La peloteuse manigance à bloc, elle veut lourder François le français.

Mon voisin Xavier, dit « Bébert », est bouffi par la charcuterie grande surface. Habitué à cirer les pompes à « tellement qu’elle est belle », sent son heure arrivée. Il dit que les sbires de tantine veulent le déposer et l’exiler en Roumanie,(c’est une manie). Le futur immigré UMPiste en a vomi son 4 heure, de la rillette, ses copains l ‘appellent Cochonou.

Ceci dit, la délinquante chancelière va défourailler au silencieux, ni vu ni connu, elle enroule « Rase-moquette » et investie Sarkoland.

Elle a cafeté « moi y en à vouloir des sous », le condé de Chantilly, qui s’y voyait déjà. Y a des fuites chez tantine, à son âge c’est normal. Le naïf ne pèse pas lourd à côté de Folcoche.

Le hic c’est que l’Inox de Matignon à la côte du populo, « plus t ‘est con, plus t’es bon », s’accroche comme le lierre.

Mais il est possible que Borloo, dit « l’apéro », dit « 102 », vienne sapé les plans de la mégère.

En attendant la pétarade, je vous salue !

UN BARBU, C’EST UN BARBU

TROIS BARBUS, C’EST DES BARBOUZES

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Il paraît que l’air du château est irrespirable, force est de constater que ça sent le pâté sous le tapis. L’immigré hongrois y fréquente une bande de pieds nickelés (nos amis Croquignol, Filochard et Ribouldingue…!!) réputés teigneux. Pour tout arranger, la tenancière de Vendôme aurait des prétentions pour squatter la rue de Varenne.

Elle se serait même payer le luxe de torpiller le « fisqueux de l’Oise » que Bling-Bling voyait chef de la troupe de schpountz.

Le cab de la chancelière aurait ainsi balancé à bloc.

Eric, dit « le yanky », a donc les « golden-fighters » de Vendôme au train, avec la complicité de quelques vilains du papier.

Le crétin démocrate, secrétaire cire-pompe de sa gracieuse majesté a eu ordre de riposter et de faire le ménage. Il a envoyé les barbus de Herr Général de la flicaille chez les barbus de MAM.

Le squale de service, un indélicat prétentieux, a renfilé son treillis de campagne baillonnette au canon, juste pour écouter se qu’il se disait chez la voisine de Van Cleef.

Le va-en-guerre n’est pas un inconnu, il aurait fait du jambon corse à une époque oû son patron passait ses RTT chez les Visiteurs.

Mon voisin Hans, n’est pas très bien, il est très déçu, lui qui voyait déjà une nouvelle nuit de cristal en plein Paname, avait sorti son drapeaux auvergnat et son Mauser. Il espérait un carnage au couteau et à la scie circulaire, que nib, les barbus ont signé l’armistice in-extremis et mis fin aux instincts sanguinaires.

Comble de bonheur, le globicéphale de Bauveau est furax, il s’est pété une canine en gobant un « baba au rom », il a crié « Sabotage!!! ». Connu pour écrire comme il parle (doberman oriental), il a promit de joyeuses ballades aux voleurs de poules tous frais payés.

Au niveau com, le pauvre garçon dévisse savamment. On lui a adjoint un jeune poulpe, un dénommé Eric lui aussi, surnommé « crâne d’œuf », mais plus connu sous le sobriquet de « salade niçoise ». Monté d’un QI défaillant, le résultat est calamiteux, le nain des Carpates a vraiment un gros problème de casting, être bigot à ce point, c’est pas un art, c’est un don de dieu.

Bref le service d’ordre de Mamy GaGa a pris du plomb dans l’aile, il sont passés au tamis, « DaDa la balance » s’est fait expédier casser du cailloux au pays du piment, il paraît même qu’il va se faire satelliser. La Mamy va devoir réviser son cahier des charges au prochain remaniement de Mister président et son dir-cab est dans le collimateur de toute une tribu d’indiens qui veulent se faire son scalp.

Bref, la barbouzerie est en sursis et ses heures sont comptées. Mais comme on dit dans le milieu, les barbus se reproduisent comme des lapins!

 

CHOUX BLANC A BRUXELLES,

LA PROSTATE DE MANNEQUEN-PISSE

Le globicéphale de Bauveau a foutu le feu à Bruxelles après ses exécrables déclarations. Fier de lui, l’ignare nous a balancé un discours à la Gobbels. Le niais dépassé par ses ardeurs a envoyé une missive à ses préfets qui lui revient droit dans le pif.

Les députés, le pape et tout le vieux continent veulent le tailler en fines tranches.

Bling-Bling, pas plus fin que Brice Vidocq, en rajoute une couche. Y a pas à dire, la diplomatie du château fait merveille, les « Experts » du palais n’en ratent pas une, va falloir les bâillonner avant une déclaration de guerre. Il paraît même qu’il a voulu étriper le mangeur de morue dans un excès de colère.

Tout ça pour une métaphore déplacée de la commissaire originaire de l’Anschluss qui, furax, aurait chambré Grincheux. On dit que c’est « la dame à la baguette » qui a dû cachetonner son Zébulon pour éviter un rage nucléaire. Non, vraiment, on a eu chaud.

Du coup, François le français est allé fissa chez les moules-frites pour taper le carton et adoucir les mœurs. Il a réuni les épées locales et débouché une gnole pour sceller une trêve avant le carnage. Pas convaincues, elles ont lourdé « prime-minister », le plat pays n’est pas le sien.

Mon voisin, Jef, est atterré, il est pas au mieux, sa prostate le taquine. Il pensait pas que le pays des droits de l’homme était à ce point vérolé. En trois ans le « barman du Fouquet’s » nous a taillé une réputation de pestiférés.

Aller, pleures pas Jef

Maintenant les gougnafiers veulent dédouaner. Il font croire qu’ils l’ont pas fait exprès. Se faire prendre pour des cons, nous, frenchies, ont a l’habitude, mais enfumer l’Européan-ligue, c’est plus que risqué.

Les saxons, les teutons, les latinos et autres ne vont pas se faire prendre pour des pots de fleurs. Attila, va encore nous tomber dessus.

Le tyran hongrois pas encore rassasié et aussi stratège qu’une bétonnière en a remis une couche.

Il s’est pointé chez le chanteur de Fado, a allumé le preux commissaire et lui aurait joué façon « secret story ».La saucisse prussienne serait intervenue en vain pour désamorcer l’esclandre de Fa dièse (en référence à la note la plus proche du sol). Du coup le vilain qui s ‘est fait tancer par la marchande de choucroute est allé baratiner que tout le Reich était derrière lui. Décidément rien ne l’arrête lilliputien.

Bref, tout ça cause des manouches!

Moi je crois que « l’homme qui marchait sur sa veste » essaie de nous faire oublier les turpitudes de « l’homme qui parlait aux oreilles des chevaux ».

Moralité: Manneken-pis bégaie!

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