1) Sur le PROBLEME de LA LIBERTE et de la DIGNITE HUMAINE, sans revenir sur SARTRE, quelle est la position éclairée de notre ELITE sur LA MORT ou la FIN DE CYCLE DE LA VIE qui est structurée en communion avec celles de l’UNIVERS (et non pas en contradiction !), sur l’EUTHANASIE ? !
-Inutile de commencer un grand discours !
-Les gens qui font partie des privilégiés n’ont aucun souci.
-Tout se déroule on ne peut plus discrètement (intelligemment !)
-Mais les mêmes et leurs médecins (ouverts !) refusent la légalisation de l’euthanasie sous divers prétextes ! ! !
* Europe 1, le 27/02/08, 13h50, a interviewé Madame Chantal Sabire (52 ans, ancienne professeur des écoles) souffrant de manière insupportable d’une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale, ayant décidé de partir prochainement, via un séjour à l’étranger si M. Sarkozy ne réagissait pas positivement à sa demande d’autorisation.
Elle nous a administré une leçon de philosophie qui aurait dû (impossible de constater par radio) faire rougir de honte M. Morandini et M Pelloux (médecin assez sympathique mais qui a mis en avant des réserves trop classiques …et qui ne voulait entendre le son « nasie » ! Il écrit pourtant dans Charlie hebdo … ?)
Mais non, ils sont des représentants « dignes » de l’élite et se doivent de la défendre !
RESTE UN ESPOIR POUR QUE LA FRANCE NE CONFIRME PAS UNE FOIS DE PLUS SON PASSEISME, Que le président de la rupture intervienne.
(Il est sûr qu’avec Me Fée « Sourire » ou … ou M. Chirac, c’était plombé, inutile d’attendre. Eh oui !)
Et j’imagine déjà la Presse tenter de RACOLLER LES CLIENTS en publiant des ridicules trucs sur « Zorro est arrivé ! » puisque ne reculant devant aucune ignominie !
2) Un mystère n’entoure-t-il pas les comportements de notre dite élite ?
(Le masculin neutre sera utilisé)
Nos intellectuels, philosophes, écrivains et la classe « cultivée » se régalent (« jouissent ») devant les chefs-d’œuvre de l’art (Dans le désordre, peinture, musique, danse, littérature, etc.), y trouvent donc le plaisir ou/et le bonheur.
(Le silence sur la vraie dignité humaine, la mort, l’euthanasie, est assourdissant !
Quand le « libre arbitre » est évoqué, c. à d. fréquemment puisque ils se piquent de se battre pour l’avènement de« la liberté », il ne concerne jamais la mort ! ! !)
Cela étant signalé, ne pourrait-on pas déceler au moins deux degrés de « consommation culturelle » selon la combinaison et la puissance des activations des composantes du cerveau ? !
Il est clair que le cerveau des émotions est à la fête puisque la recherche du plaisir est l’une de ses tâches principales.
Les louanges (et les termes qui les accompagnent) réservés à certaines œuvres, spectacles, manifestations, etc., sont-ils le produit du cerveau des émotions ou/et du néocortex ?
Celui-ci est-il vraiment opérant s’il n’analyse pas la situation globale, s’il ne replace
pas l’œuvre ou l’événement dans le contexte, en perspective ?
Il est vrai que M. Michel Rocard faisait remarquer très justement que la France ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde !
Mais encore !
– Si on ne pouvait pas tout changer, soulever des montagnes ou (dit autrement)
– si on n’était qu’une goutte d’eau dans l’océan,
– ces constats justifieraient-ils notre laisser aller sur des points particuliers (surtout lorsqu’ils nous apportent une sorte de « bien-être » primaire ou/et secondaire) ?
Le fait d’être seulement un exécutant (dans le sens où il existe des règles ou tendances qui régissent le mode de fonctionnement du groupe dans lequel on vit : par ex. les Français en France ou les Allemands en Allemagne) donne-t-il le droit ou justifie-t-il l’attitude consistant à se modeler en conformité avec celles qui l’animent ?
Les intellectuels privilégiant (par définition) l’intérêt du néocortex, peuvent-ils se considérer comme des exécutants ? ! Ou comme des personnes ne doutant pas des apparences ; ne les remettant pas en cause et donc, légitimement, ne cherchant pas plus loin ? !
Sinon, de quoi pourraient donc être constitués leurs contentements sans fin ou presque au milieu de la dite « Culture … » ? !
Il y a quelques siècles, les nobles, le clergé, rayonnaient et, entre autres, construisaient de gigantesques demeures (châteaux, cathédrales, etc.). Il y a quelques décennies, à un niveau nettement moins sophistiqué, le nazisme déborda son cadre de secte. Les Allemands, en tant qu’exécutants, ne trouvèrent rien à redire ! M. Pelloux ne rencontrerait-il pas ici l’explication qui lui manquait ? !
Ces temps seraient-ils révolus ? !
J.-P. Sartre eut le mérite de démontrer dans l’espace de sa théorie de la « liberté existentialiste » que la « mauvaise foi » conduisait à devenir un « lâche » et un « salaud » !
Autant son raisonnement était rigoureux, autant son résultat s’est évaporé !
dans tous les cas, si son référentiel était peut-être faux, peu de gens ont épilogué, placé les points sur les « i » !
3) Cette stratification sera-t- elle perpétuelle ?
L’image des dérives tectoniques et des points de rupture qui parfois déclenchent des bouleversements, des changements d’ère, est-elle réellement obsolète ? !
(Il est à noter que, il y a quelques années, certaines personnalités proclamaient la fin de l’Histoire ! De Gaulle n’aurait-il pas pu réutiliser l’expression « Vaste programme » ? ! )
Qu’on soit littéraire ou pas, les rôles des forces centripètes et centrifuges pourront-elles être encore longtemps ignorés ?
Ne nous déterminent-elles pas ? !
Tout ensemble, matière (formée d’atomes, d’électrons, etc.), n’est-il pas cohérent parce que ses éléments sont et demeurent liés entre eux par diverses relations, sont maintenus par des forces centripètes les attirant les uns les autres ?
Une société ou une civilisation échappe-t-elle à cette règle ?
* Des morales, des tabous, des normes, des relations de communication, des forces coercitives, etc., ne soudent-ils pas ou ne font-ils pas cohabiter les différents éléments ? Ne constituent-ils pas des forces centripètes ?
Des forces centrifuges n’existent-elles pas sous la forme des oppositions, des protestations, des rebellions, etc., mais remettent-elles en cause l’existence de l’ensemble ?
Si jamais les rapports s’inversent, tout ne se désagrège-t-il pas ?
N’est- ce pas ainsi que l’Empire romain, devenu trop grand, s’est effiloché, s’est désintégré ?
* Notre Civilisation judéo-chrétienne, dépendante de l’addiction « Toujours plus » (t. p.), n’est- elle pas en train de perdre t. p. ses anciennes « valeurs », ses « repères », selon un rythme boule de neige ?
Croire que les événements de mai 68 auraient pu être évités ne serait-il pas très hasardeux ?
En maths, où on prend la précaution de bien définir chaque terme du référentiel dans lequel on se place, les remises en question n’existent pas ou prouvent une incohérence de départ. En base 10 ; 2 + 2 = 4. En base 3 ; 2 + 2 = 11.
Mai 68 ne représenterait-il pas plutôt logiquement la date symbole du début de la fin de notre civilisation devenue inadaptée au monde moderne, au point de t. p contrarier l’habitabilité de la planète ?
** En faisant abstraction des problèmes politiques, sociaux ; en supposant que la croissance continue ; le décalage entre la date de la mise sur le marché d’une innovation et celle de l’élaboration d’une loi garde-fous l’encadrant (freinant les pillages puis dégâts légaux, par défaut, dans le vide juridique) ne sera-t-il pas t. p. préjudiciable ? !
** Plus banalement, l’appréciation à sa juste valeur du développement de la nature, des plantes, l’approfondissement du rythme arborescent, ne seraient-ils pas féconds ?
** N’évoquent-ils pas la multiplication tous azimuts des communications, des informations, des désirs subséquents, t. p. en contradiction avec les moyens disponibles et susceptibles de répondre aux besoins (artificiels) sans décevoir, en ne fomentant pas des rancoeurs, des iniquités, des envies subversives ? !
** Dans quelques décennies, n’y aura-t-il pas tellement de cas particuliers à traiter équitablement, de machines sophistiquées à rendre compatibles où à réparer (alors que la quantité de spécialistes compétents sera t. p. relativement minime), que tous les services publics ou de maintenance seront débordés, submergés, incapables d’assumer ? !
Si jusque les « 30 Glorieuses », pratiquant obstinément ou « positivement » la politique « Toujours plus » ou la fuite en avant, on pouvait ou devait se prononcer sur les « + » et les « – » apparents, ne sommes-nous pas dorénavant réduits à opter entre des « – » et des « — »
Ne serait- ce pas la preuve incontournable du processus de la déconstruction
à quand le débat pour une nouvelle loi?
je demande et redemande:
quand les médecins et juges penseront que ce n’est pas « tuer » que d’aider à mourir quelqu’un qui le demande avec de bonnes raisons, qui, certes peut se jeter du 10ème étage ou se jeter sous un train, ou autres horreurs, mais qui aimerait s’endormir tranquillement avant la mort?
mourir en paix, enfin!
quand admettra-t-on que la souffrance (morale ou physique) n’est pas indispensable?
alors que la pharmacopée peut nous en dispenser avec l’aide d’une ordonnance
quand les médecins admettront qu’ils sont au service des malades et pas le contraire?
quand admettra-t-on que la mort est une chose naturelle, inévitable, qui n’est pas le fait du médecin mais de l’usure de l’organisme ou de la maladie?
quand admettra-t-on que la science a ses limites et qu’on ne pourra jamais supprimer la mort?
quand nous donnera-t-on la liberté de choix?
nous espérons qu’enfin la France mérite son nom de République: liberté, égalité, fraternité…
la loi actuelle ne résoud pas ces problèmes, changeons la loi!
ce qu’on refuse aux chiens
La présidente de la SPA de Haguenau dans le haut Rhin a déclaré le 28 février, refuser l’euthanasie pour les chiens, au nom de son éthique …
C’est formidable : ce qu’on refuse aux chiens, on l’autoriserait pour les hommes : sommes nous donc moins que des chiens ?
PAr ailleurs, M. Kouchner, et les membres du lobby pro-euthanasie (l’ADMD), ont surinterprété à dessein la lettre de Mme Sébire au Président de la République. En effet, elle affirme qu’elle «refuse le suicide car ce serait une capitulation face à la maladie». Elle refuse aussi d’être «sédatée» càd qu’on endorme sa douleur au point de ne plus rien sentir. Bref, Mme Sébire semble ne pas désirer l’euthanasie, mais plutôt des soins palliatifs, c’est-à–dire une humanité rendue présente à ses côté par l’accompagnement, et non pas la négation de cette humanité qu’est l’euthanasie.
On aimerait donc un peu de retenue et on rappellera, comme l’a fait le monde diplomatique en son temps (http://www.monde-diplomatique.fr/2005/05/HEIM/12193) , que l’euthanasie fut pratiqué – pour la première fois à grande échelle – par des unités SS durant la seconde guerre mondiale …
Cher Monsieur, vous avez tout compris !
Selon vos voeux (ceux de votre cerveau reptilien et/ou des émotions et/ou néocortex), je vous souhaite de rejoindre SISYPHE !
Amusez-vous bien !
Dans tous les cas, j’espère que vous êtes jeune et que vous aurez la chance de vivre en direct le crash mondial (2050 ? Avant 2080)qui précédera l’éclosion d’une nouvelle ère !
Un petit complément sur les rôles des trois parties principales du cerveau
Un complément précisant les trois mots introduits « cerveau reptilien, des émotions, néocortex)
Le siècle passé, on parlait de « l’opium du peuple » à propos des religions.
Croyez-vous aussi que celles-ci privilégiaient l’activation du néocortex, c. à d. l’analyse, le questionnement, etc. ? (Et au 21ième siècle ?)
Cette drogue n’intéresserait-elle pas plutôt le cerveau des émotions ? N’est-il pas à la recherche du bien-être ? ! De la sécurité ? ! De repères apaisants ? !
Ne connaîtriez-vous pas des gens qui, sans forcément être sous la dépendance d’une religion, seraient des DROGUES DE LA VIE ? ! C. à d. des ACCROCS incapables de décrocher, qui préféreraient se traîner dans la galère plutôt que renoncer ? !
Dans le recueil de contes et légendes récupéré par une secte devenue religion, on parle d’enfer éternel d’où il est impossible de s’échapper !
Ne connaîtriez-vous pas qui voudraient transformer cette image littéraire en réalité terrestre ?
La notion d’« enfer terrestre » où des condamné(e)s à vie voudraient :
1) y demeurer éternellement et
2) confiner ou emprisonner les autres,
n’évoquerait-elle rien pour vous ?
•Ne seriez-vous pas un adhérent de ce club démoniaque ? !
•Et un cerbère potentiel ne rêvant que d’enfermer autrui ? !
•Etc. ? !
Bonne chance ! Amusez-vous bien dans cet enfer terrestre en tant qu’adepte de Satan !
J’espère que les propos ne seront pas considérés comme exagérés !
J’espère que ces remarques ne seront pas considérées comme exagérées !
Nous sommes devant le cas d’UNE PERSONNE VIVANT L’ENFER TERRESTRE !
Et en face, un et des CONPTEMTEURS qui sont totalement indifférents à la souffrance, et plus ! Qui luttent pour la persistance de cette situation infernale !
Ne sortent-ils pas directement des scénarios de l’INQUISITION ? !
Comment qualifier ces gens ? QUI SONT-ILS ?
Des anges ?
Des séraphins ?
Vous sentiriez-vous en confiance au milieu de ces « gentils » ou « mignons » ? ! EN SECURITE !