Mary Higgins Clark

Je me suis plongée dans la collection de livres de Mary Higgins Clark.

Pris au hasard à la bibliothèque du village, j’ai lu un de ses romans, qui m’a donné envie de retenter l’expérience. Depuis, j’en suis au 6ème. Il faut dire que la liste est longue puisque elle a écrit 56ème romans (en 40 ans d’écriture)!!

Certains de ces romans sont écrits en collaboration avec sa fille, Carol Higgins Clark.

 

Les histoires se lisent rapidement, facilement. L’envie d’en connaitre l’issue finale est tellement forte qu’il est difficile d’en sortir. Et dès qu’un roman est terminé, j’ai envie d’en tenter un autre.

Pourtant, les histoires se ressemblent, on ne peut pas dire le contraire.

On se situe souvent dans des intrigues où une rencontre entre une femme brillante et un homme riche laisse planer le doute, la peur, le meurtre, la prison…

Des serial killers en puissance, des schizophrènes refoulés, autant de personnages angoissants peuplent ses livres.

Les environnements changent : sur une île, dans une grande ville, dans une ferme au milieu de nulle part… mais à chaque fois je me laisse prendre au jeu de l’auteur.

Tout au long de la lecture, on imagine, on réfléchit, on cherche : mais qui a tué ?? Mais qui va tuer ?? …. pour bien souvent se tromper de cible…

Dans « Remember », on pense même tout au long du livre que le drame qui tient le livre en haleine, et qui est latent, est du à un fantôme !… Mme Higgins Clark a réussi à me persuader que le paranormal existait… alors que l’issue explique toute cette atmosphère cauchemardesque…. !

En 1999, un sondage paru dans le Monde met Mary Higgins Clark en deuxième position des auteurs les plus lus dans le monde par les 12-30 ans.

« La nuit du renard » a reçu le Grand Prix de Littérature Policière. Dans ce livre, un double enlèvement nous tient en haleine dès les premières pages…

J’apprécie aussi beaucoup la fin de ses livres, ou en quelques pages, elle explique comment l’idée du livre lui est venue.

Son dernier roman vient de sortir : « L’ombre de ton sourire ». Titre énigmatique qui me donne une fois de plus, l’envie de découvrir ce qui se cache derrière !