Maladie de Charcot ou SLA (sclérose latérale amyotrophique)

Cette maladie est très peu connue mais ne touche pas moins de 8000 personnes en France et 6000 en Allemagne. Elle fut découverte pour la première fois en 1897, par jean Martin Charcot.Cette maladie orpheline est méconnue du grand public car peu répercutée dans les médias contrairement au diabète ou autres maladies du même type. De part certains aspects, elle est couramment assimilée à la sclérose en plaque. La détection est en tout cas difficile. L’issue est malheureusement fatale et foudroyante : les médecins donnent à titre indicatif une espérance de vie de maximum 4 ans. A la manière d’un cancer se généralisant, elle atrophie progressivement tous les muscles du corps en commençant par les bras, les mains puis les jambes.

Ensuite, la déglutition devient très difficile pour finir par le système respiratoire. Le malade est conscient de sa dégradation physique car le cerveau garde toutes ses fonctions. Aujourd’hui, les solutions proposées par la médecine restent très minimes. le Rilutek est le seul médicament autorisé mais il ralentit seulement la progression du mal.

Il est fréquent que les malades fassent appel à un orthophoniste pour continuer à communiquer avec leur  entourage. Je souhaite pour tous les gens qui sont ou qui seront atteints par cette terrible maladie, que les chercheurs trouvent une solution pour endiguer le processus destructeur.

J’ai tenu à rédiger cet article pour attirer l’attention sur ce fléau qui a touché l’un de mes proches. Savoir pourquoi et comment soulagerait un peu le fardeau de ce drame.

2 réflexions sur « Maladie de Charcot ou SLA (sclérose latérale amyotrophique) »

  1. Très bon et triste résumé. Pour plus d’informations, [url]www.lespapillonsdecharcot.com[/url] , avec un des forums les plus actifs sur le sujet dans le monde francophone

  2. Les SLA et maladies du motoneurone ont triplé depuis 1996. Cette année-là, la moitié de la poplation française a été vaccinée contre l’hépatite B. On a dit qu’elle n’avait provoqué que des scléroses en plaques. Or il suffit d’aller sur le site du REVAHB : http://www.revahb.fr pour voir qu’elle a provoqué une variété infinie de maladies, dont la SLA. On n’y trouvera cependant qu’un petit nombre de cas, une soixantaine, presque tous morts aujourd’hui. Pourquoi si peu de cas ? Parce qu’elle a été très peu notifiée à la pharmacovigilance. Pourquoi ? Il semble bien que ce soit dû à des conflits d’intérêt entre certains praticiens hospitaliers et un grand fabricant de vaccins qui fabrique aussi le Rilutek.Les uns et les autres ont-ils intérêt à perdre une clientèle qui leur rapporte beaucoup ? On parle aujourd’hui des cellules souches. Elles ouvrent un espoir. Enfin ! Le Rilutek alors n’aura plus beaucoup d’intérêt. Il n’a d’ailleurs pas grande efficacité sinon de faire un tout petit peu perdurer un calvaire inimaginable par ceux qui ne le vivent pas. Les malades devraient toujours s’interroger sur leur passé vaccinal, quelles que soient les vaccinations reçues. Ainsi, on a découvert des myofasciites à macrophages jusqu’à 8 ans après la vaccination Hépatite B, et aujourd’hui on a la preuve que l’aluminium contenu dans de nombreux vaccins peut détruire les motoneurones. Sur ce sujet, un livre récent : Virginie Belle : « Quand l’aluminium nous empoisonne », éd.Max Milo septembre 2010.Exigez de vos médecins qu’ils fassent une biopsie du deltoïde. Si la vaccination est ancienne, on ne trouvera probablement plus rien, mais si elle est récente, on peut trouver. Si on ne trouve pas, ce n’est pas pour autant une preuve qu’il n’y a pas de lien. Je vous parle en connaissance de cause, ayant perdu mon mari de SLA et m’étant beaucoup intéressée à la question de la causalité. Malheureusement les recherches sur le lien vaccins-maladie ne sont pas faites.L’enjeu financier est beaucoup trop grand.

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