Londres veut surveiller les sites communautaires: un pas de plus vers la dictature.

La phrase suivante  "Les sites communautaires sur internet pourraient être contraints de révéler aux autorités britanniques les contacts et autres informations personnelles de leurs utilisateurs, selon un projet gouvernemental visant à lutter contre le terrorisme" tirée du journal "Le point" veut tout dire! Et c'est bien pour cela que j'ai décidé de me mettre à mon clavier pour écrire cet article.

Tout d'abord, combien se soucient en Europe du terrorisme? Ensuite, combien de fois lisez-vous le mot "terrorisme" dans les médias? Et combien de fois ce mot se lit sur les lèvres des politiciens? En tout cas, le mot "terrorisme" est beaucoup plus employé par des personnes qui veulent en faire un prétexte (afin d'exécuter un programme politique), que par des citoyens que vous croisez dans la rue. C'est à ce niveau là qu'existe le décalage.

Malgrè cela, la lutte antiterroriste nous est imposée comme un passage incontournable de notre vie. Oui, je vous assure que si vous prenez un train il y a de forte chance pour que vous sautiez avec. Mais vous pouvez très bien aussi monter dans une voiture piégée (en France c'est monnaie courante à ce qu'il paraît). Surtout n'allez pas à la Poste on sait jamais ce qu'il peut y avoir à l'intérieur de l'enveloppe. Bon en fait, RESTEZ CHEZ VOUS et regardez la télé. Au moins en regardant le JT de TF1 vous vous croirez dans le magnifique monde du petit oui oui.

C'est ce prétexte de "lutte antiterroriste" qui va permettre dans peu de temps de aux autorités britanniques d'espionner vos conversation sur facebook, Myspace… Même si ces autorités assurent que "ce n'est pas le contenu des conversations privées qui intéresse les autorités, assure-t-on, mais bien de savoir qui communique avec qui." Cela ressemble fortement à du pipo. Enfin bref… Les politiciens britanniques veulent que les sites communautaires "conservent pendant au moins 12 mois toutes les données de connexion des internautes." Alors surtout n'oubliez pas d'avoir un certain air de poète quand vous parlez avec vos amis sur ces sites là. Ah ben il faut bien que vous soyez agréable à lire! Et faites attentions à ce que vous écrivez on sait pas où vous pouriez finir!

Source: http://www.lepoint.fr/actualites/londres-envisage-de-surveiller-les-sites-communautaires/1037/0/328833

5 réflexions sur « Londres veut surveiller les sites communautaires: un pas de plus vers la dictature. »

  1. principe de précaution et régulation
    Moi je ne suis pas d’accord avec l’auteur de cet article, en matière de communautarisme le principe de précaution devrait s’appliquer…..comme en beaucoup d’autres domaines…Il ne s’agit pas de dictature ou de terrorisme….Il s’agit avant tout de prévention.

    Même si (je suis pas naif) des débordements sont toujours possible.Et si il faut réguler ces contrôles

  2. « CHACUN D’ENTRE NOUS DOIT S’INTERROGER SUR LES CONSEQUENCES DE CE QU’IL DIT ET DE CE QU’IL FAIT »
    Le chef de l’Etat, dans un discours sur sa politique économique a déclaré :
    « Dans une crise aussi profonde, aussi grave, chacun d’entre nous, quelle que soit la place qu’il occupe dans la société, a une responsabilité morale », a-t-il dit.
    « CHACUN D’ENTRE NOUS DOIT S’INTERROGER SUR LES CONSEQUENCES DE CE QU’IL DIT ET DE CE QU’IL FAIT ».

    Serait-ce donc le retour du black-out ??? :

    DRAPEAUX AUX FENETRES DE STRASBOURG AUSSI CONCERNES PAR LE NOUVEL ORDRE ?!!! :
    « Les visites de policiers demandant aux Strasbourgeois d’enlever de leurs fenêtres des drapeaux pacifistes provoquent de vives protestations de citoyens et d’élus qui s’inquiètent d' »atteintes aux libertés publiques », quelques jours avant le sommet de l’Otan.
    « Scandaleux et intolérable », selon Daniel-Cohn Bendit, coprésident des Verts au Parlement européen. Atteinte injustifiée à la liberté d’expression, selon le président du Mouvement Démocrate (MoDem) François Bayrou.
    « Parfaitement illégal », selon Patrick Wachsmann, professeur de droit public à l’Université de Strasbourg, auteur d’un ouvrage sur les libertés publiques, publié chez Dalloz.
    Dans un communiqué, la préfecture du Bas-Rhin a déclaré lundi soir qu’elle n’avait « absolument pas donné de consignes aux policiers pour le retrait » des bannières aux fenêtres de particuliers.
    Pourtant ces derniers jours, la police a obligé plusieurs Strasbourgeois à retirer de leurs balcons le drapeau de la paix aux couleurs arc-en-ciel avec la mention « No to Nato » (Non à l’Otan), alors que les mesures de sécurité se font de plus en plus draconiennes dans la ville, avant le sommet de l’Otan, les 3 et 4 avril.
    Le Strasbourgeois Christian Grosse a ainsi dit à l’AFP que des policiers s’étaient rendus à son domicile, au début de la semaine dernière, en expliquant avoir reçu l’ordre de demander aux gens d’enlever les drapeaux.
    « C’est mon fils qui les a reçus. Ils lui ont dit : +soit vous le retirez, soit on le retire+ », a-t-il raconté. Le jeune homme a obtempéré, « mais j’ai raccroché le drapeau dès le lendemain », a poursuivi ce Strasbourgeois qui est aussi membre du secrétariat de la Fédération du parti communiste du Bas-Rhin.
    Selon M. Grosse, « plusieurs autres personnes ont reçu la visite de la police à cause de leur drapeau ».
    Citant le cas de « notre camarade Christian Grosse », la secrétaire nationale du PCF Marie-George Buffet a lancé un appel pour « accrocher notre drapeau » partout en France.
    « A l’évidence, le Gouvernement aimerait transformer la capitale alsacienne en un véritable bunker, en une ville forteresse ou il serait interdit de pavoise », a-t-elle accusé.
    Pour le juriste Patrick Wachsmann, « ces faits sont choquants et constituent une dérive un peu curieuse », car il n’existe aucun texte pénal qui interdit d’accrocher un drapeau à ses fenêtres.
    « Si l’autorité administrative procédait à l’enlèvement forcé d’un de ces drapeaux en question, ça serait une voie de fait, c’est-à-dire une illégalité grossière qui serait justiciable par l’autorité judiciaire », affirme l’universitaire.
    Patrick Wachsmann trouve même illégales les mesures qui limitent la liberté d’aller et venir dans les « zones rouges » instaurées à Strasbourg pour le sommet de l’Otan.
    « N’importe quel Strasbourgeois » pourrait attaquer devant le tribunal administratif la légalité de ces mesures qui imposent aux habitants d’être badgés et contrôlés pour rentrer chez eux, selon lui.
    Pour Daniel Cohn-Bendit, « c’est particulièrement ridicule ».
    « Même (Silvio) Berlusconi, lors du sommet (du G-smilies/cool.gif de Gênes, n’avait pas interdit les draps qui pendaient dehors dans les rues à Gênes », a ironisé l’eurodéputé.
    Quant au président du MoDem, il juge que « c’est un tort de ne pas respecter la libre expression pacifique ». « Je ne vois pas en quoi cela gênait pour rappeler que tout le monde n’est pas d’accord en France avec l’Otan », a-t-il déclaré lundi lors d’un point de presse à Strasbourg.
    Le sommet de l’Otan se tiendra à Strasbourg et dans les villes allemandes voisines de Kehl et Baden-Baden, en présence notamment du président américain Barack Obama. Sont aussi attendus pour un contre-sommet entre 30.000 et 60.000 manifestants de quelque 500 collectifs de 23 pays. »

  3. A propos d’Angleterre et de régulation ….
    Jonathan Porritt, l’un des plus importants conseillers de Gordon Brown sur l’environnement, s’apprête à avertir [u]la Grande-Bretagne qu’elle doit réduire drastiquement sa population si elle souhaite construire une société durable.[/u]

    Porritt lancera son avertissement cette semaine lors de la conférence annuelle de l’Optimum Population Trust (OPT) dont il est le président d’honneur.

    L’OPT divulguera des recherches suggérant que la population du Royaume-Uni doit être réduite à 30 millions si le pays veut atteindre l’auto-suffisance alimentaire de manière durable.

    Porritt a déclaré : « La croissance de la population et la croissance économique exercent une pression terrible sur le monde ».

    « Chaque personne en Grande-Bretagne a beaucoup plus d’impact sur l’environnement que celles des pays en développement, de sorte que couper notre population est l’une des manières de réduire cet impact. »

    [u]La croissance de la population est l’un des problèmes environnementaux les plus politiquement sensibles. Il soulève notamment des questions liées à la religion, la culture et la politique d’immigration qui se sont révélés trop toxiques pour la plupart des verts.[/u]

    La population de Grande-Bretagne devrait passer de 61 millions aujourd’hui à 71 millions d’ici 2031. Certains politiciens sont favorables à une réduction.

    Phil Woolas, ministre de l’Immigration, a déclaré : « Vous ne pouvez pas avoir un environnement durable avec une augmentation de la population. »

  4. Rockefeller a aussi dit à Russo que la fondation de sa famille avait créé et financé le mouvement de libération des femmes afin de détruire la famille et que la réduction de la population était un objectif fondamental de l’élite mondiale.

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