On s’est tous posé la même question étant plus jeune et sans expérience : « Que sent-on quand on fait l’amour ? ».  Seul ou accompagné, l’acte sexuel est source de plaisir.  Cependant, il paraîtrait que ce que ressent l’homme ou la femme serait différent.

Afin de trouver un semblant de réponse, nous passons par quelques phases dont l’une d’entre elle est l’autoérotisme !

Pour certains, ce sera en cachette dans des endroits qui dépasseraient toute imagination.  Pour d’autres, tous les soirs, devant leurs écrans d’ordinateurs sur quelques sites web spécialisés.

Il est clair que ce jeu dit très souvent solitaire, se voit être généralement satisfaisant physiquement. 

Mais pourquoi cela n’est pas suffisant ?  La réponse semble claire.  Mais bon !

 

Serait-ce parce que l’envie de connaître le plaisir partagé, décrit par nos aînés comme étant ultime et indispensable au passage de l’état de garçon à celui d’homme, était plus fort que tout ?  Ou s’agit-il tout simplement un sentiment de « peut mieux faire » et de sensations incomplètes ?!

Dans tous les cas, on recherche quelque chose de fort, de surprenant, de quasi-incontrôlable… une sensation à la hauteur et à la dimension d’un autre univers.  Très souvent, à la première occasion, nous faisons le « GRAND SAUT » !!!!

 

Résultat : « C’était cool !  Mais… C’est que ça faire l’amour ?! »

Eh oui, généralement satisfaits d’avoir franchi une étape primordiale,  c’est très souvent déçus des ultimes sensations physiques ressenties lorsque nous ressortons d’une telle expérience.

 

La question maintenant est de savoir POURQUOI ?

 

Alex (31 ans) et Stéphane (24 ans) sont deux jeunes hommes qui ont été et sont toujours sexuellement très actifs.  Seulement quelque chose a changé pour tous les deux : Ils ont compris ce que c’est de « JOUIR ».  Et tout ça, c’est grâce au fait qu’ils ont tous deux découvert le véritable amour.

Ils ne cachent pas qu’ils ont auparavant multiplié les conquêtes et passé la nuit avec beaucoup de partenaires différentes.  Et tous leurs rapports sexuels étaient plus ou moins semblables et différents à la fois.  Une chose est sûre, c’est qu’ils étaient satisfaits lorsqu’ils avaient eu un « orgasme ».

Mais ils étaient loin de se douter que le plaisir qu’ils ressentaient n’était pas du tout comparable à ce qu’ils ressentent maintenant avec celles qu’ils décrivent comme étant les femmes de leurs vies.

Lorsqu’ils nous parlent de plaisir, ils ne parlent plus uniquement de la fin. 

Ce sont des mots tels que : chaleur, partage, frissons, bonheur, découvertes, envies… qu’ils utilisent.  L’intensité du plaisir, selon eux, varie en fonction des sentiments qu’ils ressentent pour leurs compagnes.

Vous savez tous qu’en une journée on peut aimer une personne d’une multitude de façons. C’est ce qui fait que lorsque l’on aime vraiment une personne, chaque relation que l’on a avec cette personne est différente.  Chaque plaisir ressenti avec cette personne est différent et son intensité ne cesse de varier.  Chaque goutte de sueur ou de salive échangée est source de bonheur.  Là, est la différence lorsque l’on aime sa partenaire. 

 

Le plaisir ne vient pas qu’à la fin…

 

Il est partout et tout le temps.  Il est là lorsqu’on vous touche le dos du bout des doigts.  Il est là lorsqu’on vous embrasse derrière l’oreille et qu’on vous souffle sur la nuque et lorsque l’on nous embrasse du bout des lèvres…

C’est pour cela que, les filles, vous ne devez pas vous inquiéter lorsque de temps en temps votre étalon n’a pas « joui » lors d’un rapport.  Car la jouissance est en relation avec l’amour qu’il éprouve pour vous et aura lieu aussi pendant tout votre rapport amoureux.  Il ne faut juste pas exagérer: il ne faut pas que ça arrive tous les jours non plus (paroles d’homme !!! :D)

 

Aimer quelqu’un et faire l’amour avec cette personne peut amener beaucoup de belles surprises, notamment au lit (ou ailleurs  !!!).  Messieurs, la solution se trouvait dans les saintes écritures : « Aimer votre prochain et vous atteindrez le 7ème Ciel »

                                                                                                          John-Valéry D.