Les récompenses d’août 2011.

Comme nous l’avions annoncé au début de la formation du jury populaire nous espérions une évolution permanente dans la constitution du dit jury. Plusieurs membres ont quitté le navire, brillamment remplacé par ailleurs. Donc à ce titre j’ai décidé de quitter le navire et laisse donc le nouveau jury prendre les meilleures décisions pour la nomination d’un nouveau président (e).

Sophy en sa qualité de vice-présidente s’est évertuée à recomposer un nouveau jury et nous fait part des nouveaux venus :

Jacques Monnet, VieilleForge, Casimir Guélaté et Supertitom.

Une nouvelle équipe qui s’annonce de première qualité. J’ai eu grand plaisir de contribuer à la mise en place du jury, et je souhaite une bonne continuation au nouveau jury.

Place aux récompenses.

 

Le meilleur article (40 euros).

Quel choix cornélien ! Bien des articles de qualité en ce mois estival et comme d’habitude il a fallu faire un choix et donc le jury a décidé d’attribuer cette prime à Nathalie M pour son excellent article : Kadhafi aurait-il pu être un exemple pour ceux qui nous gouvernent. Pour le moins un article original qui a le mérite de poser une question fondamentale sur l’existence même de la démocratie. Bravo Nathalie.

Le second article (30 euros).

Chaque membre du jury avait un avis bien personnel sur cette récompense et donc il m’a fallu trancher et donc c’est Claire Estagnasié qui rafle la mise avec son article : La Grèce et la divine proportion dorée. Quelle jolie plume qui nous fait rimer algèbre et poésie. Bravo Claire.

Le meilleur commentateur (20 euros).

Notre amie Mozarine s’est acquittée de son travail et donc a désigné comme meilleur commentateur Charly 12. N’ayant pas été présent ces dernières semaines je ne me permettrai de laisser un jugement, Mozarine se chargera d’y remédier.

Le rédacteur à suivre (10 euros).

Les avis divergent et là encore il m’a fallu trancher et donc c’est Gribouille pour son article : Le meilleur agent littéraire de l’année: Strauss Kahn. Que j’aime ces articles au second degré ou l’ironie est de mise par la qualité de la plume. Bravo Gribouille.