[b]A qui le tour, après DSK, Tron et les papouilles aux pieds de ses secrétaires, la Banon qui remue ses souvenirs d’il y a 8 ans,
Allez un peu d’imagination…
Je verrai bien Hulot accusé d’avoir chatouillé Eva Joly (heu, c’est pour rire)
[/b]
CATALAN66270
sur 6 juillet 2011 à 19 h 53 min
Oui mais, Sophy, les Chats lands ithyphalles prisonniers des bobettes savent, insidieusement, la porte entre ouverte, se faufiler entre gigues et quasis, à travers une chatière, afin d’atteindre l’écu ou le divertissoire niché dans son écrin…
SOPHY
sur 6 juillet 2011 à 21 h 34 min
[b]Catalan, l’heure est tardive, je reviendrai demain essayer de traduire votre message.
Amicalement
Sophy[/b]
Veritas
sur 6 juillet 2011 à 21 h 35 min
bonne réponse très diplomatique, SOPHY!
CATALAN66270
sur 6 juillet 2011 à 21 h 54 min
Comme tu dis, Veritas, très diplomatique… mais parlant de diplomate… le flacide est interdit dans ce cas…
Veritas
sur 6 juillet 2011 à 21 h 57 min
il a l’air triste …comme l’air du temps !!!!
[img]http://media.zenfs.com/en_us/News/Reuters/2011-07-06T184847Z_01_APAE7651G9D00_RTROPTP_2_OFRTP-STRAUSS-KAHN-USA-CHARGES-20110706.JPG[/img]
Veritas
sur 6 juillet 2011 à 22 h 08 min
BOUM BOUM !
Le procureur et l’avocat de Strauss-Kahn ont entamé mercredi
à huis clos des négociations serrées.
[b]Mais à l’issue de la réunion, le parquet a annoncé que
toutes les accusations de crimes sexuels contre DSK étaient maintenues.[/b]
CATALAN66270
sur 6 juillet 2011 à 22 h 50 min
Pourquoi n’as-tu pas copier-coller l’article en son entier, Veritas ?
« [b]Le procureur et l’avocat de Strauss-Kahn ont entamé mercredi à huis clos des négociations serrées. Enjeu : l’issue de l’affaire.[/b]
Des portières qui claquent, des vitres teintées et une silhouette qui s’engouffre dans une grosse voiture noire, mercredi au pied du tribunal. Ce n’est pas sur le visage impénétrable de Cyrus Vance que se lisait la réponse aux interrogations du jour. Le procureur de New York est-il sur le point de d’abandonner les poursuites contre DSK ? Quelle est la teneur du rendez-vous entre son équipe et Benjamin Brafman, l’avocat de Dominique Strauss-Kahn ? Les discussions entre les deux camps ont dû être rudes. Mais « [i]elles ont été très constructives [/i]», s’est borné à déclarer l’avocat après trois heures de discussions. [b]Avant que finalement le bureau du procureur annonce que l’enquête se poursuit, et que toutes les accusations de crimes sexuels pesant sur Dominique Strauss-Kahn n’étaient pas abandonnées pour le moment.[/b]
Ces derniers jours, toute la panoplie des stratagèmes judiciaires américains a été utilisée: coups de bluff, «fuites» organisées et tentatives de prendre un avantage décisif sur l’adversaire. Mercredi, quatre colosses noirs se revendiquant d’un groupuscule, « [i]100 black in lawen forcement.com[/i] », se sont présentés au tribunal pour réclamer la nomination d’un « [i]procureur spécial[/i] », estimant que les charges contre DSK sont suffisantes pour aller au procès.
Fragilisé depuis qu’il a lui-même révélé nourrir des doutes sur la crédibilité de Nafissatou Diallo, Cyrus Vance semble placé devant un choix compliqué. Celui qui se réduit à deux mauvaises décisions.
CATALAN66270
sur 6 juillet 2011 à 22 h 51 min
Suite de l’article…
Première hypothèse, donnée comme la plus probable par les médias américains, le procureur annoncera très vite qu’il renonce aux sept chefs d’inculpation. C’est un non-lieu total, DSK est blanchi et le juge Obus n’a plus qu’à inscrire le mot «fin» sur la procédure «The People of New York versus Dominique Strauss-Kahn». Le choix est radical mais il a le mérite de trancher dans le vif. Certes, un an et demi après son entrée en fonction, Cyrus Vance essuiera des critiques.
[b]Sauver la face[/b]
On lui reprochera autant de s’être précipité pour inculper le patron du FMI et lui imposer une assignation à résidence humiliante que de se ruer désormais vers un non-lieu hâtif. Après deux autres procès perdus récemment – celui de deux policiers accusés de viol et celle de visées terroristes présumées -, l’échec DSK sera dur à surmonter.
Dans un autre schéma, l’équipe du district attorney décide de poursuivre l’enquête, malgré les failles apparues sur la personnalité de la femme de chambre du Sofitel. Après tout, «les procureurs n’ont pas à abandonner des procédures criminelles sous le seul prétexte qu’ils rencontrent des difficultés avec le passé de leur plaignant», déclare au New York Times Bruce Green, un professeur de droit très au fait des pratiques judiciaires. Selon des sources internes au bureau de Cyrus Vance, un bras de fer oppose les partisans d’une enquête menée à son terme et les tenants d’un abandon salutaire. Le choix de continuer les investigations coïnciderait avec l’annonce faite vendredi par l’adjointe de Vance, Joan Illuzzi-Orbon: «Nous ne nous dirigeons pas vers un abandon des poursuites pour le moment.»
L’accusation pourrait aussi être tentée de sauver la face en obtenant que DSK plaide coupable pour des charges mineures, contre l’annulation des inculpations criminelles sur la tentative de viol. Une option peu susceptible de rencontrer l’approbation de Benjamin Brafman, qui veut une victoire totale. Une autre préoccupation doit encore encombrer l’esprit du procureur: l’opinion publique, si versatile, qui accable désormais la femme de chambre après avoir descendu «le Français» en flèche. Et dès mercredi, le New York Post, tabloïd miroir du New York populaire, faisait innocemment remarquer au contribuable: le bureau du district attorney «prend en charge des dépenses (de Nafissatou Diallo) incluant sa protection, ses déplacements et son hébergement dans un hôtel»… Le champ de bataille n’est pas encore totalement déserté. »
lapoire
sur 7 juillet 2011 à 9 h 44 min
où est passé jefftombeur ?
hub.
sur 7 juillet 2011 à 10 h 55 min
Les chemins qui mènent du priapisme au flacide sont décidément impénétrables dans c’t’affaire! ;D
SOPHY
sur 7 juillet 2011 à 16 h 52 min
[b]Absente toute la journée, je vais voyager un peu partout sur C4N.
Il va tout de même que j’analyse avec un bon dictionnaire le message de catalan (plus haut)
[/b]
[b]A qui le tour, après DSK, Tron et les papouilles aux pieds de ses secrétaires, la Banon qui remue ses souvenirs d’il y a 8 ans,
Allez un peu d’imagination…
Je verrai bien Hulot accusé d’avoir chatouillé Eva Joly (heu, c’est pour rire)
[/b]
Oui mais, Sophy, les Chats lands ithyphalles prisonniers des bobettes savent, insidieusement, la porte entre ouverte, se faufiler entre gigues et quasis, à travers une chatière, afin d’atteindre l’écu ou le divertissoire niché dans son écrin…
[b]Catalan, l’heure est tardive, je reviendrai demain essayer de traduire votre message.
Amicalement
Sophy[/b]
bonne réponse très diplomatique, SOPHY!
Comme tu dis, Veritas, très diplomatique… mais parlant de diplomate… le flacide est interdit dans ce cas…
il a l’air triste …comme l’air du temps !!!!
[img]http://media.zenfs.com/en_us/News/Reuters/2011-07-06T184847Z_01_APAE7651G9D00_RTROPTP_2_OFRTP-STRAUSS-KAHN-USA-CHARGES-20110706.JPG[/img]
BOUM BOUM !
Le procureur et l’avocat de Strauss-Kahn ont entamé mercredi
à huis clos des négociations serrées.
[b]Mais à l’issue de la réunion, le parquet a annoncé que
toutes les accusations de crimes sexuels contre DSK étaient maintenues.[/b]
Pourquoi n’as-tu pas copier-coller l’article en son entier, Veritas ?
« [b]Le procureur et l’avocat de Strauss-Kahn ont entamé mercredi à huis clos des négociations serrées. Enjeu : l’issue de l’affaire.[/b]
Des portières qui claquent, des vitres teintées et une silhouette qui s’engouffre dans une grosse voiture noire, mercredi au pied du tribunal. Ce n’est pas sur le visage impénétrable de Cyrus Vance que se lisait la réponse aux interrogations du jour. Le procureur de New York est-il sur le point de d’abandonner les poursuites contre DSK ? Quelle est la teneur du rendez-vous entre son équipe et Benjamin Brafman, l’avocat de Dominique Strauss-Kahn ? Les discussions entre les deux camps ont dû être rudes. Mais « [i]elles ont été très constructives [/i]», s’est borné à déclarer l’avocat après trois heures de discussions. [b]Avant que finalement le bureau du procureur annonce que l’enquête se poursuit, et que toutes les accusations de crimes sexuels pesant sur Dominique Strauss-Kahn n’étaient pas abandonnées pour le moment.[/b]
Ces derniers jours, toute la panoplie des stratagèmes judiciaires américains a été utilisée: coups de bluff, «fuites» organisées et tentatives de prendre un avantage décisif sur l’adversaire. Mercredi, quatre colosses noirs se revendiquant d’un groupuscule, « [i]100 black in lawen forcement.com[/i] », se sont présentés au tribunal pour réclamer la nomination d’un « [i]procureur spécial[/i] », estimant que les charges contre DSK sont suffisantes pour aller au procès.
Fragilisé depuis qu’il a lui-même révélé nourrir des doutes sur la crédibilité de Nafissatou Diallo, Cyrus Vance semble placé devant un choix compliqué. Celui qui se réduit à deux mauvaises décisions.
Suite de l’article…
Première hypothèse, donnée comme la plus probable par les médias américains, le procureur annoncera très vite qu’il renonce aux sept chefs d’inculpation. C’est un non-lieu total, DSK est blanchi et le juge Obus n’a plus qu’à inscrire le mot «fin» sur la procédure «The People of New York versus Dominique Strauss-Kahn». Le choix est radical mais il a le mérite de trancher dans le vif. Certes, un an et demi après son entrée en fonction, Cyrus Vance essuiera des critiques.
[b]Sauver la face[/b]
On lui reprochera autant de s’être précipité pour inculper le patron du FMI et lui imposer une assignation à résidence humiliante que de se ruer désormais vers un non-lieu hâtif. Après deux autres procès perdus récemment – celui de deux policiers accusés de viol et celle de visées terroristes présumées -, l’échec DSK sera dur à surmonter.
Dans un autre schéma, l’équipe du district attorney décide de poursuivre l’enquête, malgré les failles apparues sur la personnalité de la femme de chambre du Sofitel. Après tout, «les procureurs n’ont pas à abandonner des procédures criminelles sous le seul prétexte qu’ils rencontrent des difficultés avec le passé de leur plaignant», déclare au New York Times Bruce Green, un professeur de droit très au fait des pratiques judiciaires. Selon des sources internes au bureau de Cyrus Vance, un bras de fer oppose les partisans d’une enquête menée à son terme et les tenants d’un abandon salutaire. Le choix de continuer les investigations coïnciderait avec l’annonce faite vendredi par l’adjointe de Vance, Joan Illuzzi-Orbon: «Nous ne nous dirigeons pas vers un abandon des poursuites pour le moment.»
L’accusation pourrait aussi être tentée de sauver la face en obtenant que DSK plaide coupable pour des charges mineures, contre l’annulation des inculpations criminelles sur la tentative de viol. Une option peu susceptible de rencontrer l’approbation de Benjamin Brafman, qui veut une victoire totale. Une autre préoccupation doit encore encombrer l’esprit du procureur: l’opinion publique, si versatile, qui accable désormais la femme de chambre après avoir descendu «le Français» en flèche. Et dès mercredi, le New York Post, tabloïd miroir du New York populaire, faisait innocemment remarquer au contribuable: le bureau du district attorney «prend en charge des dépenses (de Nafissatou Diallo) incluant sa protection, ses déplacements et son hébergement dans un hôtel»… Le champ de bataille n’est pas encore totalement déserté. »
où est passé jefftombeur ?
Les chemins qui mènent du priapisme au flacide sont décidément impénétrables dans c’t’affaire! ;D
[b]Absente toute la journée, je vais voyager un peu partout sur C4N.
Il va tout de même que j’analyse avec un bon dictionnaire le message de catalan (plus haut)
[/b]