Le vendangeur de l’Anjou de se serait pas suicidé

A l'automne dernier, après une fête des vendanges dans l'Anjou, un jeune homme avait été retrouvé pendu. Sept personnes viennent d'être interpellées, elles auraient sans doute participer au meurtre du jeune homme.

 

La famille d'Aurélien Pioger, le jeune homme, a toujours refusé de s'imaginer un suicide.

C'est donc cinq mois après le drame que sept personnes ont été mises en examen pour "meurtre", "violences aggravées" ainsi que "séquestration". Cette mise en examen soulage grandement les parents du jeune homme ainsi que toute sa famille qui ont toujours été persuadés que Aurélien ne s'étais pas suicidé.

 

La propre fille du vigneron, où Aurélien venait de terminer les vendanges en automne dernier, fait partie des mis en cause, ainsi que l'ex-petit ami de la jeune fille. Ils sont accusés d'avoir participé au passage à tabac, de séquestration et de meurtre du jeune homme.

Ils ont ensuite, avec deux autres hommes maquillé le meutre en suicide.

 

Brigitte Angibaud, la Procureure de la République d'Angers a indiqué : "Peu ou prou, ils reconnaissaient la matérialité des faits, sauf le meurtre".

 

L'enquête à d'abord conclue à un suicide, puis certains signes en particulier à l'autopsie, ont révélés qu'il s'agissait en effet d'un meurtre, notamment les marques de coups sur le visage de la victime.

 

Mais pourquoi quelqu'un en aurait voulu à ce jeune homme agé seulement de 28 ans ? Personne ne le sait encore et les investigations doivent donc encore se poursuivre.