Le moustique, un petit insecte très dérangeant qui s’attaque à l’homme en diffusant de piqûre en piqûre des maladies infectieuses comme le paludisme – le chikungunya et la dengue. Son mode de vie : les eaux stagnantes et les petites poches d’eau oubliées au fond des pots et pneus déposés en pleine nature, dans lesquels les larves proliféreront en toute tranquillité.
Ses origines sont essentiellement asiatiques, tout comme le frelon du même nom, et ils ont pour point commun de résister fortement à l’éradication. Aujourd’hui implanté dans le sud ouest de la France une variété nommée « tigre » à cause de son corps rayé de noir est potentiellement dangereux et véhicule le « chikungunya, qui s’attaque aux articulations et occasionne des épidémies. La dengue quand à elle, n’est pas moins gênante et occasionne de violents maux de tète et des poussées de fièvre. Cette grippe tropicale n’a pas de vaccin et peut être très dangereuse pour des personnes à risque, malades ou âgées.
Des épandages ont déjà eu lieu sur les plans d’eau du grand sud ouest et ont limité la propagation de l’épidémie et de ces insectes nuisibles mais beaucoup reste à faire pour éviter une contamination. La première chose à faire est de supprimer tous les endroits propices à l’éclosion des larves, vider les dessous de pots de fleur, et les réservoirs d’eau stagnantes. On ne peut que conseiller d’équiper les fenêtres de moustiquaires qui arrêteront, le soir venu, les insectes attirés par la lumière. Les diffuseurs électriques d’insecticide seront aussi très efficace et éviteront piqures et infection et enfin des sprays répulsifs – des chaussures montantes et pantalons recouvrant les jambes éviteront beaucoup de désagrément aux amateurs de soirées vertes autour du barbecue.