Le Parti de la Gauche, une espérance pour la Gauche

 

 

 Aujourd'hui, en France, avec l'appui d'Oskar Lafontaine, lancement du Parti de Gauche,

une espérance  voit le jour ! 

 

Jean-luc Mélenchon Wikipedia

 

Jour nouveau pour la Gauche : Lancement du nouveau Parti de Gauche sur le modèle de die Linke, constitué en Allemagne avec les ex-communistes, aujourd'hui 3e parti.

Mes amis,

aujourd'hui une espérance se lève !

Au P.C., les camarades hésitent sur la voie à choisir.

Le P.S. s'est embourbé dans le libéralisme, au point de ne plus s'en distinguer !

Les militants d'extrême-gauche sont de merveilleux militants, engagés, efficaces, mais ils ont peur du pouvoir et ils sont divisés.

Chevènement défend la laïcité, l'indépendance nationale et une politique réellement de gauche.

Mais on ne le voit pas, alors qu'il avait une occasion historique, prophétique,  de faire entendre sa voix !

Debout la République se lève, résolument, pour défendre le gaullisme social insoumis à l'Etranger.

Saura-t-il se désolidariser vraiment du libéralisme et de l'UMP ?

Le Parti de Gauche, lui, s'engage ardemment, de toutes ses convictions de gauche, prêt à gouverner !

 

 

Non, médias pourris, ils ne sont pas deux, la salle est pleine de gens enthousiastes !

Et cet entousiasme va grandir, grandir, grandir, grandir, et laminer le P.S. collabo du libéralisme carnassier !

La gauche va ressusciter, oui Jaurès n'est pas mort,  les divisions n'auront plus droit de cité,  l'idéal va revivre, l'espérance va renaître !

Car nous n'en pouvons plus  d'être spoliés, broyés, dépouillés, piétinés, laminés, nous n'en pouvons plus de voir tous nos acquis disparaître les uns après les autres !

Nous n'en pouvons plus de voir la Gauche se chamailler au lieu de s'opposer aux forces les plus réactionnaires que nous ayions jamais connues, et qui nous priveront rapidement de la démocratie, de la laïcité, de l'école et de l'université gratuites, de la santé pour tous, des dernières protections sociales, des ultimes services publics, d'une culture ouverte, d'une retraite digne de ce nom, d'une indépendance nationale si nécessaire,  oui nous n'en pouvons plus de voir qu'un seul homme décide de tout contre nos intérêts sans que personne ne s'y oppose !

Sans que personne ne s'y oppose !

 Désespoir de voir tout le tissu social se désagréger sous les coups de l'économie de casino, désespoir, aussi, de voir que personne ne réagit ! Souffrance intolérable de voir qu'on n'a rien, que des mots versatiles, pour loger ceux qui aujourd'hui crèvent dans la rue comme des rats, sans même un murmure, sans même un regard,   et qu'on trouve 365 milliards pour renflouer les banquiers afin que le Fouquet's ne souffre pas de la crise, afin que l'industrie du luxe continue à prospérer, afin que les palais continuent de pousser à Dubaï ou ailleurs, afin que les yachts soient toujours plus somptueux, oui, souffrance, souffrance, souffrance devant tant d'injustices, tant de manipulations, tant de prédations, tant de résignation, tant d'immoralité.

Alors oui, quand on entend enfin comme moi à l'instant sur la Chaîne Parlementaire s'élever des voix réellement convaincues, vraiment de gauche, unies, sincères, prêtes à gouverner, alors oui on se prend à rêver d'un monde où l'agriculture retrouverait toute sa place, la production et le petit commerce aussi, la justice sociale, une culture pour tous,  et par-dessus tout la fraternité !

 

Alors oui, quand on entend parler de Chavez ou de Moralès non cette fois pour les critiquer, mais pour les saluer, on est libéré, libéré, libéré, heureux – enfin !

On a vu s'effondrer le communisme parce qu'il était d'Etat, bureaucratique, on ne voit pas émerger l'écologie politique, et on contemple la sociale-démocratie s'embourber et se désintégrer.

Les camarades du P.C. se cherchent, ceux de l'extrême-gauche ne sont toujours pas prêts à gouverner, mais le Parti de Gauche, lui, est disponible pour prendre la relève, en assumant l'héritage de Jaurès, et je dis bien en assumant, pas en le citant seulement comme les imposteurs de l'UMP, et en reconnaissant l'apport, aujourd'hui irremplaçable, de l'Amérique Latine, au lieu de calomnier comme nos médias à l'unisson, tous ceux qui travaillent pour le peuple, oui le Parti de gauche est disponible en assumant aussi, mes amis, le rejet de cette Europe libérale que nous dénonçons dans ce blog, au profit d'une Europe des peuples, solidaire, réellement démocratique, qui ne soit pas inféodée à l'OTAN, hier défensif, aujourd'hui seulement dévolu à la conquête militaire des ressources, oui voici un Parti de Gauche qui enfin ose clairement se désolidariser du ibéralisme financier et de l'Empire, qui dénonce clairement la compétition  dressant les individus les uns contre les autres ou le dumping économique, social, écologique,  qui réclame clairement une économie mixte, qui préfère le travail au capital, qui est prête à planifier quand il le faut, qui refuse les compromis pourris, qui change réellement les règles du jeu, qui est prête à organiser maintenant la Résistance au ""capitalisme qui porte en lui la guerre", qui ne nous laisse pas orphelins d'une vraie opposition aux désastres programmés à toute allure par un Pouvoir aux ordres du Grand Capital qui a prouvé concrètement sa nocivité et son cynisme, oui d'une opposition immédiate à l'intolérable conçu contre nous et contre nos enfants, avant que 'irrémédiable ne soit accompli !

Oui, une espérance est née pour Noël, avec une volonté, un drapeau, un parti qui remette l'individu au coeur de la politique !

Oui il y a aussi des bonnes nouvelles, mes amis, réjouissons-nous !

Car voici de retour l'idéal républicain de justice et de paix, car voici de retour la vraie politique, celle que nous aimons, celle qui ne fait pas peser sur les plus fragiles les conséquences des folies des financiers,   celle qui se solidarise avec les peuples plutôt qu'avec les puissances de l'argent, réjouissons-nous enfin, mes amis, l'espérance se lève d'une véritable opposition au capitalisme  aux ordres de l'Empire !

Votre Eva

 

 

 

 

  

28 réflexions sur « Le Parti de la Gauche, une espérance pour la Gauche »

  1. « Debout la République se lève, résolument, pour défendre le gaullisme social insoumis à l’Etranger. « 
    Comment pouvez vous prétendre cela alors que [b]Nicolas Dupont-Aignan[/b]
    [b]- a appelé à voter[b] « Non »[/b] au Référendum du 29 mai 2005 portant [b][i] »Loi Constitutionnelle référendaire autorisant Création d’une Constitution pour l’Europe »[/i][/b] ?
    – a voté, à l[b]’Assemblée Nationale[/b], contre la Loi Constitutionnelle [i] »portant Ratification du Traité de Lisbonne ? »[/i][/b]
    C’est un non sens que d’écrire, et je vous cite, evajournalisteresistante : [b][i] »Debout la République se lève, résolument, pour défendre le gaullisme social insoumis à l’Etranger. Saura-t-il se désolidariser vraiment du libéralisme et de l’UMP ? » [/i][/b]
    Il faut vérifier vos informations avant de prétendre de telles choses, d’autant que [b]Nicolas Dupont-Aignan[/b], qui est fondamontalement [b]Gaulliste[/b], a quitté l'[b]UMP[/b], et, qu’il est résolument dans l’Opposition !

  2. Les politiques
    Mais ou va t’ont Eva ,une chose est sur l’union confusément appelé la gauche n’est
    plus a gauche mais est même prête a faire une politique bien plus du centre
    puisqu’il sont même prêt a se rallier au Modem ?
    L’extrême gauche même si Dominique les voie prendre du poil de la bête ne constitueront jamais une force assez impotente pour gouverner.
    Mais une gauche dans le sens de Mélenchon-Lafontaine je pense pourrais plaire au Français et serais capable de rassembler une bonne partie des déçues des querelle intestine du socialisme actuel ,a méditer !!!!

  3. réponse Dominique
    Salut Dominique,
    Nicolas a dit hier qu’il avait voté Sarkozy,donc UMP. Clair, non ?
    Il a voté contre l’Europe libérale, tuant l’emploi etc. Bravo
    Tu me vouvoies, maintenant ? bigre ! Eva

  4. Eva est lucide !
    Eva, vous posez la bonne question sur Debout la République !

    Pour ma part j’ai déjà la réponse : il y a à peine 1 mois, NDA a affirmé sur Paris-Première qu’il ne reculerait pas devant un poste de ministre de Sarkozy s’il avait les moyens de ses ambitions…

    Ses critiques sonnent faux aujourd’hui !

    Heureusement que le vrai gaullisme est toujours défendu par l’Union du Peuple Français que vous connaissez déjà 😉

    Cordialement,

  5. De Gaulle, immense, libre…
    Oh Denis, le vrai gaullisme, comme il nous manque aujourd’hui ! Une voix forte, immense, pour dominer toutes les turpitudes, aberrations, et même monstruosités d’aujourd’hui. Une voix respectée, qu’on écoute, une voix indépendante, qui est détachée de l’argent, des lobbies, qui cherche seulement l’intérêt de son peuple, coûte que coûte. Même de droite, étant donné l’importance de la politique étrangère aujourd’hui, de l’Europe et de l’Empire, je n’hésiterais pas à choisir de Gaulle. Assurément le plus grand homme de l’histoire de l’humanité, prophétique de surcroît.
    Nous sommes bouffés par les intérêts étrangers, on décide à notre place et on transforme notre pays, qui perd son âme, ses valeurs, sa spécificité. Dépendre de la City, des néocons, ou du CRIF, mais non ! A nous de déterminer notre politique.
    Pauvre France devenant la copie de l’Amérique; avec toutes ses tares, jungle inhumaine, etc

    Amitié eva 😉

  6. evajournalisteresistante, Nicolas Dupont-Aignan ne pouvait pas voter pour Ségolène Royal !
    [b]Il a été obligé,, [i] »à ses yeux »[/i] de voter en faveur de Nicolas Sarkozy ! [i]J’aurais été à la place de Nicolas Dupont-Aignan, j’aurais voté « blanc » ou « nul » sans aucune hésitation, sachant que Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy étaient tous deux partisans de la Constitution Européenne, en plus d’être, plus tard, favorables au Traité de Lisbonne ![/i][/b]

  7. evajournalisteresistante, je dois tout de même te préciser que le choix de Nicolas Dupont-Aignan était mauvais.
    [b][u]En effet, [i]et il l’a oublié en mettant son bulletin de vote dans l’urne[/i], Ségolène Royal, [i]si bien sur elle avait été élue Président de la République[/i], n’aurait jamais demandé la ratification du Traité de Lisbonne, par Loi Constitutionnelle, au Parlement réuni en Congrès à Versailles[/u] : [i]elle aurait, bien qu’elle fut favorable à cette ratification, demandé au peuple français, par référendum, de ratifier le Traité de Lisbonne ou de ne pas le ratifier ![/i]

    Il est à noter que François Bayrou aurait agi de la même manière s’il avait été élu Président de la République…

    C’est pour cela que je ne comprends pas le vote de Nicolas Dupont-Aignan en faveur de Nicolas Sarkozy, d’autant, qu’il a voté contre la Loi Constitutionnelle [i] »portant Ratification du Traité de Lisbonne »[/i]. [/b]

  8. Laury, le Parti Socialiste dirigé par Martine Aubry ne se ralliera jamais au MoDem de François Bayrou !
    [b][i]Par contre, si il avait été dirigé par Ségolène Royal, ce même Parti Socialiste se serait rallié au MoDem ![/i]
    Or, Martine Aubry ne veut pas en entendre parler de cette alliance voulue par la Présidente du Poitou-Charentes, ce, même si, aux Municipales & Cantonales « 2008 », elle s’est présentée à la Mairie de Lille avec sa liste PS/MoDem !

    Ceci étant, le Parti Socialiste court à sa scission… D’autres partis de Gauche, dont celui de Jean-Luc Mélanchon, sont nés… Cependant, Olivier Besancenot, qui, pour l’instant, ne dit rien, risque fort de tirer son épingle du jeu… Il se pourrait qu’il y ait une fédération de toutes les Gauches n’acceptant pas la Sociale Démocratie autour de lui sans pour autant qu’il y ait « fusion » ![/b]

  9. rendez à césar
    J’étais au magnifique meeting de mélenchon (2 à 3000 personnes et une ambiance du tonnerre !)
    Le texte que tu nous proposes est le discours de Mélenchon à la fin du meeting. Tu ne l’as pas précisé, tu as juste signé « éva », et on pourrait penser que c’est toi qui l’as écrit ! Ce serait peut-être juste que tu fasse un petit chapeau à ton article pour le présenter.

    Amicalement

  10. DUTILLOY « sociale démocratie » , ça ne veut rien dire :
    ce n’est ni social ni démocrate : le pouvoir est toujours au main de l’argent et d’une caste pyramidale et non aux citoyens manipulés et formatés par les médias sous controle.
    Même dans les pays nordiques , ce n’est plus ce que c’était .
    Il faut arrêter de vous bercer d’illusions !

  11. Veritas = Patmos = VAUTIER, où ai-je parlé, dans mes commentaires, de « Sociale Démocratie » ?
    [b]Si vous relisez bien tous mes commentaires, je n’ai, nulle part, fait référence à la Sociale Démocratie…
    J’ai tout simplement analysé
    [i]- ce que Ségolène Royal aurait fait si elle avait été Président de la République ou Secrétaire Général National du Parti Socialiste,
    – ce que Martine Aubry, qui est élue Secrétaire Général National du Parti Socialiste, fera et ne fera pas,[/i]
    [i]- ce que feront les partis de la Gauche, qui sont en parfait accord avec Mélanchon et quelle attitude ils auront avec le NPA/exLCR d’Olivier Besancenot…
    [/i]
    Nuances ! Alors, relisez bien ce que j’ai écrit avant de m’attaquer sur la Sociale Démocratie, dont je n’ai jamais parlée sous cet article !

    Dominique DUTILLOY[/b]

  12. VOUS N’EN PARLEZ PAS ? ! :
    « Ceci étant, le Parti Socialiste court à sa scission… D’autres partis de Gauche, dont celui de Jean-Luc Mélanchon, sont nés… Cependant, Olivier Besancenot, qui, pour l’instant, ne dit rien, risque fort de tirer son épingle du jeu… Il se pourrait qu’il y ait une fédération de toutes les Gauches n’acceptant pas la Sociale Démocratie autour de lui sans pour autant qu’il y ait « fusion » ! »
    c’est de qui ce texte ?
    Ma parole contre la vôtre !

  13. Voici ce qu’écrit Wikipédia au sujet de Nicolas Dupont-Aignan
    [i][b]En 1988, Nicolas Dupont-Aignan participe, dans le cadre de ses fonctions de sous-préfet, à une des réunions du club Convaincre animées par Michel Rocard, pour présenter un plan de schéma directeur pour les transports en Île-de-France.
    Avant même l’échec d’Édouard Balladur à l’élection présidentielle de 1995, il entre au cabinet de Michel Barnier, ministre de l’Environnement en février 1995. Toutefois, à la différence de son « patron », il choisit de ne soutenir aucun des deux candidats issus du RPR. En février 1997, il est désigné directeur des études au sein du RPR, par son président Alain Juppé (également Premier ministre). Malgré la défaite de la majorité sortante, il devient député de l’Essonne.
    En février 1998, le nouveau président du RPR, Philippe Séguin, dont il s’était rapproché dès avant la dissolution de l’Assemblée nationale l’année précédente, le nomme secrétaire aux fédérations.
    Positionnement politique [modifier]
    Lors de sa première campagne électorale, Nicolas Dupont-Aignan milite pour Jacques Chaban-Delmas au premier tour de l’élection présidentielle de 1974.
    Toutefois, en janvier 1999, après s’être prononcé contre la ratification du traité d’Amsterdam, il est remplacé dans ses fonctions de secrétaire aux fédérations, et amorce un rapprochement avec le souverainisme, notamment avec Charles Pasqua.
    Le 3 février 1999 (d’après le Journal Officiel), il fonde le club Debout la République, au sein du RPR, et, pour les élections européennes du 13 juin 1999, appelle à voter pour la liste « souverainiste » conduite par Charles Pasqua et Philippe de Villiers.
    Il quitte alors le RPR, le 15 juin, pour devenir dans la foulée le secrétaire général adjoint du Rassemblement pour la France, nouvelle formation lancée par Charles Pasqua, y étant plus particulièrement chargé des fédérations.
    Toutefois, avant la rupture entre Charles Pasqua et Philippe de Villiers il choisit de démissionner du RPF en mai 2000.
    S’ensuit une période de rapprochement avec Philippe Séguin (à cette époque candidat à la succession de Jean Tiberi, maire de Paris) puis, à l’automne 2001, une certaine proximité idéologique avec Jean-Pierre Chevènement, alors qualifié de « troisième homme » par certains médias français, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2002. Il publie même, avec ce dernier, dans les colonnes du Figaro, le 24 octobre 2001, une tribune libre, « La République est morte, vive la République ! ».
    La victoire du président sortant, Jacques Chirac, face à Jean-Marie Le Pen, le 5 mai 2002, le voit revenir dans l’orbite de la majorité présidentielle, qu’il rallie sans conviction et ne croyant guère au devenir de cette formation. Il est réélu député de l’Essonne dès le premier tour, le 9 juin.
    Il adhère notamment à l’Union pour un mouvement populaire lors de sa création formelle, et se présente à la direction avec Sylvie Perrin et Christophe Beaudouin, le 17 novembre 2002, face à Alain Juppé, Rachid Kaci, Brigitte Freytag et Mourad Ghazli. Il obtient 14,91 % des suffrages des délégués.
    Il se présente à nouveau à la présidence de l’UMP, le 28 novembre 2004, face à Nicolas Sarkozy et Christine Boutin, n’obtenant cette fois que 9,7 % des suffrages.
    Incarnant toujours un gaullisme à vocation souverainiste et sociale, il semble désormais déterminé à incarner durablement ce courant au sein du parti majoritaire au sein de la droite parlementaire française. Il dénonce très tôt l’abandon des références gaullistes du nouveau parti majoritaire. En mai 2004, dans la perspective du futur référendum français sur la constitution européenne, il présente une motion intitulée « Pour une autre Europe » lors d’un conseil national de l’UMP, motion qui obtient près de 20 % des voix.
    [u]Il appelle naturellement à voter non lors du référendum du 29 mai 2005, après avoir lancé un « Comité pour le non à la constitution européenne ». Il est l’un des tenants de droite à faire voter Non au référendum du 29 mai 2005 sur le traité constitutionnel européen. Toujours dans sa ligne du gaullisme républicain, il s’oppose au CPE, à la privatisation de Gaz de France[/u].
    Le 14 octobre 2005, il annonce sa candidature à l’élection présidentielle de 2007, dans un entretien publié le lendemain dans le Figaro. Dans un premier temps, il se réservait la possibilité de participer à des « primaires » si un système « crédible et honnête » de désignation du candidat de la majorité présidentielle était mis en place et si les candidats potentiels s’y ralliaient. Depuis, estimant qu’un tel système ne se met pas en place, il affirme qu’il sera candidat à la présidentielle de 2007 et ne participera pas aux primaires de l’UMP, « la présidentielle n'[étant] pas l’affaire des partis mais la rencontre entre un candidat et le peuple ».
    Le 13 janvier 2007, il annonce son départ de l’UMP en raison de son désaccord avec Nicolas Sarkozy[5]. Il siège depuis sur le banc des non-inscrits.
    Le 16 mars 2007, il renonce à se présenter à l’élection présidentielle faute d’avoir pu rassembler les 500 signatures d’élus nécessaires.
    [u]Le 31 mars 2007, réuni à la maison de la chimie à Paris avec ses partisans, il institue « Debout La République » en tant que véritable parti politique. Le socle de ce parti, revendiquant la défense d’une « certaine idée de la France » gaulliste et républicaine, est le « Pacte pour la France »[1] consignant les idées et les valeurs défendues par ce nouveau parti. Force politique nouvelle, ce parti a pour vocation de rassembler, dans un premier temps, l’ensemble des soutiens de Nicolas Dupont-Aignan à l’élection présidentielle. Dans ce sens, les mouvements Vive la République, Cercle Jeune France, Initiative Gaulliste, Union Gaulliste et Union du Peuple Français s’y étaient associés avant de refuser de suivre Debout La République dans la majorité présidentielle[6] et de se regrouper au sein de l’Union du Peuple Français qui s’est transformée en confédération pour permettre ce rapprochement.[/u]
    [u]Depuis le 9 septembre 2007, Debout La République ne se situe plus dans la majorité présidentielle[/u]. En effet, en raison de désaccords avec la politique menée par le président Nicolas Sarkozy (traité simplifié, paquet fiscal, politique étrangère pro-américaine), Nicolas Dupont-Aignan a décidé de rompre les derniers liens de son mouvement avec l’UMP[8]. Il va même jusqu’à voter la motion de censure déposée par le groupe socialiste de l’Assemblée nationale le 8 avril 2008[9]. D[u]ans France-Soir, Nicolas Dupont-Aignan déclare : « Plus que jamais la France a besoin d’un mouvement gaulliste et libre. C’est pourquoi Debout la République, même modeste au démarrage, s’affirme aujourd’hui comme un parti politique indépendant. Autrefois parti associé à l’UMP, nous n’avons plus aucun lien financier avec ce parti. Beaucoup de gens, qui ne recherchent pas des fromages ministériels nous rejoignent, de droite comme de gauche. »
    Le 14 février 2008, il signe, avec 16 autres personnalités politiques de tous bords, l’« Appel du 14 février » pour une vigilance républicaine lancé par l’hebdomadaire Marianne.
    Nicolas Dupont-Aignan est aussi vice-président d’EUDemocrats, parti européen dont Debout la République est membre.[/u]

    [/b][/i]

    [b]http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Dupont-Aignan[/b]

  14. Mais, Veritas = Patmos = VAUTIER, il faudrait que vous appreniez à lire une analyse politique …
    Si j’ai effectivement écrit que d’ [b][i]« autres partis de Gauche, dont celui de Jean-Luc Mélanchon, sont nés… »[/i][/b], c’est parce que j’ai estimé, comme je l’ai d’ailleurs écrit que [b][i]« le Parti Socialiste court à sa scission… »[/i][/b].
    Puis, lorsque j’ai estimé qu’ [b][i]« Olivier Besancenot, qui, pour l’instant, ne dit rien, risque fort de tirer son épingle du jeu… Il se pourrait qu’il y ait une fédération de toutes les Gauches n’acceptant pas la Sociale Démocratie autour de lui sans pour autant qu’il y ait « fusion » ! »[/i][/b], je n’ai fait qu’analyser ce qui sépare les partisans d’une alliance avec le[b] MoDem[/b] et ceux qui veulent une véritable politique de [b]Gauche[/b] excluant toute alliance avec le [b]Centre[/b]…

    Effectivement, si je n’ai écrit qu’une seule fois le mot [b]« Sociale Démocratie »[/b], [i]ce, pour éviter de répéter encore une fois le mot « MoDem », pour moi synonyme de [b]« Sociale Démocratie »[/b][/i], je ne me suis pas étendu là dessus, n’ayant fait aucune analyse sur ce concept politique…

    Dont acte !

  15. Mais moi j’vous dit DUTILLOY, que : « sociale démocratie » , ça ne veut rien dire :
    ce n’est ni social ni démocrate : le pouvoir est toujours au main de l’argent et d’une caste pyramidale et non aux citoyens manipulés et formatés par les médias sous controle.
    Même dans les pays nordiques , ce n’est plus ce que c’était .
    Il faut arrêter de vous bercer d’illusions !
    et puis il faut arreter de « jésuiter » comme cela : vous avez dit maintes et maintes fois que vous étiez pour le MODEM , pour la sociale démocratie ; reconnaissez-le au moins !
    Mais « moi j’vous dit qu’c’est » une illusion : après-tout « j’ai l’droit vous l’dire » : « j’n’insulte personne » ! voila « qu’j’me met » à parler comme le Tzar !!!!!!!!

  16. Décidément, Veritas = Patmos = VAUTIER, vous ne comprenez strictement rien à mes écrits !
    Je n’ai pas fait la propagande en faveur de la [b]Sociale Démocratie[/b] ! [i]Je n’ai pas non plus critiqué cette [b]Sociale Démocratie[/b], comme vous le faites d’ailleurs, vous mettant totalement hors sujet par rapport à mes commentaires ![/i]
    Je n’ai fait qu’analyser, [i]comme je l’ai écrit[/i], les attitudes des uns et des autres par rapport au [b]MoDem [/b]de [b]François Bayrou[/b] et par rapport au [b]NPA/exLCR[/b] d'[b]Olivier Besancenot[/b]…

    [b]Veritas = Patmos = VAUTIER[/b], vous êtes tellement obnubilé par votre haine de la [b]Sociale Démocratie[/b], que vous ne savez pas du tout débattre en toute sérénité… [i][b]Je remarque que votre attitude n’est pas étrangère à votre soutien en faveur d’Olivier Besancenot[/b]…[/i]

  17. DUTILLOY vous répondez à coté de ce que je dis selon vos mauvaises habitudes !
    je n’ai jamais critiqué votre position personelle -chacun étant encore libre dans ce pays et heureusement – profitons-en car ça ne durera peut-être pas !
    Je critique la Sociale démocratie qui est un leurre de democratie et de socialisme….
    et je cherche à vous ouvrir les yeux la dessus
    ainsi que sur la liberté des journaliste qui sera compromise avec le nouvel ordre mondial et les mesures coercitives qui sont dans les cartons des Bilderberger !!!

  18. Veritas = Patmos = VAUTIER, je me demande si vous savez vraiment lire un commentaire ?
    Certes, [u][i]et vous ne l’ignorez pas puisque je l’ai maintes et maintes fois écrit[/i][/u], je suis favorable à la [b]Sociale Démocratie[/b] ! Et, je ne m’en suis jamais caché !
    Cependant, pourriez-vous me dire où, [i]tout au moins sous cet article d'[b]evajournalisteresistante[/b][/i], j’ai écrit que j’étais un partisan de la Sociale Démocratie ?

    [b]VOUS N’AVEZ TOUJOURS PAS REPONDU A CETTE QUESTION, COMME A VOTRE HABITUDE, RELEVANT QUE J’AVAIS UTILISE CE TERME DANS UN DE MES COMMENTAIRES…[/b]

    Pour l’instant, vous remplissez du papier comme on dit, sans apporter le moindre élément à l’analyse que je fais à la suite de l’article d'[b]evajournalisteresistante[/b], qui, il faut le constater, me donne pour une fois raison dans mon analyse !

  19. Monsieur DUTILLOY , considérez vous comme averti :
    « liberté des journaliste qui sera compromise avec le nouvel ordre mondial et les mesures coercitives qui sont dans les cartons des Bilderberger !!! »
    J’ai dit tout ce que j’avais à vous dire . Mission accomplie .

  20. Monsieur Veritas = Patmos = VAUTIER, considérez donc que je cesse tout débat avec vous,
    [b]puisque vous me parlez maintenant de [b][i]« la liberté des journaliste qui sera compromise avec le nouvel ordre mondial et les mesures coercitives qui sont dans les cartons des Bilderberger !!! »[/i][/b], ce qui n’a strictement rien à voir avec les arguments que j’ai développés dans mes commentaires…

    Vous considérez que votre mission est accomplie ! Donc, il est inutile de continuer à débattre avec moi,
    [i]- car, d’une part, vous n’avez pas répondu à ma question que je posais dans mon précédent commentaire,
    – car, d’autre part, vous ne me convaincrez pas dans mes choix politiques ![/i]

    Voilà…. C’est tout ce que j’avais à dire ![/b]

  21. A Zab
    Zab, j’ai pour la 1e fois, et c’est original comme démarche, intégré des mots forts du discours de Mélenchon, repris par la presse, dans mon papier, comme « volonté, drapeau… », pas beaucoup, quelques-uns, pour renforcer, ou illustrer mon propre argumentaire. Ils ont jailli spontanément (avec moi c’est toujours un premier jet), car je les avais entendus partout. A vous de les reconnaître, ils sont disséminés … Bien à toi eva

  22. suite
    Zab, je relis ton mot, désolée c’est mon article, avec mon style, j’ai juste intégré quelques expressions de Mélenchon, que tout le monde peut clairement reconnaître, pour que tout soit lié, mon article, et quelques mots à lui. Unité de pensée, je n’ai besoin de personne pour écrire, tout est toujours improvisé, mais là volontairement j’ai intégré au texte quelques expressions pour que cela ne fasse plus qu’un. Savant alliage, finalemrnt : faut-il que nos pensées se chevauchent ! Eva

  23. Hé, hé, c’est vivant, ce débat ! Messieurs, cherchez à vous comprendre….

    Dominique, inutile de donner mon nom au complet, eva suffit, on comprendra, c’est plus court

    amitié à tous eva

    intéressant, l’itinéraire de D-A. je le rejoins sur 3 plans
    – gaullienne
    – sociale
    – souverainiste

    bien à vous tous eva

  24. « Pour le sénateur Jean-Luc Mélenchon, le plan du président est un « plan Medef » qui offre « de nouveaux cadeaux aux entreprises, sans moyen véritable pour soulager les travailleurs eux-mêmes et les ménages ». »C’est Noël avant l’heure pour les patrons! », dénonce le fondateur du Parti de gauche pour qui « le nécessaire bouclier social pour les travailleurs reste introuvable ». »

  25. Pauvre parti !

    J’ai vu une intervew de Jean-luc Mélenchon.

    Il ne semble pas choqué qu’un sénateur puisse prétendre à une retraite de 1800 euro après avoir été député pendant un mandat.

    Bien des français ne touchent pas cette somme en fin de carrière après 40 ans de travail, alors ne parlons pas de leur retraite à eux.

    Ce monsieur sera crédible le jour où il proposera de modifier cet avantage qui est financé par nos impôts.

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