Le paludisme est une maladie qui peut être mortelle.
Et oui, celle-ci est due à des parasites qui sont transmis à l’homme par le biais, notamment, des piqûres de moustiques.
Chaque année, le paludisme est a l’origine de plusieurs décès essentiellement parmi les enfants africains.
Pourtant, le paludisme est une maladie que l’on peut éviter mais surtout qu’il est possible de prévenir et de guérir.
Mais une fois de plus, voilà que le paludisme est de retour en Algérie. Dans la seule ville de Tamanrasset plus de 800 cas de paludisme sont enregistrés…
C’est un véritable SOS que viennent de lancer les médecins de Tamanrasset.
La propagation du paludisme est alarmante en Algérie. On trouve normalement cette maladie dans les pays de l’Afrique noire mais pas dans le Maghreb.
Mais l’on peut constater que ce paramètre est relatif aux grands afflux des pays du Mali et du Niger suite à une crise sécuritaire.
Mais comment faire vu que les algériens ne sont pas du tout immunisés contre cette maladie. Ils ignorent qu’il existe des traitements préventifs et ne connaissent qu’à peine cette maladie, ni ses symptômes ni ses conséquences… Alors comment faire ?
C’est dire que les algériens sont plus exposés au risque de malaria du fait qu’ils ne se protègent pas et que surtout ne prennent aucunes mesures préventives.
Sur ce, il faut que les autorités mènent une vaste campagne de prévention en matière d’insecticide et de moustiquaires sur le plan régional et national.
C’est l’Anophèle femelle qui transmet le paludisme (qu’on appelait autrefois la malaria). La copulation terminée, les femelles cherchent leur 1er repas sanguin dès le crépuscule et en continuant pendant la nuit jusqu’à ce qu’elles l’aient trouvé. Le repas dure de 2 à 3 min et la quantité de sang ingérée varie de 1 à 2,5 µl.
Il y a aussi la dengue appelée aussi « petit palu » provoqué par un moustique.
Pour l’anecdote, je suis paludéen (attrapé en Afrique) et j’ai eu la dengue aux Antilles. Sinon tout va bien…