Le nucléaire israélien,

une menace permanente !

On connait peu de chose sur la capacité nucléaire Israélienne, on n’en parle peu comme si c’était un crime anti sioniste alors que par contre l’on n’arrête pas d’évoquer le nucléaire Iranien qui n’a pas encore de bombes et qui conduit les États-Unis et l’Union Européenne, par le Conseil de sécurité, à opposer à l’Iran des sanctions de plus en plus sévères, deux poids deux mesures, voir, mon article Le nucléaire Iranien .

Encore, le 26/07/10 l’Union Européenne et le Canada envisageraient de nouvelles sanctions afin d’obliger l’Iran à une position plus souple dans les négociations sur son programme nucléaire. Les sanctions seraient d’une ampleur sans précédent sur son secteur énergétique pétrole et gaz. Outre l’énergie , le secteur Iranien du transport de fret, par mer ou par air, serait durement frappé, les contrôles dans les ports Européens ou en haute mer seraient renforcés. Les échanges commerciaux devraient être rendus plus difficiles, l’activité de huit nouvelles banques Iraniennes serait interdite, les transactions financières supérieures à 40.000 euros avec l’Iran sans autorisation spéciale seraient prohibées et la liste de personnes privées de visa ou victimes de gels d’avoirs serait nettement étendue. Bien entendu tous n’apprécient pas ces sanctions, et l’Iran les rejette et les condamne. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, a assuré que ces sanctions «n’affectent pas la détermination de l’Iran à défendre son droit légitime à poursuivre son programme nucléaire pacifique». La Russie juge inacceptable ces nouvelles sanctions hors ONU, a déclaré le ministre Russe des affaires étrangères. «Nous devons constater avec regret que toutes les dernières mesures de l’Union Européenne et des États-Unis pour accroître la pression sur l’Iran montrent leur mépris des principes du travail commun», a ajouté la diplomatie Russe. A-t-on vu un tel acharnement sur un pays dans lequel il n’a pas été trouvé d’enrichissement pour applications militaires ?

Mais cela s’explique, le Nouvel Ordre Mondial étant gouverné par le réseau sionisme mondial, aucun équilibre juste ne peut être entrevu sans le déclenchement d’un nouveau conflit redistribuant les cartes. 

Selon l’Agence Associated press , 18 pays arabes, soutenus par des pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie sont parvenus à faire inscrire sur l’Agenda de l’AIEA (Agence Internationale pour l’Energie Atomique), la question du nucléaire Israélien sous l’intitulé «Les capacités nucléaires Israéliennes». On remarquera que le terme employé est «capacités», alors que pour l’Iran c’est nucléaire, dans le premier cas il s’agit d’un fait tandis que pour le second ce n’est rien de précis.

C’est la première fois dans une lettre du 05/05/10 à Monsieur Yukiya Amano, chef du département nucléaire de l’Organisation des Nations Unies que la question demande à Israël de signer le Traité de Non Prolifération. Les Alliés d’Israël ont un mois pour bloquer cette initiative qui, conformément aux statuts de l’AIEA, pourrait être renvoyée au Conseil de Sécurité, ce qui sera probablement fait. Ce serait une épreuve de vérité pour le clan des cinq mais qui n’engagerait pas Israël si une résolution serait émise puisqu’il ne les a jamais appliquées surtout dans le domaine nucléaire. On mesure bien l’importance morale de cette initiative dans le contexte ou l’on fait peser sur l’Iran de graves sanctions.

On sait très bien qu’Israël possède la «bombe atomique» depuis un lapsus du premier ministre Israélien Ehud Olmert interrogé par la chaîne Allemande N24 à l’occasion de sa visite à Berlin. Ehud Olmert a indiqué qu’il y avait une «grande différence» entre la volonté de l’Iran d’accéder à la bombe et la situation d’autres puissances, «Pourriez-vous dire que c’est la même chose que pour l’Amérique, la France, Israël et la Russie ?» Le mot «Israël» était lâché. Il l’avait déjà été, le 6 décembre 2006, par le nouveau secrétaire Américain à la Défense, Robert Gates, lors de son audition au Sénat. Pour la première fois, un haut responsable de Washington déclarait publiquement que «l’Iran est entouré de pays dotés de l’arme nucléaire, le Pakistan à l’est, Israël à l’ouest…» Le secret de polichinelle de la bombe atomique d’Israël était tombé.

Le programme Israélien date de 1954, il a débuté en étroite collaboration avec la France qui cherchait aussi à se doter de l’arme nucléaire. Une centrale nucléaire de 24 mégawatts a été construite à Dimona, dans le désert du Néguev au sud du pays. Au sein du pouvoir Israélien, Shimon Pérès directeur général du ministère de la défense se voit confier la conduite de ce programme très secret et s’implique particulièrement dans l’achat d’armes. «La coopération avec la France a cessé entre 1961 et 1963, avec le retour du général de Gaulle au pouvoir, raconte Pierre Razoux, auteur de Tsahal, Nouvelle histoire de l’armée Israélienne, éditeur Perrin».

Les Américains ont alors pris le relais, en demandant à Israël de maintenir l’ambiguïté sur cette question. A la veille de la guerre des Six Jours, en juin 1967, les premières armes nucléaires deviennent opérationnelles au sein de Tsahal. L’État hébreu va ensuite coopérer avec l’Afrique du Sud, en réalisant vraisemblablement un essai commun dans l’océan Indien en 1979. Puis, «après le traité de paix avec l’Égypte, en 1977, les États-Unis ont aidé Israël à se doter de la bombe H», affirme Pierre Razoux qui est un historien de l’Institut Français des Relations Internationales IFRI, il a écrit plusieurs ouvrages sur les conflits contemporains. 

En 1986, un physicien pacifiste de la centrale de Dimona, Mordechai Vanunu, avait fait des révélations sur le programme de son pays. Enlevé à Rome par les services secrets Israéliens, il a été condamné à dix-huit ans de prison et libéré en 2004 dans la seule démocratie du Moyen-Orient. Israël peut tout se permettre.

L’axe Franco-israélien a été sacralisé dès 1956 avec la crise de Suez, durant laquelle Israël appuya son allié européen contre l’Égypte. En récompense de ces liens étroits, la France fournit très discrètement à Israël la technologie pour construire un réacteur dans la région de Dimona, qui entrera en fonction entre 1962 et 1964. Celui-ci était considéré, par une grande partie des experts, comme un site de fabrication d’armes nucléaires. Le gouvernement Israélien s’est toujours refusé à tout commentaire sur le sujet, s’en tenant à une politique d’ambigüité délibérée. Parallèlement à la construction du site de Dimona, à laquelle des ingénieurs Français ont participé, des scientifiques Israéliens sont soupçonnés d’avoir participés aux essais nucléaires Français dans le désert Algérien.

En 1954, Shimon Pérès se rend en France et fait la rencontre d’Abel Thomas, directeur général du ministère de l’Intérieur, qui lui présente son ministre Maurice Bourgès-Maunoury. Ensemble, ils mettent en place une coopération entre les services de renseignements dans la lutte contre l’ennemi commun Égyptien accusé par la France de soutenir les indépendantistes Algériens. En 1956, Bourgès-Maunoury devient ministre de la Défense dans le gouvernement de Guy Mollet. Une étroite coopération Franco-israélienne s’amorce. Les efforts de Shimon Pérès étant efficaces, il réussit à acquérir, auprès de la France, outre le premier réacteur nucléaire de Dimona, le Mirage III, un avion de combat à réaction auprès de Marcel Dassault.

En 1958, des avions de reconnaissance Américains de type U-2 survolent le site de Dimona et confirment les soupçons de l’existence d’un programme de recherche nucléaire. Cette nouvelle ne va pas alarmer les dirigeants Israéliens qui prétendront tour à tour qu’il s’agit d’une usine textile ou encore d’une exploitation agricole, quant aux Français, ils adopteront un profil bas face aux autres superpuissances. Les États-Unis demandent alors qu’Israël accepte des inspections de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA).

Israël donne son accord aux conditions suivantes, des inspecteurs Américains plutôt que ceux de l’AIEA et d’être informé à l’avance de toutes les dates d’inspections. Alors, entre 1962 et 1969, vont arriver à Dimona des inspecteurs envoyés par Washington.

«Ignorants ou malhonnêtes, ces experts ne s’aperçoivent pas que les locaux qu’ils visitent sont une mise en scène avec de faux instruments qui miment des processus inexistants du nucléaire civil et que sous le pavé sur lequel ils marchent, il y a un énorme bunker de huit étages où l’on construit les armes nucléaires…de l’Association antisioniste France Palestine ».

La France s’inquiète progressivement des intentions Israéliennes et de la révélation potentielle du secret qui risquerait d’affaiblir sa position déjà difficile au sein du concert des nations. Le général de Gaulle demanda aux dirigeants Israéliens de confirmer publiquement l’existence du site nucléaire en échange de la fourniture de matériaux et technologies complémentaires. Le premier ministre David Ben Gourion en 1960 s’exécuta en précisant que le réacteur serait utilisé à des fins exclusivement civiles. En réalité, c’était loin d’être le cas eu égard aux objectifs du programme. Cette annonce conditionnât la fin de la coopération Franco-israélienne dans ce domaine, paragraphes tirés de Wikipédia .

Grâce au soutien des États-Unis, de l’Union Européenne et surtout de la complicité active des réseaux sionistes dans le complexe militaro-industriel mondial, Israël est aujourd’hui une puissance nucléaire arrivée à maturité disposant de vecteurs de frappe qui repose à la fois sur des bombardiers, avec 200 à (400 ?) têtes selon les experts, et des missiles balistiques à longue portée Shavit, un engin qui a permit de mettre en orbite les satellites Ofek, et Jéricho II sur des rampes mobiles de lancement qui ont une portée de 1.500 km emportant une charge nucléaire d’une tonne, et le Jéricho II B capable d’atteindre probablement 2.800 km qui en font une puissance stratégique autonome, ainsi que des sous marins récemment acquis en Allemagne. Les missiles balistiques d’une portée comprise entre 5.000 et 7.000 km sont capables d’atteindre n’importe quel objectif au Moyen-Orient et même en Europe.

Selon la revue la revue Anglaise spécialisée Jane’s Intelligence Review, leur arsenal comprend environ 400 % d’une puissance d’ensemble de 50 mégatonnes équivalant à 3 850 bombes d’Hiroshima. Il s’agit d’abord d’armes tactiques de faible puissance, parmi lesquelles des bombes à neutrons faites pour frapper des objectifs rapprochés sans provoquer une excessive retombée radioactive sur-le-champ de bataille. Mais on trouve aussi des armes thermonucléaires de forte puissance prêtes à être utilisées. Comme vecteurs nucléaires les forces Israéliennes disposent d’environ 300 chasseurs F16 fournis par les États-Unis et 25 F15 d’origine Américaine également. Ces derniers ont été «renforcés» avec l’augmentation du rayon d’action à 4450 km et en les dotant de systèmes de guidage plus sophistiqués. Ces avions sont armés de missiles air-sol Popeye à tête nucléaire capables de pénétrer à une certaine profondeur sur le terrain pour détruire les bunkers des centres de commandement. Ce système d’armes acquis de l’aéronautique Américaine a été utilisé en 1999 avec des têtes conventionnelles dans la guerre contre la Yougoslavie, et a été produit, testé et amélioré à travers un programme conjoint Israélo-américain. Une autre version de ce même missile nucléaire, le Popeye Turbo, a été installée sur trois sous-marins Dolphin, fournis par l’Allemagne en 1999-2000. La marine Israélienne peut ainsi maintenir en navigation vingt-quatre heures sur vingt-quatre, soit dans la Méditerranée soit en mer Rouge ou dans le Golfe persique, au moins deux sous-marins armés de missiles nucléaires, publié par l’Association France Palestine .

Les capacités nucléaires Israéliennes étant maintenues secrètes et les dirigeants de l’AIEA, ne pouvant les visiter, il est bien évident que ce qui est publié ne peut être considéré exact, même si elles sont entachées d’erreur elles existent. Israël est paradoxalement le seul des huit États à maintenir le flou sur ses capacités nucléaires. A partir du moment ou Israël a eu recours au mensonge pour défendre ses secrets nucléaires vis à vis de l’étranger, il en a fait autant vis à vis de ses citoyens, les membres de la Knesset, et même avec le gouvernement, Le Monde diplomatique.

Ce qui est frappant c’est leur importance pour un si petit pays comment fait-il pour masquer cet énorme arsenal alors qu’il est si facile avec les moyens dont on dispose de détecter ce qui se passe sur une surface de 1 mettre carré au sol par une surveillance satellitaire continue ? Il y a donc une double connivence entre les États-Unis et l’AEIA, qui sans être sur le terrain pourrait apprécier exactement l’arsenal nucléaire Israélien. On voit à la lecture de ce qui est écrit, obtenu par des recherches sur Google, que les dirigeants Israéliens ont non seulement menti mais ont pratiqué la supercherie sur une grande échelle ce qui ne peut se faire qu’avec l’assentiment des États-Unis et de l’Union Européenne. La France de Guy Mollet n’est pas en reste puisque c’est elle qui lors de l’affaire de Suez à permit aux Israéliens le démarrage de leur centrale de Dimona.

Pour revenir aux sources du programme atomique, il convient de citer le contexte de la coopération diplomatique et militaire très soutenu qui existait entre la France et l’État hébreu au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Celle-ci entrant dans le cadre des Protocoles de Sèvres. En sus des amitiés personnelles qui liaient les socialistes Guy Mollet et le général Kœnig aux travaillistes Israéliens, Paris avait rapidement considéré l’État hébreu comme un allié au Proche-Orient. En effet, vu l’influence Française déclinante avec la fin de la tutelle sur le Levant, Liban et Syrie, les ambitions panarabistes de l’Égypte de Nasser et la concurrence avec les États-Unis et le Royaume-Uni sur le contrôle des hydrocarbures, il lui fallait s’appuyer sur un État qui lui permettait de garder un pied dans la région. Mais les Israéliens n’ont cessé de mentir sur ce qu’ils faisaient avec cette centrale de sorte que la France s’est trouvée piégée, et ne pouvait plus faire autrement que de fermer les yeux.

C’est de Gaulle qui a arrêté cette dérive en stoppant la coopération militaire et nucléaire avec les Israéliens.

Le 08/03/10 dans un communiqué de l’AFP, Israël annonce faire appel à la France pour la construction d’une centrale nucléaire civile, Conférence internationale sur le nucléaire civil Paris le 09/03/10. Il s’agirait d’un «projet commun avec la Jordanie voisine, sous la supervision de la France qui fournirait la technologie». La même dépêche s’empresse de rappeler que «Israël n’est pas signataire du Traité de non-prolifération nucléaire et qu’il n’adhère pas non plus au projet d’un Moyen-Orient dénucléarisé que défend le Président Américain Barack Obama». Sans doute pour relativiser la portée du nucléaire civil israélien, il est précisé également que «l’État hébreu s’est doté de 200 ogives nucléaires ainsi que de missiles à longue portée», de Égalité et réconciliation.

Le 29/07/10 un accord de coopération nucléaire entre le États-Unis et Israël vient d’être signé, il prévoit notamment le transfert de technologie en matière de construction de réacteur pour produire de l’électricité contournant ainsi le TNP dont Israël n’est pas signataire. De plus, ils ont également mené le mois dernier des exercices militaires conjoints dont certains sur des scénarios extrêmes, à lire sur Planètenonviolente. Le réacteur de Domina construit il y a des décennies avec la coopération de la France est considéré relativement vieux. Des inquiétudes touchant à la sécurité se font jour puisque n’étant pas sous surveillance internationale à cause du caractère secret de ses activités. Or, la Commission de l’Énergie Atomique d’Israël IAEC, a noté que les vieux réacteurs US ont été rénovés de la même façon et qu’ils ont reçu des autorisations pour continuer leurs activités pendant des décennies, pourquoi donc ne pas faire appel aux Américains ? L’IAEC, est responsable de fonctionnement du réacteur de Dimona et également pour superviser sa sécurité.

Cette dernière information laisse à penser que le projet commun avec la Jordanie de construction d’une centrale nucléaire civile sous la supervision de la France n’a pas eu de suite.

Tant qu’Israël n’aura pas signé le TNP et qu’il ne permettra pas l’inspection de ses installations par l’AEIA, Israël sera un danger pour l’équilibre du monde. Sur l’échiquier mondial Israël est un pays comme un autre, il n’y a aucune raison qu’il bénéficie d’avantages que les autres n’ont pas.  Ses intentions d’attaquer l’Iran font planer une vraie inquiétude car ce n’est pas en écrasant l’Iran avec l’appui des États-Unis qu’un équilibre stable peut être instauré. On se rend bien compte que sous le prétexte d’assurer sa sécurité, Israël se permet tout sans la moindre sanction internationale, cette situation est intenable à terme. Les guerres d’Irak et d’Afghanistan ne résolvent rien, bien au contraire elles font planer un climat d’insécurité qui nous oblige à être en permanence en état d’alerte, ce qui, par le fait qu’il devient permanent, ne sert plus à rien.

Cela ne peut être détaché du conflit Israélo-palestinien qui condamne Israël pour son intransigeance à ne pas vouloir arrêter les colonisations et n’imposer aux Palestiniens que ses conditions pour des négociations directes. Le vice-Premier ministre Israélien Sylvan Shalom a déclaré impossible les conditions posées par le président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas pour relancer des négociations, «les Palestiniens posent trois conditions impossibles: que les négociations reprennent au point où elles avaient abouti à la fin de 2008 alors qu’Ehud Olmert était Premier ministre, qu’elles soient basées sur un retrait total Israélien de Cisjordanie et Jérusalem-Est, et que le gel de la construction dans les colonies se poursuive», a affirmé M. Shalom à la radio publique, sur Le Point.fr

31 réflexions sur « Le nucléaire israélien, »

  1. Bonjour Anido, très bon article… Cette domination mondiale de l’Etat d’Israel est en effet très inquiétante, c’est un état « guerrier, conquérant et dominateur » (De Gaulle), et comme vous le dites à juste titre, « A partir du moment ou Israël a eu recours au mensonge pour défendre ses secrets nucléaires vis à vis de l’étranger, il en a fait autant vis à vis de ses citoyens, les membres de la Knesset, et même avec le gouvernement ». En effet, et ça continue! Il s’affaire à répandre sa propagande via les grand médias et internet qu’il contrôle en partie, de par la pression et les menaces qu’il est capable de mettre en place… Plus de 2 000 000 de palestiniens expulsés de chez eux en « toute discrétion », les menaces proférées à l’encontre de la République d’Iran, la protection des usa (dont la plupart aux commandes ont la double nationalité usa/ israel) mais aussi et surtout des dictatures d’Egypte et [b]d’Arabie saoudite (1 er foyer du terrorisme)[/b]… Il y a de quoi s’inquiéter en effet… d’autant que son intention réelle apparait de plus en plus clairement: étendre ses colonies en Irak (en cours au nord de l’Irak), Liban, Jordanie,… et cela au prix encore de multiples vies et destins brisés…

  2. Et notons aussi la violence de cette armée, leurs soldats très agressifs, venez voir la vidéo de la dernière manifestation en Cisjordanie, postée sous [url]http://www.come4news.com/solidarite-palestine,-appel-a-lunion-658647#pc_135287 [/url]… ils frappent des humanitaires pacifiques, poussent à terre une jeune femme sous les cris des enfants apeurés qui ne semblent pas du tout les faire reculer!

  3. JERUSALEM – Une roquette tirée de la bande de Gaza s’est abattue vendredi sur la ville d’Ashkelon, dans le sud d’Israël, provoquant des dégâts mais sans faire de victime, a-t-on appris de sources militaires.

    La roquette de type Grad, d’une portée de 20 km, a explosé dans un quartier de cette ville de 125.000 habitants, située à environ 13 km de l’enclave palestinienne, endommageant des voitures et brisant des vitres, selon ces sources.

    Quelques minutes avant l’explosion, les habitants avaient été avertis par des sirènes d’alarme.

    « Israël considère avec la plus grande gravité ce tir sur Ashkelon », a affirmé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans un communiqué.

  4. Voila ce que j’ai posté sur le site Fdesouche.com

    « Ce site est doit être directement édité par le mossad, toutes allusion de près ou de loin aux intérêts sioniste est censure dans les 10mn. Impossible de dire la vérité, tous les hauts fonctionnaires représentant la voix de la France vers l’étranger sont sioniste (Yade, Lelouche, Levitte, Sarkozy, Okrent, Kouchner). Maddhof s’appelle Bernard et non pas Mohamed. Nos soldats sont en Afghanistan, bientôt en Iran, L’OTAN existe alors que l’URSS n’existe plus. Ce sont nos impôts nos enfants. Israëliennisé de force. »

    Malgre de nombreux tentatives les posts sont systematiquements supprimés. Je constate une manipulation xenophobe visant a detourner les francais des vrais problemes. Ce qui est effrayant c’est le manque de reaction des gens.

  5. Une roquette tirée à partir de la bande de Gaza s’est abattue aujourd’hui sur la ville d’Ashkelon, dans le sud d’Israël, provoquant des dégâts sans faire de victime, a-t-on appris de source militaire.

    La roquette de type Grad, d’une portée de 20 km, a explosé dans un quartier de cette ville située à environ 13 km du petit territoire palestinien, endommageant une voiture et brisant des vitres, selon cette source. Quelques minutes avant l’explosion, les habitants avaient été avertis par les sirènes.

    Israël a lancé du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009 une offensive militaire dévastatrice contre la bande de Gaza, sous le contrôle du mouvement islamiste Hamas, officiellement destinée à stopper ces tirs de roquettes. Le nombre de ces tirs s’est considérablement réduit après cette offensive qui a fait plus de 1.400 morts palestiniens. Mais plus d’une soixantaine de roquettes et obus de mortier ont atteint le territoire israélien depuis le début de l’année, selon l’armée.

    Extrait du Figaro mais comme d’habitude, faut tjrs se méfier de ce type d’information souvent destiné à justifier certaines surprises sournoises!

    Excellent article ! MERCI.

  6. Bonjour Thomas Alexandre Dumas, bienvenue, car c’est en effet difficile de créditer les bonnes infos qui sont aussitôt supprimées ou dénigrées selon les sites… comme vous dites, « Ce qui est effrayant c’est le manque de réaction des gens. » Mon sentiment est que les consciences s’éveillent mais qu’il faudra encore du temps pour que la majorité comprenne ce qui est en train de se passer, étant donné l’organisation et l’efficacité des sbires d’Israel, s’affairant à brouiller les pistes pour manipuler l’opinion et gagner du temps… Si’ils agressent bientôt le Liban et l’Iran, c’est la troisième mondiale qui va se déclencher, ce gouvernement d’Israel est en train de nous mener à une guerre forcée, car ça me parait évident, il ne veut pas de paix temps que ses plans d’extension ne sont pas accomplis jusqu’au bout.

  7. [b]Bonjour à tous[/b],

    Je souhaiterais que l’on commentent sur le fond et pas sur quelques roquettes, qui sont des piqures de moustique par rapport à cet article.

    Cet article fait quatre pages 21/29,7 sur le nucléaire Israélien, c’est du travail, faites en sorte de vous concentrer sur le sujet principal.

    Bien à vous,

    Anido

  8. « un retrait total Israélien de Cisjordanie et Jérusalem-Est, et que le gel de la construction dans les colonies se poursuive», a affirmé M. Shalom à la radio publique, sur Le Point.fr »

    Ce sera à la communauté internationale de l’imposer mais ça ne suffira pas pour la partie adverse, il faudra y ajouter le retrait de l’Irak et de l’Afghanistan avec le retour des expulsés en Palestine, s’ils le souhaitent.

  9. Il est vrai que l’arsenal nucléaire israélien est une menace « permanente »; mais on peut dire la même chose pour « tous » les États qui possèdent des armes nucléaires. Le problème est très grave et nous devons pointer en direction d’une possible « régression » de ce type d’armes, et, chose très important, d’exiger que certains États sans « expérience » et très agressifs, ne se renforcent pas.

  10. un petit passage sur l’Iran fin années 60, tiré des mémoires de Charles De Gaulle :
    « Chaque année, je revois le Shah d’Iran. Au cours du conflit mondial, je l’avais rencontré à Téhéran, quand, tout jeune souverain, il héritait d’un Empire en proie aux pressions rivales des étrangers et aux complots des factions intérieures. Ayant maintenu l’unité et sauvegardé l’indépendance, Reza Pahlavi est maintenant en train de diriger la transformation matérielle, intellectuelle et sociale de la Perse, État aussi ancien que l’Histoire du Monde. Que de fois, l’entendant traiter de problèmes de développement, j’ai admiré sa connaissance approfondie de toutes les réalités de son pays ! Il se trouve, d’ailleurs, que le vaste Iran recèle des ressources pétrolières et minières considérables, et comporte de grandes possibilités industrielles et agricoles. Il se trouve aussi que cet Empire, voisin des Russes et exposé, de tous temps aux empiétements des Anglo-Saxons, tient à s’assurer d’autres appuis que les leurs. Le Shah offre donc à tout ce qui est français une place de choix dans les affaires, les recherches, les écoles, les universités. Appréciant cette sagesse, la France pratique avec l’Iran une coopération qui ne cesse de grandir. »
    (Charles de Gaulle – Mémoires d’Espoir – Le Renouveau – Le Monde – p.277/278 éd.Plon 1970).

  11. Le passage qui suit juste après est sur Israël :
    « Voici et revoici David Ben Gourion ! D’emblée, j’ai pour ce lutteur et ce champion courageux beaucoup de sympathique considération. Sa personne symbolise Israël, qu’il gouverne après avoir dirigé sa fondation et son combat. Bien que la France n’ait pas, dans la forme, participé à la création de cet État né d’une décision conjointe des Britanniques, des Américains et des Soviétiques, elle l’a chaudement approuvée. La grandeur d’une entreprise, qui consiste à replacer un peuple Juif disposant de lui-même sur une terre marquée par sa fabuleuse histoire et qu’il possédait il y a dix-neuf siècles, ne peut manquer de me séduire. Humainement, je tiens pour satisfaisant qu’il retrouve un foyer national, et je vois là une sorte de compensation à tant de souffrances endurées au long des âges et portées au pire lors des massacres perpétrés par l’Allemagne d’Hitler. Mais, si l’existence d’Israël me paraît très justifiée, j’estime que beaucoup de prudence s’impose à lui à l’égard des Arabes. Ceux-ci sont ses voisins, et le sont pour toujours. C’est à leur détriment et sur leurs terres qu’il vient s’installer souverainement. Par là, il les a blessés dans tout ce que leur religion et leur fierté ont de plus sensible. C’est pourquoi, quand Ben Gourion me parle de son projet d’implanter quatre ou cinq millions de Juifs en Israël qui, tel qu’il est, ne pourrait les contenir, et que ses propos me révèlent son intention d’étendre les frontières dès que s’offrirait l’occasion, je l’invite à ne pas le faire…


  12. « La France », lui dis-je, « vous aidera demain, comme elle vous a aidé hier, à vous maintenir quoi qu’il arrive. Mais elle n’est pas disposée à vous fournir les moyens de conquérir de nouveaux territoires. Vous avez réussi un tour de force. Maintenant, n’exagérez pas ! Faites taire l’orgueuil qui, suivant Eschyle, « est le fils du bonheur et dévore son père ». Plutôt que d’écouter des ambitions qui jetteraient l’Orient dans d’affreuses secousses et vous feraient perdre peu à peu les sympathies internationales, consacrez-vous à poursuivre l’étonnante mise en valeur d’une contrée naguère désertique et à nouer avec vos voisins des rapports qui, de longtemps, ne seront que d’utilité ». Tandis que je donne ces conseils à Ben Gourion, je mets un terme à d’abusives pratiques de collaboration établies sur le plan militaire, depuis l’expédition de Suez, entre Tel-Haviv et Paris, et qui introduisent en permanence des Israéliens à tous les échelons des États-Majors et des Services Français. Ainsi cesse, en particulier, le concours prêté par nous à un début, près de Bersheba, d’une usine de transformation d’uranium en plutonium, d’où, un beau jour, pourraient sortir des bombes atomiques ».
    (sources : idem que § ci-dessus).

  13. Cat LEF bonsoir,

    Merci d’avoir enrichi cet article par un passage des mémoires de Charles de Gaulle. Ce qui me place dans l’honneur par rapport à ceux qui croient que je suis, par mes articles, antisémite.

    Dénoncer la réalité des évènements est une obligation pour toute personne qui aime la jutice si elle peut le faire.

    J’ai lu ces mémoires mais je ne n’en souvenais pas, il faut dire qu’il y a bien longtemps.

    De Gaulle voyait juste pas comme nos politiques actuels et tous ceux qui ignorant des choses leurs donnent raison sans chercher à apprendre et à comprendre.

    Merci encore,

    Bien à vous,

    Anido

  14. [b]plichard[/b] bonsoir,

    Oui tous ceux qui ont une puissance nucléaire sont une menace pour l’humanité.

    Mais, ils acceptent les contrôles de l’AIEA, ce qu’Israël n’accepte pas, de plus chacun de ces États a adhéré au traité de non prolifération des armes nucléaires ce qui n’est pas le cas d’Israël.

    Bien à vous,

    Anido

  15. « Mais, ils acceptent les contrôles de l’AIEA, ce qu’Israël n’accepte pas, de plus chacun de ces États a adhéré au traité de non prolifération des armes nucléaires ce qui n’est pas le cas d’Israël ».
    Ce lieu mérite une réflexion. Chacun de nous a sa réponse concernant le « rejet » d’Israël de n’adhérer pas au traité sur la non-prolifération des armes nucléaires. Je dis ici, simplement, quelles sont mes convictions. À mon avis, il y a des raisons « psychologiques » dans la position d’Israël. En bref: mieux vaut défiance que confiance. Et quelqu’un, avec malice, pourrait penser que l’acte d’adhésion de certains pays soit plus un fait « formel » que de substance. Qui peut dire que « les autres » conserveront vraiment les pactes signés? Mieux donc n’entrer pas dans des accords qui se pourraient révéler insidieux si quelqu’un «joue au plus fine.» Je pense qu’Israël se sente tout seul dans le contexte international, et que son refus soit dérivé de la « méfiance » envers tous. Le raisonnement pourrait sembler grossier à nombreuses, mais je pense qu’ Israël pointe plus in direction de « montrer les muscles » que courir le risque de paraître condescendante; et, généralement, entre les humains, plus un homme se renferme en soi-même, plus il « fait le méchant ».

  16. [b]plichard[/b] bonjour,

    Votre raisonnement ne peut tenir debout, « En bref: [b]mieux vaut défiance que confiance[/b] » cela dépend de ce que l’on veut faire.

    S’il y a défiance c’est qu’il y a nécessairement un motif que l’on a créé par des actions conduisant à cette défiance, c’est tout le problème.

    Si l’on a rien à se reprocher il n’y a aucune raison d’avoir de la défiance.

    Nous avons notre armement nucléaire et nous l’avons déclaré par ce qu’il répond à une action des 151 membres de l’ONU qui ont signés pour le TNP.

    Il n’a été mis en œuvre que pour répondre à une action de défense, et comme nous n’avons aucune raison selon votre argumentation d’avoir de la défiance nous l’avons déclaré.

    Ce que n’a pas fait Israël puisque selon vous il aurait de la défiance c’est donc que son comportement inspire de la défiance, et s’il inspire cette défiance, c’est donc que ne déclarant pas son armement nucléaire il tient à s’en servir !

    Votre raisonnement ne tient pas car le fait de déclarer son armement et d’accepter les contrôles de l’AIEA, en adhérant au TNP n’oblige pas à ne pas se défendre si l’on est attaqué !

    C’est simplement la preuve d’un État qui à tout à se reprocher en pratiquant le mensonge et la supercherie, si non pourquoi ne pas déclarer ?

    Mais le comble dans cette affaire c’est qu’Israël impose à ce que l’Iran ne puisse avoir d’armement nucléaire, comment peut-on accepter cela ?

    Israël ne déclare pas par ce qu’il a de la défiance selon vous mais l’Iran n’en aurait pas, donc pas d’armes nucléaires alors que l’on veut faire la guerre à ce pays.

    Franchement je ne peux vous suivre dans ce raisonnement.

    Bien à vous,

    Anido

  17. Bonjour. Je veux qu’il soit clair que je ne suis pas le « conseiller » d’Israël, qui n’a pas certainement besoin de moi. Ni je veux discuter des problèmes ainsi graves dans l’espace d’un simple commentaire. Et puis, il y a des chercheurs qualifiés pour approfondir des questions similaires, qui sont d’une telle complexité qui transcendent mes chances. Dans un commentaire, je me limite seulement à certains « impressions personnelles ». Je commence à dire deux mots sur la « méfiance ». Au-delà du discours sur le nucléaire, je pense que si les Israéliens et les Palestiniens ne seront pas capables de briser le mur de la haine, tout se réduira à rien. À mon avis, le point focal du problème est s’éduquer soi-même et les nouvelles générations à la cohabitation et à la paix. Selon moi, il s’agit de trouver une « recette » plus « humaine » que « politique » ; et la recette humaine est de s’asseoir et discuter, recherchant le bien-être de toutes les populations. À mon avis, c’est la recette « humaine » qui peut obtenir des résultats plus concrets que la politique. Avec mes cordiales salutations.

  18. merci beaucoup anidom nidolga……………………………..
    je suis vraiment desolé pour tout ce que j’ai déja mais en tout cas vous devez me comprendre je suis musulman et j’ai le droit de dfendre mon religion et d’essayer d’expliquer toute compexité parce que le nord apprend nôtre religion d’une facon on peut dire qu’elle est inverse puique tous les gens pensent qu’il s’agit d’une religion de violence ,torture………………………………………………..qui ne respect pas les droits de l’homme.mais je veux jure que tous ca n’a aucun relation avec la réalité islam=tolérance=libert=respect d l’autre=l’égalité………………………….merci c’est vraiment trés gentil de répondre a mon demande…………merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

  19. [i] »j’ai le droit de dfendre mon religion »[/i]
    mon pauvre…. toujours le joug des religions !!!
    [i] »islam = tolérance=liberté=respect d’l’autre=l’égalité »[/i]
    à qui ferez-vous croire des mensonges pareils, dyona2010 ?!!!!!!!!!!!

  20. [b]plichard[/b],

    Il faut rester dans le sujet de cet article et non pas faire de l’amalgame.

    Le problème Isrélo-palestinien est une chose mais il n’est pas le sujet de cet article.

    Je vous ai répondu sur la défiance, je n’ai plus rien à dire, mais ne me répondez pas sur une [b]« recette » plus « humaine » que « politique » [/b] ce qui ne veux rien signifier puisque tout est politique et hégémonique.

    L’arme nucléaire n’a rien d’humain et la cacher pour ne pas qu’on la voit est comme celui qui a un pistolet dans sa poche chaque jour c’est pour s’en servir à la moindre occasion, par ce qu’il n’a pas la conscience tranquile.

    Bien à vous,

    Anido

  21. donya2010 bonjour,

    Votre religion que je respecte n’a rien à voir dans cet article, il n’attaque pas la ou les religions, il fait seulement le point, non exhaustif, du nucléaire Israélien en donnant les raisons de son histoire.

    Bien à vous,

    Anido

  22. a vos exemple ………………Veritas……………………..qui ne respect pas le droit de l’expression……………………………c’est tous ca vou dérange je suis désolé j’en peux rien faire pour vous mais je veux conseille d prendre des calmants ,ils seront vital dans vôtre cas?

  23. Attaque de l’Iran prévue pour le 21 août?

    « Israël doit attaquer l’Iran d’ici le 21 août pour ne pas perdre la face…
    Une guerre pour rehausser la popularité d’Obama?
    Le 21 août 2010, la Russie va charger le réacteur de Bushehr (en Iran) de combustible, ce qui propulsera l’Iran dans l’ère nucléaire.

    Israël a juré de détruire le réacteur iranien avant de permettre à un pays hostile de développer des armes nucléaires offensives. Si Israël lance une attaque contre l’Iran, ils ne s’arrêteront pas aux installations du réacteur. Israël possède des armes nucléaires qui peuvent réduire l’Iran en ruines et lancer le monde dans un holocauste thermonucléaire.

    En un seul jour, l’attaque Israélienne pourrait forcer tous les grands pays à entrer en guerre. Rappelez-vous que l’Iran et la Russie sont des alliés et que la Chine a investi des milliards de dollars dans les infrastructures pétrolifères. Elle ne va certainement pas s’asseoir et regarder ses investissements être anéantis par Israël et les États-Unis…
    [url]http://www.alterinfo.net/Israel-doit-attaquer-l-Iran-d-ici-le-21-aout_a49135.html[/url]

  24. [b]Najia Plumett[/b] bonsoir,

    C’est un bruit qui coure sur internet sur différents sites qui ne me paraissent pas sérieux.

    D’après votre référence tout est supposition comme sur les autres sites.

    C’est du n’importe quoi, Obama aurait besoin d’une guerre pour redorer son blason !

    Le lobbying sionniste Américain ne veut pas de désengagement en Irak et en Afghanistan afin de protéger les investissements militaires et pétroliers, c’est ce que transmet cet article, et c’est ce que je comprends.

    De là à faire la guerre, c’est une autre histoire.

    Bien à vous.

    Anido

  25. Espérons le Anido, que ce n’est qu’un bruit, il court à plusieurs endroits pourtant… Dans le quotidien d’Oran aujourd’hui…

    Huit jours pour la guerre
    Jeudi 19 août 2010 – 08h:34
    K. Selim – Le Quotdien d’Oran

    « John Bolton, un faucon parmi les faucons de l’administration Bush, presse les dirigeants israéliens : ils ont huit jours pour bombarder la centrale nucléaire iranienne de Bouchehr, dont le lancement est prévu pour le 21 août. »

  26. [b]Najia Plumett[/b], bonsoir,

    Tout comme vous j’espère que ce ne sont que des bruits car si ce n’est pas le cas c’est la guerre dont on ne voit pas comment elle peut finir.

    Si la centrale est bombardée, c’est toute une partie du monde qui risque de mourir par contamination radioactive.

    L’Apocalispe mondial.

    Bien à vous,

    Anido

  27. [i]En ce moment même, un train de déchets nucléaires traverse la France d’ouest en est. Il doit ramener à Gorleben, en Allemagne, onze conteneurs qui contiennent des déchets très radioactifs en provenance de l’usine de La Hague. Ils contiennent plus de radioactivité que deux Tchernobyl : si par malheur un accident ou un attentat survenait sur ce convoi, une vaste zone serait rendue inhabitable pour des générations.

    Ce convoi radioactif passe peut-être tout près de chez vous, mais les autorités se sont bien gardées de vous en informer. Pour faire entendre la voix des citoyens opposés au nucléaire, le Réseau « Sortir du nucléaire » coordonne 25 mobilisations à travers la France, aujourd’hui et demain.

    Consultez le trajet exact du train et suivez la mobilisation en direct, heure par heure : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/train-denfer.html
    Une équipe de militants du Réseau suit le « train d’enfer » en voiture pour vous tenir informés en temps réel et en images.

    Les déchets radioactifs sont dangereux pendant des milliers d’années et il n’existe aucune solution pour les gérer. Face à l’impasse des déchets nucléaires, une seule solution : arrêter d’en produire.

    Sortir du nucléaire, c’est possible… avec vous ! Le Réseau « Sortir du nucléaire » est une fédération citoyenne indépendante à 100 % : votre soutien est indispensable pour nous permettre de renforcer notre combat. Votre don est déjà une action : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/soutien.html

    Nous vous remercions chaleureusement pour votre engagement à nos côtés !

    L’équipe du Réseau « Sortir du nucléaire »

    Réseau « Sortir du nucléaire »

    Fédération de 876 associations,

    agréée pour la protection de l’environnement

    9 rue Dumenge, 69317 Lyon Cedex 04 – France

    Tél : 04 78 28 29 22 – Fax : 04 72 07 70 04

    http://www.sortirdunucleaire.fr

    [/i]

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