La première Dame de France nous parle-t-elle un langage codé. Les accrocs protocolaires des derniers mois nous le laisse à penser. En ne se présentant pas aux urnes lors d'un scrutin qui intéresse son mari au premier chef, elle exprime à n'en pas douter quelque chose de profond.
En ne se rendant pas à l'invitation des Bush à une "hot-dog party" alors que l'enjeu pour son mari est primordial, elle crie peut-être ce que son non-statut l'empêche d'évoquer ouvertement.
Il est facile de déceler dans ces dérobades la ferme volonté de s'affirmer comme entité majeure du pouvoir et non comme faire-valoir people garantissant échos multiples dans la presse populaire, et par ricochet notoriété incontestable au couple présidentiel.
On ne se lasse pas de penser qu'elle exprime de fait des désaccords fondamentaux avec son mari. Celui-ci hurle son ambition présidentielle; celle-ci rétorque : oui mais pas grace à moi. Celui-ci prétend être reçu tel un Poutine dans la sphère privée de Dieu lui-même; elle masque habilement la répulsion qu'elle éprouve à l'égard du personnage et refuse de "cautionner".
Elle goûte avec joie aux délices de la fonction mais en aucun cas elle n'apparaitra soumise au dictat du chef de qui elle connait toutes les failles…Elle accompagne, au besoin elle s'investit ( libération des infirmières ) , mais elle entend retirer ses billes à tout moment si on ne la considère pas à sa juste valeur.
L'avenir du couple présidentiel réserve en cela des surprises explosives. Nicolas Sarkozy entend tout maîtriser mais il est sans doute bien en peine de controler cette face du pouvoir que représente l'influence d'une épouse "engagée".
"Je te tiens, tu me tiens…" disait la chanson.
on va avoir des surprises!!! au faite y a t il déja eu des cas de divorces d un de nos présidents ?????
Quoi qu’on puisse reprocher à Bush, il incarne la politique des Etats-Unis, s’entendre avec lui revient donc à s’entendre avec les Etats-Unis. Qu’on le veuille ou non, il a été élu. Il est donc regrettable que Mme Sarkozy ait été absente ce jour-là, c’est une faute politique.
Le problème avec Mr.Bush, c’est qu’il est en sursis et finalement complètement décrédibilisé sur la scène internationale. Aucun rapport avec l’amitié nécessaire entre nos deux peuples. Il est plus intéressant de miser sur d’autres interlocuteurs pour consolider les liens qui nous unissent par delà l’atlantique. En cela, Cécilia est probablement plus clairvoyante que son Bushidolâtre de mari. Nous voulions un vrai changement dans les pratiques politiques? Voila que le changement arrive et tout le monde parle de faute politique… A moins d’avouer vouloir museler Cécilia et cantonner Madame aux opérations « Pièces Jaunes », il sera difficile de prôner la modernité des rapports et pratiques en politique, tout en se désolant des effets secondaires qu’elle induit.
FUITE
oui Phildu, même qu’une bête à l’agonie , ça peut être très dangereux!
Sachant qu’il n’a plus rien à perdre, il pourrait être tenté
par son âme damnée Dé Tchainée, d’attaquer l’Iran, comme par une espèce de fuite en avant …
vers le gouffre !