LE meilleur agent littéraire de l’année : Strauss-Kahn (D)

Amis lecteurs compatissants envers notre déesse Ka-Banon, doulce vierge effarouchée, allez faire un tour sur amazon.fr J’y vais régulièrement pour comparer les prix, particulièrement en informatique et chiner de la musique classique ou du "vieux" jazz (on a les désirs qu’on peut) et, avant-hier, je n’ai pas résisté à l’éventuel achat d’un disque dur externe GroSSe capacité. Un bandeau publicitaire, sur la droite de l’écran, vantait les différentes publications de notre Tristane nationalEU (bientôt traduite en américain). Vous ne pouviez y couper, quel que soit ce que vous souhaitiez regarder comme "boutique" sur ce site…

Déjà, par pure curiosité, j’avais tapé "Banon" sur Amazon, pour voir, la semaine passée. Eh bien, braves lecteurs, les prix des honorables publications de cette jeune (encore jeune) blonde ont augmenté. (La blonde est hors de prix, nous le savions déjà avec Paris Hilton). C’était il y a une semaine qu’il fallait acheter… Le Strauss-Kahn est hors de prix. Celui-là, je le déroberai, pas question d’acheter ce bouquin. Je veux bien mettre ce prix dans un démolisseur patenté de Freud (enfin ! Cela fait plus de trente ans que je le chasse et me fait traiter de tous les nos d’oiseaux. Merci Onfray, Michel).

Elle va nous faire un Goncourt, à moins que ce soit un "Femina". Quand je l’aurai reçu (je crois que c’est : "j’ai oublié de la tuer" : défense de rire), je vais z’y jeter un z’oeil et je vous en reparlerai.

En attendant, je propose à toutes les femmes majeures à qui Dominique n’a pas peloté la fesse (droite ou gauche, de préférence gauche) de former un grand club, de porter plainte pour négligence très coupable de leur personne et de demander – que dis-je, d’exiger…– que le Proc’ de New York nous offre un aller et retour en première classe et que Dominique soit obligé, en public, de nous mettre, à toutes, la main au popotin. Des milliers de nanas de tous âges. C’est la meilleure thérapie à son problème sexuel et cela peut, très bien, passer dans la catégorie "travail d’intérêt général". D’ailleurs, au lieu d’aller serrer les mimines dans les "bains de foule" (à barrière de sécurité), notre président devrait en faire autant. Après tout, Chirac avait attiré tout l’électorat des campagnes en mettant la main "au cul des vaches", non ? Et nous savons que Sarko est un farouche innovateur de vieilles recettes popu.

 

6 réflexions sur « LE meilleur agent littéraire de l’année : Strauss-Kahn (D) »

  1. [b]Gribouille,

    j’adore vos écrits et votre façon de vous exprimer. Beaucoup de liberté et d’audace. J’adore.

    Amicalement

    Tom[/b]

  2. Marrant Gribouille,vous êtes loin d’être une andouille et vous risquez de blesser notre ami DSKouille!

  3. [b]J’Adore le second degré, il me rappelle mes années « Bonheur » sur C4N…

    J’en ai usé et abusé certainement.

    J’aime, je vote, et je twitte.

    Mais ne comptez pas sur moi, la blonde passionnée de C4N, pour allez offrir mes fesses à DSK.

    Je suis brave et veux bien contribuer à sa guérison, mais…..

    Il y a des limites qu’aucune femme ne devrait franchir, à moins d’aimer les papouilles « galipetteuses » (traduction introuvable sur google)

    Demander à l’auteur pour plus de renseignements

    La blonde de service : SOPHY[/b]

  4. Mais Sophie, justement… Pas de galipettes ! D’ailleurs, il s’agit d’UNE fesse, pas des deux. Confidence : un jour, sortant de sa pièce de radio, mon médecin de famille m’envoie une tape sur la fesse, me disant : « allez, tu n’as rien ! ». Je me suis retournée comme une furie, main levée. Puis j’ai dit, piteuse, « pardonnez-moi, c’est un vrai réflexe conditionné ». J’avais 14 ans et je ferais la même chose en tant que de besoin. Pauvre Dominique, une vingtaine de furies dans mon genre…
    Une papouille ne se termine pas toujours en galipette : le métro parisien serait un B…l sans nom…

  5. [b]Vous savez Gribouille, en province, on n’a pas de métro, et le tram qui traverse ma bonne ville n’est jamais assez bondé pour permettre aux mains baladeuses de frôler ou de pincer les parties charnues à « portée de mains ».
    Mais je reconnais que j’aurai vite fait moi aussi d’envoyer une « targnole » au premier venu.

    Quant aux galipettes dans le métro, avec la foule qui descend et monte à chaque arrêt, je reconnais que ce serait un exploit.
    J’imagine la scène.. et j’en ris à gorge déployée (mais couverte)[/b]

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