Hier à Villepinte, pas  Villepin, qui est son concurrent  (Dominique de Villepin! ) Monsieur Nicolas Sarkozy, s’est adressé à plus de 70.000 militants de l’UMP, lors d’un grand meeting politique version Barack Obama. 

L’objectif de ce meeting, redonner de l’élan à sa campagne et surtout se confirmer comme 

candidat à la présidence Française.

C’était un grand show à l’américaine, comme on en a rarement vu en France, ecrivait la journaliste Belge, Charline Vanhoenacker, correspondante pour la TV Belge RTBF et le quotidien le SOIR.

Cette jeune journaliste Belge n’a pas sa langue en poche et dit souvent tout haut ce que d’autres pensent tout bas.

Il y a peu  de temps elle écrivait sur le blog du journal Belge le SOIR, "un billet assassin’

, publié sur un intitulé ", Ces journalistes qui se voient déjà à l’Élysée", Charline Vanhoenacker dénoncent l’esprit des politiques français. 

En première ligne de mire : ceux qui couvrent la campagne de François Hollande.

Elle critique la proximité qu’entretiennent les journalistes avec l’équipe de campagne du candidat PS et fustige ce qu’elle appelle le "Hollande Tour" et en  cas de victoire, certains d’entre eux se voient déjà occuper une place à l’Elysée.

La journaliste Belge, Charline Vanhoenacker, écrit encore avoir été réellement étonnée de l’ampleur des réactions que son article a suscitée. 

J’ai dénoncé quelque chose, que tout le monde sait, mais dont personne n’ose  parler et encore moins l’écrire. 

Bon reparlons un peu de ces présidentielles qui arrivent à grand pas. On n’ est plus qu’à 41 jours du premier tour, et on ne sait toujours pas combien de candidats seront présents ce jour-là, je viens de voir le journal télévisé sur TF1, et j’entendais Marine Le Pen,  qui disait que les prochains jours seront cruciaux pour elle et ces 500 signatures nécessaires à la candidate du front National.

La date limite du dépôt des signatures d’élus est fixée à ce vendredi 18 heures. Et beaucoup d’incertitudes pèsent encore sur certains  «petits» candidats » dont Marine Le Pen, mais elle se dit confiante et devrait obtenir ces 500 parrainages pour la date fatidique, elle affirme qu’il lui en manque encore une trentaine.

Si elle ne les obtiendrait pas, ce serait un coup de tonnerre dans le monde politique, vu qu’elle avait saisi la justice pour que les parrainages restent anonymes, mais Le Conseil constitutionnel, avait débouter la demande de Marine Le Pen, sur la transparence des parrainages, nécessaire pour se présenter à l’élection présidentielle.

ils ne seront pas rendus anonymes comme l’avait demandé la présidente du FN mais publiés au Journal officiel comme à chaque élection. 

 ”À une semaine de l’échéance, avant que la liste définitive des candidats soit annoncée par le Conseil constitutionnel , on dénombrait hier onze candidats potentiellement sur la ligne de départ au nom d’un parti comptant sur l’échiquier politique (hors Cheminade) : Nicolas Sarkozy (UMP), François Bayrou (MoDem), Dominique de Villepin (République solidaire), Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République), Corinne Lepage (Cap21), Marine Le Pen (FN), François Hollande (PS, PRG), Eva Joly (EELV), Jean-Luc Mélenchon (Front de Gauche), Nathalie Arthaud (L0).

Cela promet encore de belles bagarres en perspective, moi personnellement,  je ne voterai pas cette année, de un, je suis Belge vivant en France et secundo, je m’y suis pris trop tard à la mairie du Poiré sur Vie, pour savoir si j’avais le droit à  une carte d’électeur.

Mais je sais pour qui j’aurais voté et je ne suis pas gêné de le dire,  j’aurais voté pour le moins mauvais de tous et pour moi c’est Nicolas Sarkozy.

Ce soir n’oubliez pas de le regarder, et de poser des questions à Nicolas Sarkozy, il est l’invité de TF1.  Pour le quatrième rendez-vous politique en prime time dans le cadre de la campagne présidentielle, Laurence Ferrari reçoit et interroge Nicolas Sarkozy, actuel président de la République et candidat de l’UMP. Dans un premier temps, Nicolas Sarkozy répond aux questions de quatorze Français portant sur les grands thèmes de sa campagne. Dans un second temps, il est confronté à cinq journalistes : François Bachy, chef du service politique sur TF1-LCI, François-Xavier Pietri, chef du service économie sur TF1-LCI, Michel Field, aux commandes de plusieurs rendez-vous politiques sur LCI, François Fressoz, éditorialiste politique au «Monde», et Etienne Gernelle, directeur de la rédaction du «Point».  

Bonne lecture à vous

Eric