Après la chute du gouvernement Kadhafi, les langues se délient sur les relations qu’avaient celui-ci avec les états occidentaux. Le gouvernement de Tony Blair pendant un certain moment avait des relations très bien entretenues avec celui des Kadhafi. Le ministère des affaires étrangères du gouvernement Blair a pistonné l’entrée du fils préféré de Khadafi, Seif al-Islam dans la célèbre université de London School of Economics.   Le refus d’Oxford University 

Le gouvernement de Tony Blair aurait tout d’abord tenté de faire entrer le fils Kadhafi à l’été 2002 à l’université d’Oxford. Cette demande soumise par les services du Foreign Office au professeur Valpy FitzGerald a été rejeté par ce dernier. Le professeur ayant constaté que Seif al-Islam n’avait pas les qualifications principales requises, il a rejeté la demande. Cependant le professeur souligne qu’il a constaté que le gouvernement. Blair aurait bien aimé qu’il les aide à insérer Seif al-Islam dans les rangs de la Oxford University.

 

 L’acceptation à la London School of Economics

Peu après, Seif al-Islam fut accepté à la London School of Economics. Cette université a été surnommée La "Lybian School of Economics" peu après le don d’un million et demi de livres. Ce don provenant de la fondation de seif al-Islam a été très médiatisé à cause des doutes qui planaient sur l’origine des fonds. Il se disait que les fonds provenaient de différents pots-de-vin octroyés par des entreprises écossaises, turques et italiennes désirant faire des affaires en Lybie. Cette université a aussi signé un partenariat avec l’état libyen dans le but de former ses fonctionnaires. 

Arrestation de seif al-Islam

Avec l’arrestation du fils Kadhafi, ce don ne sera sûrement pas versé. La London School of Economics n’a perçu qu’un cinquième de cette promesse de don de la Gaddafi International Charity .