La célébration de la journée de la presse libre s’est célébrée au Cameroun le 03 mai dernier. De nombreuses questions revenaient à l’esprit. La principale étant celle de savoir si la presse est libre au Cameroun. Le gouvernement fait beaucoup d’efforts pour soutenir la presse au Cameroun. A chaque fois que les médias ont voulu se réunir il y a eu cassure. Il se trouve que le problème vient des journalistes eux-mêmes qui font preuve d’une clochardisation et d’une irrégularité ambiante. Il existe deux catégories de journalistes dans cette catégorie sociale : il y a d’un coté les journalistes publics et de l’autre ceux du Hilton. Cette deuxième catégorie est toujours au devant de la scène et aux premières places lors des évènements organisés. Ils bénéficient ainsi des plus grands des financements mis à la disposition des journalistes. La déontologie !c’est ce dont il s’agit ici et du respect de cette dernière. Celle-ci qui n’existe pas chez certains journalistes qui n’arrivent pas à respecter cette règle. L’absence de cette dernière entraine la corruption et réduit les journalistes à la mendicité. Tout cela ne contribue pas à valoriser ce métier qui est pourtant l’un des plus beaux métiers du monde sinon le contraire. Il faut pour cela être organisé pour que tout le monde se sente à l’aise. Par exemple, en France, ne peut se dire journaliste que celui qui est détenteur d’une carte de presse.

Pour être journaliste il faudrait avant tout être formé au-delà de tout cela on ne saurait méconnaitre le talent de certains mais c’est surtout de formation dont il s’agit ici. Il faudrait plutôt créer des entreprises et ces dernières se chargeront de former et de créer des journalistes parce que le pays en a besoin pour évoluer. C’est vrai qu’il en existe mais il n’y en a pas assez car tout le monde peut se prévaloir d’être journaliste. Pour le patron de la presse au Cameroun, Monsieur le ministre chargé de la communication : « on ne doit pas laisser place à l’immoralité. » Le Cameroun souffre pour sa part de plusieurs problèmes tels que : le manque de formation, de financement et l’absence de cartes de presse pas encore disponible dans ce pays. Toute somme, les journalistes doivent être le miroir de la société.