De la vie, nous parlons de tout.
Enfin, presque tout!
Nous abordons quantité de sujets, ce qui est surprenant.
Ce qui l’est encore plus, c’est qu’il y a toujours quelques sujets qui restent (et resteront ?) tabous : la religion, la politique … et la mort.
Sachant que la mort est le dernier acte de vie, nous devrions pouvoir aborder toute réflexion ou toute question s’y rapportant.
La mort, comme tout le reste, est bien compartimentée dans notre cerveau.
Elle a été laissée pour compte dans la couche la plus éloignée de nos ressentis.
Bien protégée, elle ne ressurgit que par nécessité.
La mort est-elle une délivrance, une fin en soi ou simplement une peur de l’inconnu ?
C’est pourtant un mécanisme irréversible.
La peur qu’elle provoque en nous est immense et nous n’y échappons pas.
Jusqu’à la nier comme le faisait si bien mon ex-ami qui ne supportait même pas que je puisse prononcer les mots "maladie" ou "mort".
Mais à ce point de phobie, cela relève de la psy.
Il est donc normal que les gens comme lui (il y en a de plus en plus) ne vivent que le moment présent, ce qui débouche, avec cette logique implacable, sur la superficialité qui gère nos petites vies si confortables et si vides.
Donc, nous appréhendons la vie sans nous soucier de la mort, comme si le fait de ne plus y penser nous rendrait immortels!
Jusqu’à une époque (pas si éloignée de la nôtre), les familles n’étaient pas éclatées, pas comme aujourd’hui, dans notre civilisation moderne qui éradique tout ce qui se rapporte à la famille. "Cellule monoparentale, cellule éclatée, divorce : mots qui fleurissent notre langage au quotidien.
Jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, les gens côtoyaient la mort au quotidien.
Ils mouraient aussi chez eux.
De cette mort, ils en étaient moins effrayés qu’aujourd’hui.
Et pourtant, ils étaient malmenés par les guerres, la famine, les épidémies, les maladies en tout genre, l’épuisement au travail, les grandes causes, les intempéries.
La religion leur avait permis de conjurer le sort, de croire qu’un monde meilleur existait, en haut!
Aujourd’hui, avec notre immense ouverture sur la connaissance, nous avons acquis une sacrée dose d’imbécilité pour penser que nous sommes immortels.
Du coup, la mort est jetée dans la fosse à purin, malmenée, écrasée, occultée.
Nous refusons, pour la plupart, l’accompagnement à la mort.
Pire, nous tournons le dos à la mort.
Bien protégée, elle ne ressurgit que par nécessité.
La mort est-elle une délivrance, une fin en soi ou simplement une peur de l’inconnu ?
C’est pourtant un mécanisme irréversible.
La peur qu’elle provoque en nous est immense et nous n’y échappons pas.
Jusqu’à la nier comme le faisait si bien mon ex-ami qui ne supportait même pas que je puisse prononcer les mots "maladie" ou "mort".
Mais à ce point de phobie, cela relève de la psy.
Il est donc normal que les gens comme lui (il y en a de plus en plus) ne vivent que le moment présent, ce qui débouche, avec cette logique implacable, sur la superficialité qui gère nos petites vies si confortables et si vides.
Donc, nous appréhendons la vie sans nous soucier de la mort, comme si le fait de ne plus y penser nous rendrait immortels!
Jusqu’à une époque (pas si éloignée de la nôtre), les familles n’étaient pas éclatées, pas comme aujourd’hui, dans notre civilisation moderne qui éradique tout ce qui se rapporte à la famille. "Cellule monoparentale, cellule éclatée, divorce : mots qui fleurissent notre langage au quotidien.
Jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, les gens côtoyaient la mort au quotidien.
Ils mouraient aussi chez eux.
De cette mort, ils en étaient moins effrayés qu’aujourd’hui.
Et pourtant, ils étaient malmenés par les guerres, la famine, les épidémies, les maladies en tout genre, l’épuisement au travail, les grandes causes, les intempéries.
La religion leur avait permis de conjurer le sort, de croire qu’un monde meilleur existait, en haut!
Aujourd’hui, avec notre immense ouverture sur la connaissance, nous avons acquis une sacrée dose d’imbécilité pour penser que nous sommes immortels.
Du coup, la mort est jetée dans la fosse à purin, malmenée, écrasée, occultée.
Nous refusons, pour la plupart, l’accompagnement à la mort.
Pire, nous tournons le dos à la mort.
Même l’euthanasie a été récupérée à des fins politiques!
Les maisons de retraite, les soins palliatifs pullulent et nous déculpabilisent.
Nous parlons d’une " mort décente"!!!
Et pourtant… , nous sommes présents au premier acte de vie en entourant le nourrisson.
Pourquoi refusons-nous d’être présents au dernier acte de vie ?
Beaucoup répondent : "mais nous sommes seuls dans la mort"!
C’est une vérité de La Palisse!
Ah bon ? Et quand nous perdons connaissance ? Et quand nous souffrons ? Et quand nous nous endormons ? Même dans l’orgasme le monde s’arrête autours de nous et nous nous sentons seuls.
Le plus important n’est-il pas d’entourer la personne que l’on aime ? La soutenir ? Lui donner une dernière fois de l’amour, de la chaleur pour qu’elle puisse trouver un apaisement certain ?
Les maisons de retraite, les soins palliatifs pullulent et nous déculpabilisent.
Nous parlons d’une " mort décente"!!!
Et pourtant… , nous sommes présents au premier acte de vie en entourant le nourrisson.
Pourquoi refusons-nous d’être présents au dernier acte de vie ?
Beaucoup répondent : "mais nous sommes seuls dans la mort"!
C’est une vérité de La Palisse!
Ah bon ? Et quand nous perdons connaissance ? Et quand nous souffrons ? Et quand nous nous endormons ? Même dans l’orgasme le monde s’arrête autours de nous et nous nous sentons seuls.
Le plus important n’est-il pas d’entourer la personne que l’on aime ? La soutenir ? Lui donner une dernière fois de l’amour, de la chaleur pour qu’elle puisse trouver un apaisement certain ?
Ne faut-il pas le faire sous prétexte qu’elle meurt "seule" ? Non!
N’est-ce pas cela le véritable amour ?
Quand je marche dans la vallée de l’ombre
de la mort, ta houlette et ton bâton me
rassurent.
la mort étant l’echec le plus absolu et le plus terrible ( il n’y a rien après) , il est normal et rationnel de ne pas engendrer la vie ; c’est ce que nous avons faits d’un commun accord avec mon épouse
qui peut affirmer qu’il n’y a rien après la
mort !
celui qui l’affirme ment par son affirmation.
c’est faire fi du pari de Pascal, qui était
loin d’être un imbécile !!!
http://www.20minutes.fr/insolite/1546435-20150222-etats-unis-mort-pendant-48-minutes-pretre-affirme-dieu-femme
(disons la douceur d’une femme: Esaïe 66
13 Comme un homme que sa mère console, Ainsi
je vous consolerai; Vous serez consolés dans
Jérusalem. ) 141 bd lafayette 63000
http://clermont.addauvergne.com/nous-vers-vous/spectacle
Paul parle de lui-même
2 Corinthiens 12
« 2 Je connais un homme en Christ, qui fut,
il y a quatorze ans, ravi jusqu’au troisième
ciel (si ce fut dans son corps je ne sais,
si ce fut hors de son corps je ne sais, Dieu
le sait). 3 Et je sais que cet homme (si ce
fut dans son corps ou sans son corps je ne
sais, Dieu le sait) 4 fut enlevé dans le
paradis, et qu’il entendit des paroles
ineffables qu’il n’est pas permis à un homme
d’exprimer. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_de_Tarse