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Ce dimanche 8 juillet 2012 est la date du cinquantième anniversaire de la réconciliation franco-allemande du 8 juillet 1962 entre le général de Gaulle et le chancelier Adenauer.

Pour l’occasion, la fête battra son plein à Reims avec des projections, des concerts ou encore des conférences, tout ça en l’honneur de cette réconciliation.

Ce programme festif s’étalera sur trois jours et verra évoluer ensemble notre Président M. Hollande et la puissante chancelière allemande Angela Merkel.

Un temps envisagé le mini sommet de l’après-cérémonie n’aura pas lieu mais il y aura bien en revanche un déjeuner où va se retrouver tout ce beau monde dans l’esprit de celui qu’il y a eu cinquante ans auparavant.

Si cet évènement se passe à Reims c’est bien par ce qu’il s’agit de cette ville qui fut choisie par le général de Gaulle pour officialiser cette réconciliation en 1962. Les témoignages d’époques nous disent à quel point la rencontre fut très émouvante entre le français M. de Gaulle et l’allemand M. Adenauer seulement 17 ans après la fin de la seconde guerre mondiale et la défaite de l’occupant germain.

Ce sont bien ces liens d’amitié très forts qui unissent les deux grandes nations européennes qu’il faut préserver aujourd’hui, coûte que coûte…

   L’union des deux grands peuples, l’amitié fraternelle qui les lie aujourd’hui est trop belle, trop importante pour être remis en cause.

Je profite de cet évènement de l’anniversaire de la réconciliation franco-allemande pour rappeler l’enjeu de nos jours; conserver ce lien fraternel entre la France et l’Allemagne. Ce lien, cette stabilité est primordiale pour l’équilibre européen, pour tous les projets à mener de concert au niveau social, économique.

Chacun de ces deux pays est trop important pour se risquer à les opposer. Pourquoi cette inquiétude ? Disons que Mme Merkel n’a visiblement pas les mêmes opinions sur les politiques à suivre pour le bien de l’Europe que notre président M.Hollande. Qui a raison ? Ce n’est pas forcément cette question la plus importante. Ce qui est un peu inquiétant, c’est de voir que les dirigeants des autres pays européens se retranchent derrière le poulain de leurs choix.

Plus clairement, des pays comme l’Espagne, l’Italie ou la Grêce commencent à remettre sérieusement en cause la rigueur et l’exigence allemande et louent M.Hollande qui veut plutôt miser sur la croissance pour sortir de la crise. 

Bref, il y a deux tendances nettes en Europe aujourd’hui et ces deux tendances imposent une certaine distance entre notre président et la chancelière allemande.

Il n’est pas encore temps de signer le signal d’alarme mais on attend franchement que cette distance entre les deux grands dirigeants diminue et qu’ils se remettent ensemble à parler de la même voie pour le bien de tout le reste de l’Europe.