Une bactérie Déinocoque, permettrait de réduire le coût de fabrication du Bioéthanol et surtout d’utiliser des déchets de végétaux impropres à la consommation humaine. La biomasse utilisée serait constituée de paille – sons de céréales – bois – etc. cette découverte serait une première mondiale et relance avec beaucoup d’espoir la fabrication de carburant bio de deuxième génération.


 Les biocarburants de première génération utilisaient une base végétale comestible : céréales – oléagineux et plantes sucrières  qui était responsable de la flambée des cours des céréales et avait provoqué la décision de « Stéphane Le Foll » de mettre en suspend la production de biocarburant de première catégorie.

Cette avancée pourrait également permettre d’utiliser les algues vertes qui envahissent de plus en plus les océans et nos plages de méditerranée et de Bretagne. Ces algues nocives pour l’écosystème de nos mers et océans pourraient être une bonne source d’énergie (renouvelable) et ce qui nous empoisonne aujourd’hui, devenir salutaire demain.


Une plage de Bretagne envahie par l’algue verte.

La société Française de biotechnologies Deinove pense pouvoir dès 2014 produire industriellement ce type de carburant et réduire ses coûts de production de 30 % ce qui, en pleine crise de l’or noir, permettrait de faire tomber un peu le cours du Baril de pétrole et surtout de commencer à se désengager des pays producteurs devenus trop gourmands Le biodiesel peut également être employé dans les chaufferies collectives encore équipées de chaudières au fioul et permettre la transition à une utilisation plus généralisée des sources d’énergies renouvelables et propres comme l’électricité.

Reste maintenant à trouver des zones de stockage de la biomasse et aussi d’étudier les moyens de transport nécessaires à acheminer les végétaux vers la raffinerie. beaucoup de solutions à trouver encore pour que l’emploi de ce biocarburant puisse être généralisé et distribué dans toutes les stations services.