Depuis 1984, différents "mouvements pour le réévaluation du SIDA" ou "mouvements dissidents du SIDA", également appelés de façon péjorative "mouvements négationnistes" proposent des hypothèses alternatives sur la responsabilité du VIH dans le SIDA.

Ce mouvement réunit en son sein, des activistes, des journalistes, des scientifiques de renom et des personnes séropositives au VIH qui refusent le consensus scientifique selon lequel le virus de l’immunodéficience humaine (ou VIH) est la cause du syndrome d’immunodéficience acquise (ou SIDA). Ces dissidents soutiennent que ce consensus a provoqué des diagnostics inexacts, une terreur dans les esprits, des traitements toxiques et un gaspillage de fonds publics, en même temps qu’un mésusage sans précédent des normes de méthodes scientifiques.

Certains scientifiques sceptiques (parmi lesquels Kary Mullis, Prix Nobel de Chimie en 1993, Peter Duesberg et le Groupe de Perth) affirment qu’il n’existe pas de preuve formelle du lien entre le VIH et le SIDA.

Je ne suis qu’un amateur éclairé, et toutes ces personnes affirment que le SIDA est une condition pathologique plutôt qu’une maladie. Certaines affirmations me semblent bien fantaisistes, par contre il est vrai que certains dissidents soulévent bien des interrogations, et donc à ce titre justifient que je consacre un article à ces faits.

Bien évidemment des réserves s’imposent et en aucun cas il ne faut prendre pour argent comptant certaines affabulations.

Le Professeur Duesberg est l’un des leaders de l’opposition, rétrovirologiste et membre de l’Académie des Sciences, en sa qualité de l’un des plus proéminents virologiste du monde…

Voiçi quelques déclarations du Professeur Duensberg:

 

-Prétendre que le VIH cause le SIDA c’est jeter à la poubelle 30 années de recherche sur les virus. La théorie VIH est inconsistante, paradoxale et absurde. Le VIH est juste un rétrovirus latent et innocent, que l’on ne trouve même pas chez tous les sidéens.

-Si le SIDA était causé par un virus, il ne frapperait pas plus les hommes que les femmes comme c’est la cas aux USA. Les virus ne discernent pas les genres.

-Il y a des milliers de gens qui sont VIH positifs sans avoir le SIDA. Il n’y a aucune preuve que le VIH est présent dans tous les cas de SIDA. Quand on ne le trouve pas, comble de mauvaise foi, on affirme que c’est parce que le virus est "intelligent" et qu’il se cache simplement quelque part…!!

-Les maladies infectieuses arrivent peu parès l’infection et non pas des années après comme supposé avec le SIDA. Et certainement pas longtemps après que la personne à développé plein d’anticorps.

-L’AZT à cause de sa haute toxicité est une cause majeure de SIDA. C’est tout simplement "le SIDA sur ordonnance".

Pour les personnes plus désireuses d’approfondir les "révélations" de Peter Duensberg, il suffit de cliquer sur ce lien.

SOMMES-NOUS ENTRAIN DE LAISSER UNE INDUSTRIE PRENDRE POSSESSION DE NOTRE SANTE VIA LES VACCINS ?

Place à l’analyse du virologiste et biologiste moléculaire allemand, Stefan Lanka, qui nous donne son point de vue sur le SIDA et également sur le virus H5N1.

Le premier lien à visiter.

Le second lien à visiter.

Kary Mullis, Prix Nobel de Chimie 1993, pour l’invention de la technique PCR, une technique qui permet de multiplier l’ADN à volonté. La PCR a changé la routine de travail dans les laboratoires.

"Nous avons travaillé dix ans sur une fausse idée".

Je vous invite à la lecture de cet article édifiant sur le terrible malentendu autour du SIDA.

Place à l’interview du DR Etienne de Harven. Derrière lui une brillante carrière dans l’utilisation du Microscopie Electronique pour l’étude des rétrovirus, et cela depuis les années cinquante. Son travail qui fut "anatamo-pathologiste" et "microscopiste électronicien", l’a emmené au Sloan Kettering Institute à New-York, ainsi qu’à l’Université de Toronto.

« L’HYPOTHÈSE DU VIH EST EN TRAIN DE S’ÉCROULER »

 

Accusé de négationnisme par ses pairs, Étienne de Harven se définit plus précisément comme un négationniste du VIH. Il s’explique.

 

NEXUS : Quand l’étude de Montagnier et al. paraît en 1983, quelle est votre première réaction ?

Étienne de Harven : Quand l’article « historique » est sorti de Pasteur en 1983, ma réaction a été le scepticisme: il ne fait pas de doute (microscopie électronique) que des rétrovirus sont présents dans leurs cultures, mais il n’y a strictement aucune preuve que ces rétrovirus proviennent du malade « exposé au risque du sida ».

 

N. : Avez-vous par la suite tenté de faire l’étude au microscope électronique de patients atteints du sida ?

E. H. : Alors que j’étais à l’université de Toronto (1981…), j’ai voulu amorcer une étude solide, au microscope électronique, de tous les cas de sida auxquels j’avais accès. Quand j’ai fait part de ce projet à mes techniciens, leur chef m’a dit : « Si vous demandez de tels échantillons dans notre laboratoire nous démissionnerons tous » ! Ils étaient tous déjà terrorisés (médiatiquement…) par la peur de la contamination par le prétendu VIH ! Il faut cependant admettre que ce vieux et célèbre labo de microscopie électronique dont je venais d’être nommé directeur n’était pas bien équipé pour manipuler, en toute sécurité, des virus potentiellement dangereux !

 

N. : Avez-vous été fustigé pour vos positions ?

 

E. H. : Je suis, depuis vingt-cinq ans, critiqué et décrit comme « négationniste » ! Le pire a été en janvier dernier, à la télévision belge, RTBF. Je tiens à préciser qu’aucun « dissident » n’a jamais nié l’existence du sida ! Nous traiter de « négationniste du sida » est donc une calomnie pure. Ce que nous nions, c’est le rôle d’un prétendu VIH dans la cause. Ce qui est tout autre chose. Je me présenterais plus volontiers comme un « négationniste du VIH ».

 

N. : Le sida semble s’être manifesté d’abord au sein de certaines communautés, en Haïti, chez les homosexuels, et paraît résulter de foyers de contamination.  Si le VIH n’est pas la cause de ces « épidémies » de sida, quelle est-elle ?

E. H. : Le sida est un syndrome d’une réalité clinique indiscutable. Mais le fait qu’il y ait eu des « foyers » (Los Angeles, Haïti…) n’est en rien une preuve que ce syndrome soit contagieux ! Par exemple : si l’on trouve plusieurs cas d’intoxication par le plomb parmi les ouvriers d’une usine de colorant mal ventilée, cela ne prouve pas que ces ouvriers se sont contaminés l’un l’autre ! Cela prouve tout simplement que, travaillant dans le même environnement toxique (un « foyer », en quelque sorte…), ils ont tous été victimes de la même intoxication hautement immuno-déprimante ! Ainsi, nombre de ces homosexuels qui abusaient du nitrite d’amyle (« poppers ») et d’autres drogues ont été victimes de la même intoxication ! Cela n’a rien à voir avec une contagiosité de nature virale.  La meilleure étude sur l’origine chimique toxique, donc non infectieuse, du sida est sans nul doute celle publiée par Duesberg et al., dans le Journal of Biosciences (vol 28, juin 2003, pp 383-412, traduite en français  sur  ce lien.

 

N. : Le mycoplasme jouet il un rôle dans la survenue du sida ?

 

E. H. : À mon avis, strictement aucun. Depuis les années 60-70, la contamination de presque toutes les cultures cellulaires dans les laboratoires de virologie était le cauchemar des chercheurs !  J’ai été l’un des premiers à les identifi er au microscope électronique, à New York, dans les années 60… Ils sont dix à vingt fois plus gros que les rétrovirus. Pas moyen de les confondre. À l’époque, certains se demandaient même s’ils n’avaient pas quelque chose à voir avec l’origine de certains cancers. Et comme les cultures cellulaires à Pasteur en 1983 en étaient pleines, Montagnier (toujours très prudent…) se demandait même si ces mycoplasmes n’étaient pas un « co-facteur » du sida. Strictement aucune évidence scientifi que n’est venue appuyer cette hypothèse à mon avis totalement fantaisiste.

 

N. : Qu’est-ce qui explique, selon vous, la surdité du monde scientifi que et l’absence de débat sur l’hypothèse VIH = sida ?

E. H. : C’est une question de dollars.  Tous ces gens ont leurs congrès à Bangkok ou à Hawaï, et leurs labos plantureusement fi nancés par les plus grands noms de l’industrie pharmaceutique…  Ils n’ont aucune envie que la fontaine qui les arrose se tarisse !

 

N. : Vous avez fait partie du comité sida de Th abo Mbeki, le président sudafricain.  Quel était l’esprit au sein du groupe.  Quand a-t-il cessé son activité ?

E. H. : Les deux grands congrès organisés en Afrique du Sud par Mbeki, en 2000, furent des exemples exceptionnels de débats internationaux et contradictoires.  Thabo Mbeki sera toujours reconnu pour avoir été le seul chef d’État à avoir eu le courage et la sagesse de les organiser.  Son comité consultatif (dont je fais partie, ainsi que Luc Montagnier d’ailleurs) ne s’est plus jamais réuni depuis 2000…  Mbeki a fi nalement été débordé, hélas, par l’énormité d’une opposition politique insoutenable… Un autre exemple d’un grand débat ouvert et international fut bien entendu la réunion au Parlement européen, à Bruxelles, le 8 décembre 2003, sur « Le sida en Afrique » [dont les actes ont été publiés sous le même titre chez Marco Pietteur en 2004].

 

N. : L’attribution du récent prix Nobel vous a-t-elle surpris ? Existe-t-il aujourd’hui des recherches publiques qui tentent de vérifi er le dogme actuel ?

E. H. : Le récent prix Nobel à Barré-Sinoussi et Montagnier est une cynique comédie pour tenter, in extremis, de sauver la mise au VIH… « Ils » savent tous très bien (voir le livre récent de James Chin [lire page 70]) que cette hypothèse du VIH est en train de s’écrouler, et « ils » font tout ce qui est possiblement « politiquement correct » pour tenter de sauver leur grand machin (VIH). Depuis vingt-cinq ans, aucun crédit n’a jamais été alloué pour des recherches alternatives. Les crédits sont très directement contrôlés par « Big Pharma », et jamais le moindre crédit de recherche n’a été, dans le monde, accordé à un projet qui aurait l’outrecuidance de mettre en doute le rôle causal de ce prétendu VIH. Un rôle que personne n’a jamais pu démontrer directement chez un seul malade du sida !

 

 

Pour conclure quelques viéos:

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Bien évidemment j’aurai pu continué à vous abreuver avec quelques autres déclarations de dissidents, je préfère vous laisser le choix des recherches, et la liste est exhaustive.

Je tiens également à vous mettre en garde, certains de ces scientifiques sont laminés sur le site Hoaxbuster , donc il faut quand même prendre bien des pincettes face à certains affabulations.

Mais je dois bien reconnaitre que Stefan Lanka m’a interpellé et laisse bien des interrogations sur cette terrible maladie.

Le débat est ouvert, moi personnellement je n’affirme rien, je vous laisse libre de votre opinion et de venir débattre et exposer vos idées, vos théories…