Italie-Nouvelle-Zélande.

Les tifosis attendaient un rachat de la Squadra après le premier match face au Paraguay, ou l’équipe transalpine a été bien loin de faire l’unanimité.

Force est de constater que la Squadra s’est une nouvelle fois montré peu convaincante. Les All White sont pourtant loin de représenter un écueil infranchissable.

Pourtant dès la 7ème minute, sur un coup-franc d’Elliot, le ballon traversait la défense italienne pour échouer sur la jambe de Cannavaro qui déviait sur Smeltz qui n’en demandait pas tant.

 Quel coup de tonnerre !

Le petit poucet kiwi mène face au champion du monde en titre…

Le Mbombela Stadium de Helspruit.

La Squadra fait preuve de ses lacunes. Un match brouillon ou le ballon semblait figé par un manque de création, de vitesse dans le mouvement. Les tifosis n’en mènent pas large, dépités de cette nouvelle contre-performance.

Il manque un attaquant de classe mondiale, l’absence de Pirlo ne peut pas tout excuser. Face à une équipe Néo-Zélandaise courageuse, recroquevillée en défense, ou le portier Mark Patson s’est montré intraitable, l’Italie a été incapable de produire du jeu.

A chaque attaque c’était la même rengaine, un jeu de percussion sans imagination qui ne pouvait pas mettre à mal la défense des All White.

Certes l’Italie a eu quelques occasions, la plus notable étant le tir de Montolivo terminant sa course sur le poteau de Patson. Mais dans l’ensemble cela fut un fiasco offensif.

Bien sur l’Italie n’est pas éliminée mais va se retrouver dans un cas de figure compliqué. Le Paraguay mène la danse et je doute que cette équipe soit tenue en échec par la Nouvelle-Zélande.

La Slovaquie jouera face à l’Italie la finale de ce groupe. Les Slovaques n’ont rien montré aujourd’hui, et partiront dans le rôle de l’outsider. Une pression supplémentaire pour les hommes de Marcello Lippi.

Au vue de la faiblesse offensive, le but italien face à la Nouvelle-Zélande, inscrit par Iaquinta sur un pénalty. Dans le jeu il faut bien reconnaitre la médiocrité italienne, pas de jeu en mouvement, le ballon ne circule pas, et la défense n’affiche pas une grande sérénité. Allez mon ami Dario…Forza  Italia !

Du suspense pour cette dernière rencontre.

Bravo aux All White, petit poucet mais démontrant un courage à toute épreuve.

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