La langue française au Québec

Aujourd’hui le Québec a 400 ans. Depuis sa création, il s’est passé beaucoup de bonnes et mauvaises choses. Tout dépend du point de vue de la personne. Cependant, certains problèmes que nos ancêtres avaient autrefois sont encore aujourd’hui d’actualité et il y a même des débats politiques sur ces sujets.

La langue française au Québec

 

Introduction :

 

Aujourd’hui le Québec a 400 ans. Depuis sa création, il s’est passé beaucoup de bonnes et mauvaises choses. Tout dépend du point de vue de la personne. Cependant, certains problèmes que nos ancêtres avaient autrefois sont encore aujourd’hui d’actualité et il y a même des débats politiques sur ces sujets. Le texte qui suit parlera d’un de ces sujets, qui peut encore aujourd’hui créer des frictions entre les personnes qui n’ont pas la même opinion. Ce sujet est la langue française au Québec. Mais plus précisément le débat que nous avons eu à ce sujet en classe  était de répondre à la question : les nouvelles générations de québécois et québécoises ont-elles laissé tomber la défense de la langue française au profit de leur réussite individuelle? Dans ce texte je parlerai en premier lieu des propos de Christian Dufour mais aussi je vais faire un peut d’histoire parce que ce problème n’est pas une jeune question et nos ancêtres ont défendu eux aussi la langue française puis en second lieu je parlerai de pourquoi ce problème n’est pas encore réglé et des solutions ou des ajustements que nous devrions faire pour régler ce problème qui, selon moi, persiste depuis des années.

 

 

Développement partie 1 :

 

            Comme mentionné antérieurement, j’évoquerai les propos de Christian Dufour. Premièrement, je suis d’accord avec certain de ses propos même si ceux-ci ne sont pas toujours agréables à entendre quand on est un québécois ou une québécoise. Mais il faut se rendre à l’évidence que l’auteur du livre « Le retour du mouton » à raison. Dans l’extrait du roman que le professeur nous a fourni l’auteur compare le canadien français ou le québécois tout simplement à un mouton. Voici ses propos mot pour mot : « […] un animal qui s’avérait vraiment très doux, docile et soumis, en plus de ne pas avoir l’air brillant […] ».<!–[if !supportFootnotes]–>[1]<!–[endif]–> Quand j’ai lu cela, j’étais fâché mais comme je l’ai dit plus haut dans le texte il avait raison. Donc, nous pourrions se demander pourquoi  nous les québécois avons une image pareille? Ma réponse est peut-être du fait que nous avons une langue différente de celle du reste du Canada et que tranquillement elle va disparaitre si nous ne faisons pas ce qu’il faut pour la conserver. Quand j’ai dis mon opinion à ce sujet j’ai fâché plusieurs personnes. Mais même si la majorité des personnes est en désaccord avec moi je crois que ma perception est valable. Selon encore les propos de Christian Dufour et du débat que nous avons eu en classe, je crois que les québécois et québécoise ont cette image c’est parce ce que nous sommes « faible », par exemple, s’il y a un anglais qui vient nous parler en anglais nous évitons l’altercation et lui répondons en anglais même si on le parle pas très bien. Ce comportement est celui d’un faible! Ce qui me porte à dire que les québécois n’ont su bien défendre la langue française. Car, pour ce qui est de la question de l’introduction, je crois que les générations futures sont fatiguées de se battre pour en arriver à des compromis qui ne mènent qu’à un autre conflit (nous pourrions comparer cela à une guerre de tranchée (guerre sans fin)) je crois que nous sommes sur le point de hisser le drapeau blanc. Une chose qui n’aide pas la cause est notre histoire pleine de défaites (exemple : nos cours d’histoire, la conquête, etc.…) ce qui fait que les Québécois ont l’impression d’être toujours les perdants, des soumis ou comme l’expression le dit « des loosers ». De plus, la langue commerciale est l’anglais et il est plus facile de percer dans le monde des affaires si tu parles anglais ou tout simplement quand tu voyages. Donc nous la jeunesse avons le choix qui suit à faire : devenir bilingue ou rester seulement français. Voilà pourquoi la jeunesse d’aujourd’hui ne défend plus autant la langue française. Cependant, les enfants de la loi 101 ou plus précisément les immigrants qui sont obligés d’apprendre le français quand ils arrivent au Québec sont les plus grands défenseurs de la langue française.<!–[if !supportFootnotes]–>[2]<!–[endif]–>De plus, nous sommes trop gentils, trop tolérants, trop ouverts et là est le problème. Parce que si on donne une petite chose a quelqu’un et bien l’autre va en prendre plus et etc.… Pour terminer, je crois que oui, certain jeunes ont laissé tomber la défense de la langue française au Québec mais je crois que cette abandon est justifier par ce que cela est très difficile de conserver une langue que nous saurions pas supposé de parler parce que je vous rappelle que les anglais nous ont envahis et une chance qu’ils n’ont pas utilisé de moyens radicaux pour nous assimiler parce que nous n’aurions même pas ce débat, nous parlerions anglais comme le reste du Canada. 

 

 

 

 

Développement partie 2 :

 

            Deuxièmement, je tiens à dire que ce qui va suivre est mon opinion personnelle. Comme je l’ai mentionné précédemment, je crois que la jeunesse a laissé tomber la défense de la langue française parce qu’elle est soit sont fatiguée ou tannée. Je crois que si nous voulons conserver notre langue française nous allons devoir changer de stratégie. Ce que j’entends par cela, c’est en premier lieu d’arrêter de se conduire comme des moutons puis de ne pas avoir peur de s’imposer face à un anglais. Parce que nous pouvons aussi être forts et non des faibles ou soumis. De plus, nous devrions apprendre aux québécois qu’eux aussi ont déjà contribués à des victoires importantes au fil de l’histoire, même si nous étions sous le règne anglais. Par exemple : la guerre de 1812, la première guerre mondiale puis pendant la deuxième guerre mondiale à Caen en France. Tous ces exploits militaires pourraient augmenter l’estime des canadiens français et aussi avoir un meilleur sentiment national qui est très faible. Par contre, ces événements prouvent que les québécois ne sont pas de « looser » même si pendant ces événements nous étions sous la bannière canadienne (c’est mieux que rien). Et à la place de se séparer comme nous faisons en ce moment quand il est question de choses importantes (un groupe qui ne veut pas un autre, un qui veut, et un qui ne sait pas) les québécois et québécoises pourraient enfin lutter ensembles pour une cause. Quand nous aurons compris cela, alors nous pourrions être forts et les changements pourraient se faire. Il va seulement manquer un bon chef. En second lieu, nous devrions être moins mous sur les lois et aussi imposer le français partout et arrêter de faire des accommodements qui prouvent encore une fois que nous sommes trop gentils et de ce fait nous perdons de la crédibilité ou du pouvoir. Donc les jeunes n’ont pas d’attachements et voila pourquoi nous choisissons l’anglais à la place du français. De plus, sur l’île de Montréal 13% des affiches commerciales ne sont pas en français même si la loi oblige une traduction française au minimum.<!–[if !supportFootnotes]–>[3]<!–[endif]–> Pour conserver notre langue dans notre pays ou tout le monde parle anglais, à part le Québec, il faut parfois utiliser des moyens plus radicaux pour défendre la langue (pas seulement des petites manifestations) mais, pour utiliser ce genre de moyens nous devons avoir une grande majorité ce qui n’est pas le cas en ce moment. Pour conclure, le problème de la langue française au Québec est beaucoup relié à l’attachement que les jeunes ont d’elle, donc, si nous la défendons plus c’est parce que nous ne sommes pas assez  préoccupés du français et que l’anglais nous conviens.

 

 

Conclusion :

 

            En conclusion, la réponse à la question : « les nouvelles générations de québécois et québécoises ont-elles laissé tomber la défense de la langue française au profit de leur réussite individuelle? » je crois que c’est oui. Parce que les jeunes veulent réussir et c’est plus facile quand nous maitrisons l’anglais. Cependant, l’attachement à la langue française est moins élevé et le sentiment national des nouvelles générations est en chute libre. De plus, l’image que nous avons, nous les québécois, est très négative et ceci est de notre faute parce que nous sommes trop gentils envers tout le monde. Donc, pour sauver la langue française au Québec nous avons beaucoup de chemin à faire et peut-être serions nous mieux d’être assimilés par les anglais pour de bon et parler anglais comme le reste du Canada, je ne sais pas qu’est-ce qui serait le mieux pour l’avenir des québécois et québécoises mais je crois que si  nous continuons dans cette direction l’anglais va devenir la langue officielle du Québec. Est-ce une mauvaise chose ou une bonne chose?

 

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<!–[if !supportFootnotes]–>[1]<!–[endif]–> Dufour, Christian. Les Québécois et l’Anglais, le retour du moutons. Éditeurs Réunis, 2008

<!–[if !supportFootnotes]–>[2]<!–[endif]–> Dufour, Christian. Les Québécois et l’Anglais, le retour du moutons. Éditeurs Réunis, 2008

 

 

 

 

 

<!–[if !supportFootnotes]–>[3]<!–[endif]–> Bilan de la situation de la langue française site internet : http://www.spl.gouv.qc.ca/langue/tablematiere3.html

3 réflexions sur « La langue française au Québec »

  1. Je suis moi même jeune (17 ans). Mais je refuse catégoriquement de placer ma supposé réussite personelle au dessus de la défense du français. Car ma réussite passe par la survie de ma langue qui est le français au Québec. Bien que je sois parfaitement bilingue français anglais, je me refuse de comprendre et de répondre en anglais lorsque je doit être servi dans un commerce au Québec et je croit, fermement, que toutes les Québecoises et Québecois devraient en faire autant, même plus et je m’engage a augmenter mon impact sur le dévelopement de la situation linguistique au Québec.

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