Pour ma part, je pense que la France a beaucoup d’atouts pour sortir de la crise. Et vous ?
Mon opinion est fondé sur plusieurs points, et sans doute les mêmes que la majorité d’entre nous.
Tout d’abord, la France a été, est, et restera l’un des pays à l’attrait touristique indéniable et indémodable. Son patrimoine culturel hors du commun, tels que les musées du Louvre, Grévin, Pompidou, mais également des monuments historiques comme la Tour Eiffel, le Château de Versailles, ou bien encore les Châteaux de la Loire, dont de notre pays une attraction à travers le monde.
N’oublions pas sa richesse des terroirs et de paysages, tels l’océan Atlantique qui borde nos côtes, ou bien la mer Méditerranée… Sans oublier les montagnes, pour les alpinistes et randonneurs, avec les Alpes et le sommet le plus haut d’Europe, le Mont Blanc…
Patrimoine régional avec sa diversité exceptionnelle. Pensez à la Corse, par exemple, merveilleuse île française en Méditerranée, la Bretagne, les Pays de la Loire, la Gironde, les Pays Basques… Les touristes ont de quoi se plaire et être attirés par notre si belle France.
Notre pays est également la patrie du métissage, diverses nationalités se sont installées en France et ont enrichi notre patrimoine et notre culture. Je pense qu’à moindre mesure, ceci peut-être considéré comme un atout majeur.
La France possède aussi, je pense, des entreprises internationales qui sauront faire face à la crise. Airbus, Renault, Total, pour ne citer que l’unes d’entre elles, avec des chiffres d’affaire record d’année en année.
Nous avons de plus quelques atouts supplémentaires : la mode, la joaillerie et a parfumerie, domaines dans lesquels la France excelle de par son savoir faire. « Chanel », « Yves St-Laurent », « Dior », « Fragonard « et j’en passe… Des marques qui font la renommée de la « Touche Française » à travers le monde.
Notre pays tient aussi sur son territoire des infrastructures capables de faire transiter des millions de voyageurs chaque année. L’aéroport Charles de Gaulle, par exemple, Orly, l’aéroport de Nice Côte d’Azur pour le sud, mais également des gares mondialement connues telles les gares Montparnasse ou de Lyon à Paris.
Enfin, je pense que la France est le pays le mieux situé géographiquement en Europe. Véritable « Carrefour multiculturel » entre les quatre points cardinaux d’Europe, notre pays peut-être une sorte de plateforme géante capable de tirer profit de cette situation afin de ne pas nous mettre à l’écart en restant une « incontournable zone géographique ».
Je suis sûr que j’ai oublié certains atouts, mais je compte sur vous, chers lecteurs, pour en rajouter dans les commentaires.
En guise de conclusion, voici ce qu’ un sondage « CSA » venant d’être publié le 03 juin 2013 a donné comme résultats :
« Oui, je pense que la France a des atouts pour sortir de la crise » arrive en première position avec 54 % des opinions.
« Non, je ne pense pas que la France a des atouts pour sortir de la crise » prend la deuxième place avec 42 % de pessimistes, tandis que les « sans opinion » sont à 4 % dans le suffrage.
Ces opinions nous enseignent au moins une chose : majoritairement, les Français restent optimistes face à la crise, et les hommes sont d’autant plus optimistes que les femmes avec 61 % d’entre eux à penser que la France possède des atouts pour sortir de la crise.
Et vous, pensez-vous que la France a des atouts pour surmonter la crise ?
[b]La France a effectivement d’énormes atouts, mais pas sous le régime de castration mentale, économique et politique qu’elle subit actuellement.[/b]
Les atouts malheureusement ne sont pas suffisants pour s’en sortir. Encore faut-il les accompagner, les susciter et là la France a aussi beaucoup de retard.
Focaliser sur les atouts touristique de la France pou espérer voir une sortie de crise, pardon d’être brutal, mais ça me paraît totalement insuffisant. Si notre pays fût grand, à une époque, c’est qu’il fût avant tout un producteur agricole puissant et avait su développer un tissu industriel conséquent.
Ensuite, que définissez vous comme « crise » ? En connaissez vous ls tenants et les boutissants ? Savez vous depuis quand elle a réllement commencé (vous auriez probablement des surprises en le découvrant)… Les racines sont bien plus anciennes et profondes, malgré ce qu’on a voulu faire croire à la sacro-sainte « classe moyenne » inventée de toute pièce, par pure flatterie, par l’oligarchie… Revoyez l’histoire, cher auteur, surout à partir de la moitié du 18ème siècle, vous y découvrirez pourquoi la crise juste en lisant un peu Voltaire, entre autres…
Pour finir, vouloir raviver la puissance déchue de notre pays en comparant ses avantages à celui de la Grèce, l’Égypte ou l’Espagne, c’est faire preuve d’une grand insolence par ignorance.
Excusez-moi, Philippe Meoni… A qui parlez-vous exactement en disant je cite « Pour finir, vouloir raviver la puissance déchue de notre pays en comparant ses avantages à celui de la Grèce, l’Égypte ou l’Espagne, c’est faire preuve d’une grand insolence par ignorance » car dans mon article, je ne fais pas cela… ou bien vous devez avoir mal lu. En tout cas on attend avec impatience votre « prose » sur Voltaire, vous qui avez l’air de manier la plume comme lui…
Je sais, redac fab, que j’ai parfois la critique acerbe, mais votre papier tient plus d’un guide touristique rempli de lieux communs, youp’la boum, que d’une analyse profonde qui serait pourtant bien nécessaire et à généraliser en ce moment… Je suis surtout un peu aigri car j’ai lu votre article, attiré par le titre que vous lui avez donné et j’avoue avoir été totalment déçu par le contenu, voilà tout… Ce titre aurait pu être du genre : « Malgré tout, qu’il fait bon y vivre, en France… » ce dont ne personne doute et qui aurait été moins acccrocheur pour les gens qui pensent et agissent vraiment, tel est mon cas, aux issues possibles pour notre pays qui vit vraiment des moments gravissimes…
Alors Philippe Meoni j’ai envi de vous dire, que la critique est facile, l’art est difficile. Je crois que je ferais un très bon guide touristique, peut-être, mais j’ai mis là mon opinion… Assez accrocheur pour vous faire réfléchir à la question je vois, c’est déjà ça. Je rajouterais autre chose, vos critiques ne me font ni chaud ni froid, d’ailleurs vous n’avez pas beaucoup de votes en faveur de vos deux commentaires (qui ne font rien avancer du tout), « Monsieur le critique littéraire ».Moi, j’essaie de faire réfléchir le lecteur à la question. Je ne lui demande pas d’adhérer à 200 pour cent à mes idées…
Donc, merci pour vos commentaire, je suis ravi que quelqu’un en ai mis sur mon article. lol
Oui, voilà, vous faites dans le « Prêt à lire facile » avec des textes qui n’obligent pas à trop d’efforts… Ce que vous ne comprenez pas de ma critique, c’est que vous faites passer la crise comme quelque chose d’accidentel, presque normal… Vous reservezle condensé insipide de tous les main stream qui disent tous que c’est la faute à pas de chance et que personne n’a rien vu venir…
[b]Sortir de crise, ce serait déjà d’éradiquer les causes[/b]… D’où pourquoi votre texte me paraît désuet car, vous n’évoquez à aucun moment les raisons persistentes de la crise, qui sont toujours actives aujourd’hui, et auraient même tendance à s’aggraver depuis quelques mois… Alors pour inviter les gens à la réflexion, donnez leur au moins la matière pour le faire…
Je ne suis pas tout contre vous bien au contraire. Cependant, j’ai l’impression que vous prenez (tout comme vous me considérez) les lecteurs pour des âmes sans neurones, ou trop naïfs et bêta, incapable d’avoir leur propre raisonnement sans qu’on leur mâche le travail de la réflexion…Je vais vous dire le fond de ma pensée. En France, l’assistanat est partout désormais, vous avez « matière » à réfléchir. D’ailleurs, vous m’en donnez la preuve une nouvelle fois en demandant pour le lecteur « matière à réflexion », la question elle-même ne suffit-elle pas pour que vos neurones se mettent en marche???
Sur ce, j’arrête de répondre à vos commentaires qui ne changeront ni votre vie, et encore moins la miennes, sans vous offenser d’avantage.
« En France, l’assistanat est partout désormais »… Vous avez enfin lâché le fond de votre pensée, tel que je le soupçonnais et tel que les médias institutionnels veulent que vous pensiez : « Travailler plus pour gagner plus », « baisser les impôts relance l’investissement », « l’immigration et les racailles » etc… Bref, la faute aux pauvres qui profitent du système ? Et c’est pour toutes vos arrières pensées que je trouve votre article totalement désuet et franchement niais, limite propagande.
Des matières à réflexion me demandez vous ? :
– La fin du Bretton Woods en 1971
– La loi Pompidou/Giscard de 1973
– Le choc pétrolier de 1974 (chassons le gaspi, à la téloche)
– L’apparition du FN en 1982
– La première « grande » crise économique en 1992
– Les attentats du 9/11 qui correspondent à la bulle informatique
– Les guerres au proche et moyen orient
– 600 tonnes d’or Français vendus aux plus bas aux USA en 2004
– Le referendum Français de 2005 et le traité de lisbonne en 2007
– Le retour de la France dans l’otan
– Le désarmenent de la France
– Une commission européenne gouvernée par des NON élus
– La Réserve Fédérale US, Bank ok England et Japan et leurs quantitative easing
– Goldman Sach’s, JP Morgan Chase, La city, le High Frequency Trading
– Les dettes souveraines et les Credit Default Swap
– La Troïka, l’austérité, la compétitivité
– Les privatisations des pays du sud « en défaut »
– L’explosion du chômage et licenciements en masse dans tout l’europe…
La liste ne donne que le gros morceau mais, en cherchant un peu, vous verrez que les détails ne manquent pas de croustillant… Cependant, trouvez le lien entre tous ces faits pour COMPRENDRE la « crise » et si vous êtes de bonne foi, vous orienterez peut être vos prochains article en sorte qu’ils soient assez suggestifs pour entraîner une VRAIE réflexion.
Personne me dictera quoi écrire, et certainement pas vous… mdr. ça s’appelle la liberté. Vous avez votre liberté d’apprécier ou nous mes écrits, j’ai ma liberté d’écrire .
« D’apprécier ou non » je voulais écrire.
Bonjour
Un beau catalogue touristisque et de nos produits locaux ne fera pas revenir en arrière au niveau de la situation politico-économico-financière.
La question qui donnerait un 52% est déja plus que lègère, se baser sur cela réservera des surprises à la majorité et nous comprendrions mieux le statisme éventuel des attentistes qui espèrent.
Soyons sérieux, ce sujet n’a pas vraiment de rapport avec la crise.
Pour info le tourisme et nos produits de luxe made in france s’adressent bien économiquement aux étrangers, peut en france peuvent encore s’offrir la qualité locale, plus de 80% des consommateur recherche les prix abordables, il leur est plus facile de se payer 10 jours à 3000 km tout compris qu’un petit week-end dans nos belles provinces, et ce depuis un bon moment… La visite des caves sur la route des vins est remplie de Chinois, mais la encore les plus fortunés…
Tous les gens que je connais me parlent régulièrement chaque année de leurs voyages… toujours hors de la France.
Se poser ou poser les bonnes questions sur la crise… les 30 glorieuses n’étaient qu’une logique d’aprés guerre pour rappel…
Sinon la crise la génération des plus de 50 ans la vivent depuis leur jeunesse… un bail par tacite reconduction pour beaucoup de gens…
PH
Oula !!! moins de parano, fab… Je ne veux ni vous dicter ni vous empêcher d’ecrire ce que vous voulez, mon vieux, mais lorsque vous pondez un article avec la prétention de faire un descriptif de ce qui va sauver la France, acceptez aussi la controverse et la critique… Cette dernière, en général, sert justement à s’améliorer… Mais si messire a la suffisance de croire qu’il détient la vérité et la science infuse, je ne vois plus l’intérêt de cette correspondance… bon vent, cher ami, je vous laisse à vos certitudes…
Le récurent principe de l’assistanat est un argument qui ne tient pas. Si les plus jeunes s’attachent encore à cela pour justifier les malaises de nos sociétés, qu’ils fassent un petit tour dans l’histoire politique des années 70. Choc pétrolier. Premiers chômeurs, que l’état à préférer ignorer en les payant même plus à rester chez eux de nombreuses années, c’était mieux pour les élections. Revoyez Giscard et son accordéon qui nous a composé la symphonie de la fuite en avant de toute l’énergie de la France en libéralisant en 73 l’argent des français, qui fait que nous sommes aujourd’hui dépendant non plus des politiques mais des banques et de la bourse. Pourquoi ne pas avoir favorisé les entreprises en ajustant le social à la situation de baisse du travail, aujourd’hui nous serions certainement plus prôches de la semaine de 25 heures et sans toutes les conséquences issues de cet abaissement de l’état social que nous connaissons. J’en ai connu des fiers qui criaient fainéants aux chômeurs, jusqu’au moment ou c’était leurs fils et leurs filles malgré leur dipômes et leur courage qui pointaient à l’Anpe, puis eux-mêmes à leur tour mais qui alors s’y rendaient en rasant les murs…
La crise serait donc due pour certains aux gens qui ne voudraient plus travailler, c’est un raisonnement des écoles de commerce que cela pas sorti des analyses des couloirs des sciences humaines et de la sociologie.
PH
PS: Miterrand n’a pas repris le flambeau en main aprés l’accordéoniste je précise, malgré le rapport Maurroy en 1981 réalisé trés objectivement par nos meilleurs sociologues Français, le changement réclame du courage et la vérité face au peuple.
Bonsoir Philippus, merci de vous joindre à mon point de vue, bien que vous la fassiez avec plus d’élégance que moi… 🙂
Mais à dire vrai, mon « impatience » reflète surtout le fait que j’arrive encore à être surpris par l’effet carcan de la pensée unique qu’une majorité ne fait pas l’effort de vouloir quitter… C’est vrai qu’il est plus facile de parler de foot ou des seins d’angelina, thèmes qui font rêver, bercés par le doux roucoulement de JP Pernaud et ses beaux reportages à 13h… Le réveil tout proche sera dur pour beaucoup, mais ce sera mérité.
je ne suis pas sûre que la France a tous les atouts pour réussir…en tout cas elle est mal gérée…
Mal gérée, et c’est peu dire, dans la mesure où désormais une grande part des règles nous sont imposées par l’europe, sans parler des conflits d’intérêt et de la corruption ds gouvernants, oui, vous avez raison…
Comment on peut avoir des atouts si cette crise est volontairement voulue et médiatisée ?
Il ne s’agit plus d’atout mais de savoir ce qui se cache derrière toute cette mise en scène ?
La crise n’est pas volontairement voulue elle est la conséquence de choix nationaux et internationnaux depuis l’aprés guerre 1945, quoique avant aussi, basés sur l’avoir plus que sur l’être. Bref c’est de nouveau l’époque des fins de civilisatons, mis à part le fait que désormais nous soyons dans le cadre de la mondialisation par un système unique mathématique de comptables. Donc ne pas attendre des autres qui attendent de nous. Nous pouvons retourner la problématique dans tous les sens nous savons tous sans être des analystes experts pour autant désormais que la richesse des uns est bien la misère et la perte de la majorité des gens, partout en ce monde. Si pendant un temps l’occident à vécu sur la pauvreté du sud maintenant ce sont toutes les masses populaires qui sont bien les victimes. Ce qui soulève partout les peuples l’est par le même fondement commun, malgré ce que certains voudraient nous faire croire encore un moment en Europe et en France. le principe du système ne répond plus au système, l’économie ne fonctionne plus qu’avec la planche à billet sur l’usure générale donc les peuples socialement les plus faibles assurent le remboursement par l’endettement, mais comme plus personne ne paiera prochainement, a moins que les occidentaux acceptent de se sacrifier en oeuvrant comme il y a un siècle, bien qu’avec moins ils ne puissent pas relancer l’économie pour autant… la finance pompe chaque jour le bénéfice de la moindre énergie ou créativité possible. le pire est que dans nos sociétés occidentales civilement les gens se mettent face à face avec leurs idéologies dépassées et extrèmes désormais au lieu de s’en prendre aux vrais coupables dont les agences et les guichets ne manquent pas dans tous les quartiers de nos villes.
To be or not to be…
PH
[b] »le cadre de la mondialisation par un système
unique mathématique de comptables »
est appelé à etre détruit !!![/b]
Un pays ne peut plus être bien gérer. Un chef d’entreprise doit avoir les choses en main pour être responsable et prendre des bonnes mesures pour son entreprise (pour les actionnaires ils savent le faire). La France est soumise non pas spécialement à l’Europe (qui sur certains plans est plus objective avec les peuples que la France (voir le droit européens qui donne raison à beaucoup de français s’ils vont plus loin dans leurs litiges) disons que si les français veulent l’europe il faut à un moment passer aux actes. Le beure et l’argent du beurre ne donneront jamais la meilleure huile d’olive encore moins de la crême…
Il suffit de voir nos élus au iveau Européen pour avoir le reflet de la pensée nationaliste encore bien présente, un paradoxe. Alors de la à penser que le monde se fera par les hommes, la crise aura vite fait d’exploser le système.
N’ayez pas peur, c’est un mal pour un bien qui fea réfléchir chacun face aux faux dieux pouvoir et avoir…
réléchir à un autre fonctionnement demain qui répondra à tous est impératif, nous savons tous que la crise ne réssoudra le problème injuste de nos sociétés, de nos comportements.
PH
Philippus, je vous suggère donc la lecture, outre Marx, Fridman ou Klein, l’escellent témoignage de John Perkins, « Confessions d’un assassin financier » (Edition demi-lune, publié en 2010, de mémoire)l’un des acteurs du monde de la haute finance qui dévoile la technique pour mettre n’importe quel pays en faillite.
Stratégie simplissime qui consiste à faire croire à un pays la nécessité d’un progrés coûteux (infrastructures, immobilier, finance…), lui promettant une niveau de croissance décuplé, tout en fournissant les prêts pour les financer. Sachant que la croissance ne sera que de très court terme, les débteurs savent que les pays en question n’arriveront jamais à solder ces emprunts.
Dette d’état, donc facile à pressurer au niveau politique international et finir par exiger la privatisation à vil prix de toutes ressources, l’austérité fnancière et sociale etc. tel que pratique la troïka aujourd’hui.
A savoir que le monde financier a placé ses pions sur l’échiquier politique depuis fort longtemps et la pépinière principale reste la banque Goldman Sach’s, dont d’ailleurs est issu Mario Draghi, actuel président de la BCE.
Au regard de ces éléments, il existe donc bel et bien une stratégie de fond, selon les premières théories de Milton Fridman et ses chicago boys, qui permet d’entraîner des états souverains dans un surendettement fatal délibérément provoqué en vue d’imposer la dominance économique du débiteur. Sachant que toute opération financière est référencée au dollar américain, et que la Réserve Fédérale en est à imprimer, par ses QE, 45 milliards USD par jour, prétés à 0,01% à GS et JP Morgan Chase qui ensuite exécutent des SWAP avec la BCE.
Et là, je me permets de vous contredire : Oui, la crise est voulue, c’et uen stratégie de domination et d’annexion, par les USA, des pays d’europe… Pour enfoncer le clou, prenez note qu’à partir du 14 courant s’ouvre la négociation sur le traité transatlantique que l’europe n’est plus en mesure de refuser…
A croire que les « Philippe » sont tous les mêmes… de gros pavés dans la marre. lol. Je vous laisse, effectivement Messire Philippe Meoni, je crois bien que vous pensez détenir la vérité plutôt que moi. Je vous rappelle au passage que mon article était « subjectif » (si vous savez ce que veut dire ce mot, donc pas forcément objectif), mais je vous laisse à votre discussion « passionnante » avec Philippus. lolll, je vais dormir, vous avez réussi à m’ennuyer. mdr.
Rédac Fab, Messire, ou Monsieur le Parano, comme bon vous plaira cher ami.
Je suis bien d’accord avec vous, Philippe Meoni !
Oui, voilà, je vous ennuie… Ça fatigue tant de se râcler un peu la soupière ? Je prends la peine et le temps de rédiger des commentaires qui, par la critique, ouvrent le champ du débat, tenter d’approffondir avec vous un délicat sujet qui demande une certaine maîtrise des choses économiques et sociales, un peu de culture historique et un recoupement drastique d’informations vérifiées et vous, vous vous braquez à corps défendant sur une posture que vous pensez la seule et vraie…
Si je m’étais comporté tel un censeur ou critique littéraire, selon votre expression, je me serais contenté d’écrire que votre texte ne vaut pas mieux que les « exposés rédigés » que je filais à mes profs de collège en 4ème.
De toutes façons, ce sera ma dernière réponse à votre attention puisque de toutes façons, sans vouloir vous faire l’affront de douter de la compréhension que vous avez de mes commentaires, je suis maintenant certain que vous ne les lisez pas intégralement. Discussion stérile, donc, j’ai d’autres chats à fouetter de mon côté. Bonne continuation, Fab, cordialement…
Faites attention Philippe Meoni, alias « monsieur je sais tout », vous faites des répétions en fin de votre dernier commentaire (« de toute façons »)… Aussi, si vous aviez pris le temps de lire mes commentaires, bien plus courts que les vôtres, vous auriez lu ce à quoi vous aboutissez après des dizaines et des dizaines de lignes… discussion stérile. Pour ça que je voulais arrêter de vous parler bien avant. Face aux penseurs sortant « toute l’ histoire économique »… enfin, heureusement que je ne vous ai jamais eu comme professeur. LOL. Je vous rassure tout de même, monsieur le critique littéraire, j’ai eu mon bac et plus depuis bien longtemps.
Cordialement
Par pas volontairement voulue, je voulais plutôt exprimer le fait que notre système par l’individu dans le contexte de l’avoir fait que forcément le mouvement général des masses et des chefs ou des pouvoirs vont d’office dans cette logique de l’avoir donc quasi faussement naturellement je dirais, dans cette logique que les plus gros soient les locomotives. Chaque pays a eu son emprise sur les siens, puis son heure sur les voisins, désormais nous arrivons effectivement à devoir suivre principalement le dominant unique plus à l’ouest. Bien que le dominant est basé partout en ce monde et ne porte pas spécialement une carte d’identité US. Le pouvoir et l’avoir ou l’égo étaient bien internationalisés depuis…
Maintenant la question serait plus philosophique en tentant de se demander si à terme un seul pays, le monde, serait meilleur pour autant et changerait ainsi le fondement individuel de l’homme pour autant ?
Il y a des choses qui ne se prennent pas ou qui ne s’imposent pas, jadis comme maintenant. Tous les américains ne sont pas d’accord déja entre eux…
Donc j’acquièse à votre analyse ci-dessus qui résume bien le livre présenté.
PH
redac fab
Sans vouloir jeter de l’huile sur un feu et dans le respect de chacun, la rédaction publique et dans le cadre d’un forum, est une descente aux arènes parfois aux enfers qu’il faut accepter.
Ne pas y répondre avec des armes mais avec des arguments contradictoires permet d’apporter chacun sa pierre au sujet et de faire avancer chacun à terme.
C’est ce que je ne cesse de rechercher ici en ayant régulièrement des arrosseurs qui jamais n’entrent objectivement dans les développements.
Un journaliste de plus citoyen ne peut juste déposer son verbe sans rien attendre et sans assumer. Je vous parle en connaissance de cause ayant officiellement quelques livres édités et bien d’autres textes et articles, il faut garder sa maîtrise et une certaine diplomatie devant les autres. Même devant éventuellement des insultes ou des menaces, je n’en suis pas pas en manque sur ce présent forum, dés mon arrivée le premier jour, par les mêmes habituels qui rarement ne dépassent les 3 lignes ou le copié collé et sans se mouiller voire dans l’incognito total…
Au moins vous avez un article vivant par cela au regard de la production souvent inutile par le quantitatif formaliste qui jamais ne vaudra le qualitatif de fond.
Sinon je ne soutiens pas les homonynes, les identités ne servent que les partis pris et les malheurs de ce monde.
PH
J’apprécie votre dernier commentaire, Philippus, et je vais essayer de m’en servir pour accepter plus facilement la critique. Disons juste que j’espérai plus voir les gens donner une réponse à la question posée plutôt que de se lancer dans une critique acerbe de mon article, qui je le répète n’était qu’un point de vue…
M’enfin, j’accepte la critique, la liberté ne serait plus si la critique cessait d’exister.
Ecrire sur Internet réclame du recul, de la maîtrise et parfois beaucoup de sagesse,car vous vous ouvrez au monde. Et le monde s’exprime désormais pas comme face à la presse jadis qui vous faisaient avaler des couloeuvres grosses commes des boas…:-))
Sinon oui la France à des atouts, comme tous les autres pays qui hier ne pouvaient pas s’exprimer et qui désormais développent les mêmes moyens. La crise est donc éventuellement une répartition mondiale désormais plus juste à laquelle il faut s’adapter plus avec de la créativité sur cette nouvelle approche que par un conservatisme sur des acquis d’hier qui ne suffiront. Sans oublier comme dit l’autre Philippe certaines mauvaises volontés plus d’intêtes financiers que collectifs, qu’il faut combattre, la est le malaise piur tous pas seulement pour les français…
Le changement, certains l’attendent mais en visionnant un retour en arrière, la est l’erreur. les gens sont en décalage avec la réalité du terrain et souvent par des frontières nationalistes diverses. Bref, une forme d’extension de l’égoïsme individuel sécuritaire et par peur de l’inconnu, ce qui profite en les exploitant ces intérêts privés qui eux n’ont pas de territoire depuis bien longtemps.
PH
Hollande range France et Japon
dans les puissances de [quote]demain[/quote]
non mon général : « d’hier » !!!
la France ne survivra pas à 40ans d'[b]UMP$[/b]…
40 ans de vampires siphonant aux Caïmans.
Quant au Japon , il est comme le Titanic !
[quote]En guise de conclusion, voici ce qu’ un sondage « CSA » venant d’être publié le 03 juin 2013 a donné comme résultats :
« Oui, je pense que la France a des atouts pour sortir de la crise » arrive en première position avec 54 % des opinions.
« Non, je ne pense pas que la France a des atouts pour sortir de la crise » prend la deuxième place avec 42 % de pessimistes, tandis que les « sans opinion » sont à 4 % dans le suffrage.
[/quote]
En guise de conclusion dîtes-vous ?
Les statistiques ne sont pas plus une science qu’une preuve. Par définition elles illustrent uniquement l’idée à faire passer. C’est même pour ça qu’elles ont été inventées.
Les Français ne sont pas non plus majoritairement optimistes comme vous le laissez entendre. Si vous voulez bien considérer l’hémorragie des cerveaux et des jeunes diplômés français, c’est autrement plus inquiétant.
Quant aux sociétés holding que vous citez avec bonheur, elles ne rapportent rien à la France, si ce n’est un arrière-goût de notoriété, lequel ne nourrit pas.
Cerise sur le gâteau : leurs filiales lucratives ont été [b]externalisées[/b] par des Etats-major gloutons de dividendes juteux, qui jonglent avec les niches et opportunités fiscales créées sur mesure à leur attention par ceux qui détiennent l’Autorité. Ces holdings contournent ou ne paient pas d’impôts sur les sociétés en France, même si parallèlement, elles bénéficient de subventions colossales.
Donc…elles coûtent aux contribuables français mais aussi aux salariés français qui oeuvrent tout au long de l’année pour qu’elles excellent.
Petit détail : il ne vous a pas échappé que ceux qui détiennent le Pouvoir sont subordonnés à ceux qui détiennent l’Autorité.
Alors, essayez-vous de démonter qu’il n’y a aucune raison de ne pas rester optimiste en France ?
Ouille, je passais par ici, en « modératrice », et je vois que les commentaires vont bon train.
Bien sûr que nous avons des atouts(à ne pas gaspiller),
Malheureusement nous sommes en train de vendre notre patrimoine Immobilier, notre savoir faire, aux nouveaux riches que sont : la Chine, l’Inde, Dubaï, et les oligarques Russes.
Si ce « carnage sournois » continue, nous ne serons plus que des locataires sur notre belle terre de France.
Pour apaiser les « ardeurs » de certains (Peace and Love please)
{youtube}qkO7_rhhCbA{/youtube}
[quote]Malheureusement nous sommes en train de vendre notre patrimoine Immobilier, notre savoir faire, aux nouveaux riches que sont : la Chine, l’Inde, Dubaï, et les oligarques Russes.
Si ce « carnage sournois » continue, nous ne serons plus que des locataires sur notre belle terre de France. [/quote]
Et oui, la roue tourne, Sophy: la France (et l’Europe) ont dominé le monde, ont bâti leur richesse sur le dos des autres continents (main d’oeuvre et matières premières)…L’histoire nous apprend la modestie: il est normal et logique que des pays et des continents s’éveillent à la richesse et au développement. La vieille Europe vit trop sur son passé glorieux!
[quote]Pour apaiser les « ardeurs » de certains (Peace and Love please) [/quote]
Apaiser quoi? je trouve, à l’instar de Philippus que l’article de Redac Fab a le mérite d’attirer des réflexions plutôt intéressantes et un débat fructueux. Pour une fois où on ne parle pas peopoleries et imbécillités superficielles, je lis les commentaires avec intérêt, CA CHANGE!
[b]C’est exact chère siempre, nous avons régné sans partage et désormais nous allons apprendre non pas à partager mais à nous voir dépouillé de nos richesses parfois (souvent?) mal acquises, de même dans le futur, ceux qui nous auront dépouillés le seront à leur tour… la roue tourne et les civilisations meurent lentement mais sûrement comme la nôtre.[/b]
OH, « ma » siempre est de retour : chouette pour tout le monde :
Avant que vous n’arriviez, Siempre, une discussion assez houleuse avait pris tournure.
Je précise que cela ne concerne pas Philippus, mais un autre rédacteur. Je signale aussi que je n’ai pas lu le début de la discussion
[quote]la France (et l’Europe) a dominé le monde, elle a bâti sa richesse sur le dos des autres continents ! (?)[/quote] Ne vous réjouissez pas [b]siempre[/b] car, en effet l’Europe (comme la France) est un grand continent, qui a des ressources. Vous ne pourrez donc pas assister de sitôt à son déclin !
Merci [b]Rédac Fab[/b] pour cet article!
Oui, Sophy, il y a eu je pense des malentendus. Mais à la place de Redac fab, je serais fière d’avoir suscité un vrai dialogue comme nous en avions avant sous presque tous les articles…de la passion, de la discussion…J’AIME!
Oui, en fait, l’autre rédacteur c’était moi, et l’échange n’as pas été houleux, simplement, en effet, un malentendu entre subjectivité et objetivité qui n’a en rien fait avancer le débat, mais rien de plus…
Je profite au passage pour me rallier au commentaire de Anton qui apporte les détails de la contradiction entre interpréter et donner foi à un sondage et la réalité d’une situation, merci 😀
Et je me rappelle effectivement des longs fils de discussions dans bon nombre d’articles, des joutes manuscrites argumentées, des vrais débats, des coups de gueule parfois aussi…
OUI, Siempre, il va falloir que je fasse comprendre que la Liberté d’Expression est totale sur C4N, et comme vous le dites : les contractions argumentées, non insultantes donnent matière à des commentaires enrichissants.
J’en sais quelque chose, et croyez moi, Messieurs, ce fut parfois particulièrement « guerrier », ces commentaires.
J’ai tenu le coup, et j’ai adoré dans la mesure où je pouvais répliquer, en argumentant moi aussi.
Pour répondre à Anton, oui je trouve que 54 % est la majorité, vous ne trouvez pas? 61 % même du côté des Hommes. Ce n’est pas du 50/50. Bien entendu, résultats « d’un sondage » ne veut pas dire « opinion majoritaire » des Français… Mais ça, pas besoin d’avoir un diplôme pour le savoir.
Sinon merci à Quidam et Siempre pour vos encouragements, ainsi et Sophy pour leurs commentaires (« Peace and Love » Sophy, je vais essayer). Je reconnais tout de même que mon article aurait pu être plus approfondi, après l’avoir relu et avec du recul. Mais bon… personne n’est parfait, n’est – ce pas? Et moi le premier.
Fabrice, alias Redac Fab
La France a des atouts qui ont été limés
par l'[b]UMP$[/b] , le parti de l’étranger (américain),
depuis 40 ans ET PAR L’ABANDON DE SOUVERAINETE
AUX FRONTIERES PAR IDEOLOGIE MONDIALISTE.
si on ne se débarasse pas de cette rakaye,
de ces bandes organisées , la France deviendra
un pays de tourisme .
Déjà on décide pour nous à Bruxelles et l'[b]UMP$[/b]
promeut un gouvernement de fantoches soumis à
Bruxelles et à Washington.
Salut Fab, soyez rassuré, je ne vous attaque pas… je veux juste vous féliciter de vous rendre compte que votre article aurait pu être un peu plus approfondi, c’est là où je voulais en arriver avec ma critique.
Vous en aurez beaucoup d’autres, c’est cetain, non plus de ma part, pour ne plus vouloir jouer le méchant du film, mais vous devrez vous habituer, sachant que chaque fois, si vous les analysez correctement, elles devront vous permettre de vous améliorer. « Tout ce qui neme tue pas me rend plus fort »…
J’ai tenté de faire un commentaire court et concis pour ne pas vous ennuyer, mais surtout avec l’intention de vous encourager à faire en sorte qu’on fasse d’avantage une critique argumentée sur le fond plutôt que sur la forme.
Bonne continuation, Fab, cordialement.
Histoire d’approffondir non pas la cocorico français du tourisme et ni des fromages qui puent…:-))
Nous pourrions soulever justement que ces échanges que certains en ce moment critiquent sur le plan économique général par la crise fut et reste la base des ouvertures entre les hommes. C’est ainsi que depuis toujours la commerce, repris ensuite sous le terme d’économie permis l’ouverture et le rapprochement des cultures et des différences.
En cela l’économie (la vrie celle qui permet les échanges constructifs et le partage des savoirs des choses et des gains) reste depuis toujours une meilleure valeur pacifique que les visions de nos politiques ou des seuls visions financières de quelques uns qui pillent ce monde et son énergie humaine.
Ne pas avoir peur donc des autres en cette crise, c’est cela qui permet aux peuples de pouvoir mieux s’exprimer dans leurs compétences. Faitent sauter ainsi les nombreuses frontières et vous verrez que la crise n’est que par une volonté conservatrice localisée donc forcément mourante et vers un retour en arrière impossible.
Ne pas faire comme la Chine et la France Europe, leur histoire entre panneaux solaires et vins français ne fera que causer plus de tort aux ouvriers Chinois et aux exploitants vinicoles Français…
Pourquoi ne taxent-ils pas fortement les voyageurs, parce qu’ils consomment, donc arr^ter ces hympocrisies commerciales chaque pays y gagne par ses échanges économiques, les gens compétents n’ont rien à craindre sous un drapeau ou un autre…
PH
[quote][i]Pour répondre à Anton, oui je trouve que 54 % est la majorité, vous ne trouvez pas? 61 % même du côté des Hommes. Ce n’est pas du 50/50.[/i] [/quote]
Non, pas vraiment Rédac Fab.
Il est intéressant de connaître le chiffre précis d’individus interrogés, mais aussi celui de ceux qui ont répondu.
Ca relative tout de suite la portée des chiffres que vous citez. 54% certes, mais sur combien de sondés ?
En France nous sommes +/- 63 millions d’habitants. Si vous me pouvez me certifier que le sondage ou l’étude dont vous faites état a réellement porté sur la population totale, alors oui on peut considérer qu’une majorité s’est effectivement détachée. Mais ce n’est pas ce que je lis dans votre chronique.
En conséquence de quoi les pourcentages relevés restent tout relatifs. C’est sur ce point que j’attirais votre attention.
Bonjour Philippus – Les notions d' »économie », telle qu’on la traite aujourd’hui, à savoir telle une science, prend ses racines, en France, aux alentours de 1750, par l’apparition des physiocrates (Voncent de Gournay), lesquels, avec l’appui des encyclopédistes, ont élobré un théorème qui prétend que la seule « richesse » annuelle d’un pays provient uniquement de son agriculture.
Les physiocrates, sous Louis XV, lui même influencé par La Pompadour, sa favorite, on réussi à introduire la spéculation sur les prix du blé par une libération totale et incontrôlé de son commerce.
Auparavant, le Roi garantissait, par édit, la répartition équitable, à un prix raisonnable et quantités suffisantes du blé dans toutes les provinces de France. Le commerce du blé, intervenant uniquement sur les excédnts de production, était encadré par la loi et toute exagération de profit était traquée par la police, laquelle autrefois protégeait les intérêts du peuple, et puni par la loi jusqu’à la peine de mort.
Cette première tentative d’économie libérale a abouti à l’une des plus grands famines du royaume entre 1768 et 1773 et surtout, au renforcement des notions de propriété privée et l’apparition des grand propriétaires bourgeois. Les premières révoltes populaires liées aux famnes se sont caractérisées par les attaques armées des convois marchands par : les Femmes, excédées de ne pouvoir nourrir leurs familles.
Louis XV, vu l’ampleur du désastre, a de nouveau tenté de restreindre le commerce du blé et la spéculation sur son prix, ce qu’il obtint toutefois partiellement. Cependant, les marchands se voyaient retirer leur poule aux oeufs d’or etont commencé à répandre une propagande que les pauvres le resteraient, par la faute du roi qui interdisait l’enrichissement personnel par le commerce.
Contrairement à ce que l’on croit et l’on nous raconte dans les manuels d’histoire, la « révolution Française de 1789 » est le résultat de cette propagande bourgeoise auprès d’un peuple peu instruit et affamé. Le système a ensuite perduré, puisque sous la première république, l’assemblée n’était constituée que des représentants de la haute bourgeoisie, propriétaire, qui s’est placée dans l’hémicicle au « Centre Gauche », ancètre du parti socialiste tel que nous le connaissons.
Donc, la « crise économique » a une charge historique lourde, depuis plus de trois siècles, durant lesquels les « libertariens » n’ont fait que promouvoir l’idée de Voltaire que « le plus petit nombre doit vivre de la production du plus grand nombre, auquel il donne le travail et qu’il gouverne ». La doctrine se confirme encore aujourd’hui et le modèle économique s’est développé, depuis lors, sur cette base, combattue entre autres par Marx mais soutenue, entre autres aussi, par Fridman en début de 20ème siècle.
Bon, j’ai fait un raccourci drastique mais pour ensuite faire comprendre que le libéralisme ne peut reposer que sur la division des peuples et la main mise politique sur les nations par l’endettement (Chicago Boys, chili, Argentine, les premiers à tomber) et la création de régimes totalitaires soumis.
C’est l’université de Chicago qui a développé toutes ces stratégies économiques connues, avec l’apui du gouvernement des USA qui s’assurait ainsi le maintien de son niveau de vie par l’exploitation des autres.
Tout ce court résumé pour dire que, la peur de l’autre n’est pas naturelle, vous avez raison Philippus… Que la crise n’est pas économique, est est sociétale, et n’a rien de naturel non plus, comme on voudrait nous le faire croire, « grandeur et décadence » sont chaque fois plannifiées par des intérêts partiuliers au détriment de l’intérêt général, aussi loin qu’on puisse remonter dans l’histoire des civilisations. La seule issue à ce jour reste à bannir toute notion de pouvoir oligarchique et de corruption, ce qui n’est pas une mince affaire puisque l’outil politique est lui mème noyauté.
A un moment, je crois, de mémoire, que la bible dit que « Jésus a chassé les marchands du temple » (excusez mes lacunes je suis athée et agnostique…) et dans ce cas, ô combien il fut visionnaire !!! 😉
Bonjour Philippe
Petits rappels de l’histoire intéressants mais qui a commencer bien avant. les facteurs communs restent toujours l’argent et son moyen d’usure des uns sur les autres. Donc bien en rapport avec ce qui est en l’homme par son approche de pouvoir sur l’autre. (C’est la notion spirituelle qui libére de cela, mais pas encore aborder suffisamment par le genre humain qui confond encore esprit et religions…)
La société et les hommes ont vite vus que le plus fort était le dominant par la nature physique puis avec l’évolution cela s’est transformé sous diverses approches, politiques, pouvoirs, donc que le plus instruits disons avaient de meilleures prédisposations à avoir plus que l’autre à a en faire moins. Ce qui a toujours mis au dessus du panier dans nos sociétés les blousses banches au dessus des blouses bleues pour image… aujourd’hui celui qui gagnent plus ou qui acumule ne le fait plus sur son travail mais l’usure et le vol quasiment dans nos sociétés (financiers ou mafia, même vision)
Pourtant les 8 heures d’un boulanger ou d’un ouvrier sont aussi nécessaires que les 8 heures d’un ingénieur ou d’un architecte, la valeur est un jeu de dupes, même l’offre et la demande ne signifie plus rien sur nos marchés, ils maîtrisent et jouent avec le temps sur les matières premières mêmes vitales à tous…
Bref l’argent est le vecteur encore aujourd’hui qui permet depuis trés longtemps de gagner sur l’argent sans rien apporter de concrêt à la collectivité, donc bien de pomper l’énergie même du travail des autres. Une forme d’esclavagisme moins brutal et plus psychologique au point que les victimes ne s’en apperçoivent plus pour beaucoup suivant le mouvement de masse…
Jésus avait raison en chassant les marchands du temples, comme un cetains Mahomet qui dénonça fermement l’usure, nous le comprenons le pourquoi de plus en plus en notre époque…
Ph