La famille GNOKA, une famille de Poétesses à découvrir dans « Tendresse et Passion »

La dédicace organisée par les Editions l’Encre Bleue  le 14 Février 2013 à la Bibliothèque Nationale autour de l’œuvre intemporelle « Tendresse et Passion » magnifiant la fête de la Saint-Valentin, ne finira pas d’effacer de notre mémoire la symphonie littéraire entourant la famille GNOKA. Du papa, en passant par la mère jusqu’aux deux poétesses que sont Linda Gnoka  et Josiane Carole Gnoka, quelle symbiose ! Quelle grandeur d’esprit ! Quelle humilité devant  toute épreuve !  Pour mieux voir le talent de cette famille, il est bien de signaler que la Directrice de la Collection Bleu.Vert génitrice de cette anthologie, n’est rien d’autre que Madame Tataclé Clémentine, la mère des deux sœurs Linda et Josiane. Papa et maman, évidemment, ont transmis à leurs enfants le virus de la littérature et de l’écriture, constituant ainsi un équilibre entre leurs besoins psychiques et biologiques. Comment une telle famille renfermant de telles valeurs ne peut pas servir de repère à toutes ces familles où les enfants sont laissés à eux-mêmes ?

 

Pour Madame Tataclé Clémentine, il n’y a rien de tel que la culture et l’écriture. La plupart des grands de ce monde ont toujours été de bons lecteurs, ayant lu les auteurs de tous les horizons faisant siennes leurs connaissances monumentales. Au-delà de cela, ils ont cultivé en eux l’esprit de discernement et  d’intuition. Avoir la culture en soi garantit une vie qui s’adapte à toutes les situations, peu importent les saisons. L’homme qui fait de la lecture son passe-temps sait projeter son existence dans le futur, n’étant surpris par rien, sachant s’orienter sans la moindre boussole. Il n’y a qu’à lire la genèse de cette anthologie, pour voir sa profondeur, la profondeur des poèmes et des auteurs qui la composent, issus de tous les horizons.

Tout, semble-t-il, est parti d’une communication entre Charles Pemont, l’éditeur de cette œuvre et Madame Clémentine Tataclé via le groupe « Ecrivain, artistes et peintres  francophones»  qu’il avait créé sur Facebook. Un poème publié par cette dernière sur le réseau de Charles Pemont en a été le détonateur. Et depuis l’anthologie « Tendresse et Passion » montre fièrement sa silhouette dans les rayons des différentes librairies d’ici et d’ailleurs.

Pour mieux découvrir la famille Gnoka, nous allons vous faire lire quelques extraits des poèmes de Linda et Carole. Dans son poème « Ballet à cinq cœurs », la poétesse ne  dit-elle pas ceci : « Un grand voyage commence toujours par un premier pas… Ô voyage de cœurs unis dans un ballet incessant, mélange subtil de tendresse, de caresses, d’attention et de passion, invitation au rêve, qui laisse libre cours à l’expression des sentiments, pulsion qui vient du cœur, qui suffit à écrire l’histoire de deux êtres.[…] » ? Et Carole de renchérir par : « Et quand je pense à mon bien-aimé/ Je me sens pousser des ailes / J’ai envie de voler / Vers lui / et dans ses bras douillets / Atterrir de près / Avant de le couvrir / De câlins / De sourire / De rire / Et de baisers / Jusqu’à demain. », tiré du poème "Quand j’y pense".

Madame Tataclé Clémentine, en faisant de ses filles les lectrices de ses manuscrits, sans le savoir, était en train de leur communiquer sa passion pour l’écriture. Dans la lucarne qui lui est réservée à la page 117 de l’anthologie concernant le « Mot de la directrice de la collection », ces passages tirés au hasard « Pour elle, il est son unique Saint-Valentin, beau comme un Appolon parmi une myriade d’hommes. Un clin d’œil lui a suffi pour choisir son compagnon… Pour lui, elle est à la fois une flamme et une femme. Femme ou flamme, elle est unique, belle et magnifique. Flamme ou femme, au coin d’une rue, l’amour a jailli. […] » ne cessent de nous démontrer l’étendue de son talent.

A Madame Tataclé Clémentine, Linda et Carole, nous  ne pouvons que souhaiter un bel avenir littéraire sur le chemin menant à l’excellence, afin que le nom Gnoka résonne comme une trompette dans la sphère littéraire nationale et internationale.

                                                                                                        Constant Ory, écrivain.