Depuis l’avènement des nouvelles technologies, l’homme a toujours cherché à se perfectionner psychologiquement mais surtout physiquement. Mais ce que ceux qui ont inventé ces nouveautés n’ont pas pensé au départ c’est que l’invention de ces nouvelles technologies avait aussi sa part de mauvais côtés. Depuis quelques années, les opérations à buts esthétiques se sont multipliés ici en Amérique du nord, des personnes n’aimaient pas leur apparence extérieure, voulaient maigrir facilement ou désiraient une poitrine plus volumineuse.

Ce que les spécialistes n’avaient pas détecté à prime à bord c’est la détresse de certain d’entre eux et ainsi l’augmentation remarquable du suicide chez cet ensemble de personnes. Personnellement je crois que ces opérations devraient se limiter aux cas extrêmes, aux grands brûlés par exemples et ne soit désormais plus permis pour des questions d’apparence superficielle. Dans ce texte, je vous exposerai sur la nouvelle étude de l’université Laval qui porte sur le taux de suicide anormalement élevé des personnes qui ont subit une opération chirurgicale à but esthétique.

Tout d’abord, selon moi ces opérations esthétiques devraient se limiter aux personnes qui en ont vraiment besoin comme auparavant. Je crois que ce n’est pas normal que des personnes de soixante ans et plus puissent passer pour des personnes de moins de quarante-cinq. Cela est mon avis bien sûr, elle est discutable, mais parlons plutôt de faits très alarmants qui, vous pourrez le constater par vous même, peuvent appuyer mon point de vue. Selon une étude de l’Université Laval de Québec le taux de suicide chez les personnes qui ont subi une opération esthétique serait beaucoup plus élevé que chez la population en générale.

En effet, selon les chiffres de l’étude qui vise les femmes qui ont reçu des implants mammaires, le taux de suicide chez ce groupe serait près de 75% plus élevé que chez la population en générale. Selon les chercheurs cela serait dû en grande partie au manque de renseignements que les femmes consultent avant leur opération mais surtout aux motivations qui les poussent à subir de telles opérations. Ainsi, toujours selon l’étude, un très haut pourcentage de ces femmes se fait opérer croyant que c’est la meilleure solution à leur manque de confiance en elle-même. Par la suite, elles s’aperçoivent bien que cela n’a pas changé grand chose car elles n’ont pas attaqué le problème à la source en cherchant de l’aide auprès des psychologues, elles n’ont fait que le masquer en croyant ne plus y penser, car ce manque de confiance serait bien camouflé derrière leurs nouveaux attraits. C’est lorsque quelques années plus tard elles constatent que le problème est toujours aussi présent et même plus grave qu’avant leur intervention qu’elles voient la solution de se suicider car elles n’ont plus le courage d’affronter leurs problèmes.

Finalement, je crois qu’il serait grand temps que la société actuelle réagisse, que nous arrêtions de solutionner nos problème en les masquant car ce n’est pas que les femmes qui manque de confiance en elle qui se suicides de nos jours, vous n’avez qu’à regarder les taux de suicide de l’ensemble de la population pour le constater. Quand apprendrons-nous à faire face à la réalité? Il serait grand temps d’arrêter de chercher des problèmes chez nos voisins et d’affronter nos squelettes personnels. Par contre je ne blâme pas seulement la population pour ces chiffres plus qu’effrayant mais également nos dirigeants qui ne font rien pour désarmer cette fâcheuse position dans laquelle nous nous trouvons. Les gouvernements devraient cesser de jouer à l’autruche et exposer les vraies conséquences de ces opérations aux futurs patients et les médecins devraient d’avantages rechercher les raisons de se faire opérer de leur patients et si ces raisons ne sont que superficielle qu’ils refusent car cela ne[1] règle rien lorsque l’on opère le corps et que les vrais problèmes se trouvent dans la tête.