Le non-respect de l’accord conduirait à une « une désintégration du pays ».
L’ensemble de la communauté internationale a salué la signature de cet accord qui, selon le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, donne « l’espoir d’un retour à la stabilité démocratique » aux Kenyans. Les Etats-Unis, qui avaient menacé de sévir ceux qui bloquaient les négociations, ont aussi exprimé leur satisfaction devant ce qu’ils ont qualifié « d’avancée importante et positive » et assuré qu’ ils « surveilleront de près » son application. Pour le président Thabo Mbeki, « la signature de cet accord est un exemple remarquable de la manière dont les Africains eux-mêmes peuvent trouver un règlement pacifique à leurs problèmes politiques ».
Sur les antennes de la BBC, Raila Odinga, le leader du Mouvement démocratique Orange (ODM) a souligné que « cet accord n’est qu’un bout de papier, le plus important est la volonté (de faire la paix) ». S’il n’était pas appliqué, « ce serait extrêmement regrettable (…). La coalition éclaterait et cela mènerait, à mes yeux, à une désintégration du pays », a-t-il indiqué. Tout en affirmant qu’il avait « confiance que la période que (le Kenya) venait de traverser a été riche d’enseignements et que chacun (tentera) de faire en sorte que cette coalition marche et réussisse ».
Les violences post-électorales, qui ont dégénéré en conflit ethnique, ont causé la mort d’au moins 1500 personnes et déplacé environ 300 000 Kenyans.
Le non-respect de l’accord conduirait à une « une désintégration du pays ».
L’ensemble de la communauté internationale a salué la signature de cet accord qui, selon le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, donne « l’espoir d’un retour à la stabilité démocratique » aux Kenyans. Les Etats-Unis, qui avaient menacé de sévir ceux qui bloquaient les négociations, ont aussi exprimé leur satisfaction devant ce qu’ils ont qualifié « d’avancée importante et positive » et assuré qu’ ils « surveilleront de près » son application. Pour le président Thabo Mbeki, « la signature de cet accord est un exemple remarquable de la manière dont les Africains eux-mêmes peuvent trouver un règlement pacifique à leurs problèmes politiques ».
Sur les antennes de la BBC, Raila Odinga, le leader du Mouvement démocratique Orange (ODM) a souligné que « cet accord n’est qu’un bout de papier, le plus important est la volonté (de faire la paix) ». S’il n’était pas appliqué, « ce serait extrêmement regrettable (…). La coalition éclaterait et cela mènerait, à mes yeux, à une désintégration du pays », a-t-il indiqué. Tout en affirmant qu’il avait « confiance que la période que (le Kenya) venait de traverser a été riche d’enseignements et que chacun (tentera) de faire en sorte que cette coalition marche et réussisse ».
Les violences post-électorales, qui ont dégénéré en conflit ethnique, ont causé la mort d’au moins 1500 personnes et déplacé environ 300 000 Kenyans.
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