Ce mardi 4 décembre, sort l'ouvrage de Ségolène Royal intitulé "Ma plus belle histoire, c'est vous". À cette occasion, le quotidien Libération a publié à la veille de sa sortie quelques extraits.
Ce lundi, à la veille de sa sortie en librairie, le quotidien Libération a publié des extraits de l'ouvrage de Ségolène Royal, "Ma plus belle histoire, c'est vous". Un ouvrage qui avait été annoncé dès le mois de juillet, suivant ainsi une dizaine de livres ayant déjà été publiés sur la campagne électorale, que ce soit par ses partisans ou ses opposants.
"L'histoire continue, c'est-à-dire le combat. Je ne connais encore ni le lieu, ni la date, mais je sais qu'un jour, nous nous retrouverons. Je gagnerai un jour pour eux.", lance-t-elle à ses partisans. Ajoutant que s'il est une seule faute qu'elle puisse se reprocher, c'est de "n'avoir pu aligner au lendemain de l'investiture un nombre respectable de ténors socialistes sourire aux lèvres et fleur au fusil".
Aussi, Ségolène revient sur son appel à François Bayrou entre les deux tours. Elle raconte dans son ouvrage être allée à son encontre à son domicile parisien pour lui proposer d'être son Premier ministre, ce qu'elle voulait d'ailleurs pouvoir annoncer pendant son débat télévisé avec Nicolas Sarkozy. Elle ajoute qu'il aurait reculé "devant l'obstacle" : "Non, non ne montez pas, il y a du monde dans la rue", lui aurait-il dit au téléphone. Scène que dément le président du MoDem qui, lui, parle d'une proposition transmise par des intermédiaires.
Selon Libération, Ségolène s'en prendrait tour à tour aux ténors socialistes – Jospin qualifié d' "homme du déni majeur", les proches de Strauss-Khan accusés de "tours pendables" – et dénonce son propre camp pour le "cortège de coups bas et de petites phrases assassines."
Et afin de rester dans le domaine littéraire, l'ancienne candidate socialiste à l'Elysée a décidé d'attaquer en justice l'ouvrage de l'ancien ministre de l'Education, Claude Alègre, intitulé "La défaite en chantant". Un titre quelque peu révélateur de cette attaque …
de Royal…que le nom.
Dans ses rêves……………………..
Je l’aurais un jour… Je l’aurais!
Elle ferait mieux de faire actrice de cinema , au côté de Carole Bouquet !!! Photogeniquement ce serait mieux que politiquement !!!
Gagner quoi?Le trone de la France?
Bonsoir.Ouais,un bon coup de talon et vous remontez a la surface!!!C’est c’là oui.Clivage gauche droite depuis le temps que cela dure!!!LA Cinquième,c’est foutu.Quand je pense que le peuple croit encore faire valoir son opinion en se rendant aux urnes!!!Enfin cela s’appel la démocratie,j’vais me pieuter ça m’fatigue ce genre de cinoche,bonsoir,le peuple.
On prend les mêmes et on recommence.
Dans quatre ans Ségo Sarko et François.
J’espère que le facteur sera encore là parce que compte tenu des mécontents qui ne font plus confiance au PS, ceux qui n’aiment pas Sarko (et ça ne s’arrange pas) et ceux qui ne veulent pas ou plus voter FN par sanction, on risque de rigoler.
le problème
@réaction,constat : le problème ne vient pas d’un (imaginaire) clivage gauche-droite mais des guerres de chefs et d’ego.
La Vème République a été créée pour servir l’ego d’individus, pas pour garantir une quelconque démocratie (c’est probablement la moins démocratique des 5).
Maintenant l’enjeu est de sortir de ces guerres de chefs et remettre la question politique au centre du débat. Chose qui pourrait bien les emmerder…
@new reporter : pour le facteur c’est peu probable, mais il est fort probable que le NPA soit présent en force… Si la révolution n’a pas éclaté avant! 😉
Il est bien évident que lorsque je parle du facteur, je plaisante car je considère ses idées quasiment aussi dangereuses que celles d’un Le Pen (sans le racisme bien entendu.)
Il est toujours facile d’être aimé lorsqu’on est populiste et que l’on évolue dans la critique en promettant aux gens ce qu’ils veulent entendre ou ce qu’ils refusent de voir.