Euthanasie: une nouvelle demande de mourrir !

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Après le jeune Humbert et Chantal Sébire. C’est au tour d’une jeune femme de 31 ans de demander à choisir le moment de sa mort : Clara Blanc, souffrant d’une maladie incurable, qui la paralysera progressivement, avec des douleurs insurpotables au niveau des articulations.

Les douleurs iront en augmentant et les antalgiques ne feront plus effet. Son lot quotidien deviendra la souffrance et la dépendance.

Elle dit " je ne suis pas suicidaire, mais je ne sais pas jusqu’où je pourrai aller" et de rajouter " qu’on me laisse libre arbitre de ma mort".

 

Clara a écrit au Président Nicolas Sarkosy et au ministre de la santé Roselyne Bachelot. Elle demande même un référendum national sur le sujet.

 

Cette personne n’ayant plus d’espoir et connaissant son devenir, ne veut pas mourir dans d’atroces souffrances et dans la dépendance.

On peut le comprendre, seul les personnes en souffrance peuvent connaître ce que Clara et Chantal ont subit.

Comment peut-on se permettre de dire à une personne vous arrêtez le traitement, qu’est-ce que cela peut vouloir dire.

Arrêter le traitement c’est devenir fou de douleurs, alors ils peuvent aussi vous plongez dans un coma artificiel pour que la souffrance soit apaisée.

 

Mais la souffrance de l’âme qu’est-ce qu’ils en font, car non contents que ces personnes souffrent physiquement, ont doit les plonger dans un coma où elles ne souffriront plus certes, mais n’auront pas la possibilité de partir conscientes auprès des leurs.

Si cela ce n’est pas de l’inhumanité, alors dites-moi ce que c’est.

 

Etre malade ce n’est déjà pas drôle, souffrir l’est encore moins, s’il faut en plus partir seul plongé dans un coma, c’est la totale.

 

Et ces bonnes gens qui font les lois, qui n’ont jamais eux mêmes connu la souffrance physique d’une maladie, se permettent de donner des leçons sur la conduite à tenir pour le grand voyage.

Ils ne savent pas ce que c’est, de ne plus connaître la paix, la sérénité, de ne plus savoir ce que le bien-être sans souffrir veut dire, d’avoir oublié par trop de souffrance.

D’avoir les journées rythmées par la souffrance et que malgré cela, il faille faire face. 

 

Comment ces bonnes gens peuvent-ils prétendent que l’on a pas le droit de choisir le moment de sa mort.

Le débat sur l’euthanasie avec Clara redémarre, je pense que maintenant les malades en souffrance vont osez demander à choisir leur départ lorsque la souffrance fait de leur vie un enfer. 

 

Grace à ces femmes courages,  la maman du jeune Humbert, Chantal et Clara,une petite porte c’est ouverte.

Une petite porte donnant de l’espoir à tous ces malades

 

11 réflexions sur « Euthanasie: une nouvelle demande de mourrir ! »

  1. Bonjour Andréa,

    Je respecte vraiment ton avis, nous ne sommes pas d’accord sur ce sujet, mais je comprends qu’on puisse être pour…

    Au moment de partir nous sommes toujours seuls devant le plus grand mystère de la vie : la mort, et souvent avec l’autre grand mystère qu’est la souffrance, ces deux mystères si terrible.

    La vie n’est qu’un tout petit instant, très bref.

    Bien à toi

  2. Euthanasie, le mot à bannir
    Tant que le mot ‘Euthanasie’ ne sera pas banni du vocabulaire de ceux qui défendent la cause,les choses n’avanceront pat pas. SVP employez’ Le droit de mourir dans la dignité’.Le DROIT puisque nous parlons de texte de LOI.
    Quand à ceux qui disent qui ne sont pas daccord pour qu’une personne en phase terminale puisse mourir sans à avoir à souffrir jusqu’à la mort des douleurs physiques et psychologiques que celà entrainnent, n’ont jamais eu à subir ce genre de situation. Voir un de ses proches souffrir des mois jours et nuits, les paliatifs de soins n’arrivant plus à stabiliser le malade dans un état de confort, vous donnent même l’envie de passer le cap et de le délivrer par vous même.(avec toutes les conséquences tramatiques et juridiques que celà entrainnent)
    Les médecins ilégallement, donnent les doses médicamenteuses pour que le calvaire cesse, pour que le souffrant parte dans la dignité. Ce qui n’est pas le rôle du médecin.Voir des proches du malade le faire également parce la demande est tellement insupportable jours et nuits pendant des mois…Pourquoi laisser ceux qui aiment le patient, ceux qui l’entourent chaque jour d’amour , prendre cette décision?
    Laisser une personne mourir plongée dans un comas pendant des semaines, le voir dépérir petit à petit avec des soubressauts nerveux, la dégradation physique (insupportable)…
    Lorsqu’un mineur tombe dans le comas profond sans pouvoir en sortir, quand le système nerveux n’a plus d’activité cérébrale, son représentant légal peut demander à débrancher ‘les machines'(et par ailleur la demande vient généralement du corp médical..) et celà est aussitot fait, en ajoutant un produit qui lui donnera fin de vie dans la minute qui suit.
    Alors pourquoi un majeur sain d’esprit dont ses jours sont comptés dans la souffrance dont il n’y a plus aucun palier pour en définir le taux de douleur, qu’il n’y a plus aucune solution médicale, sinon respirer dans la souffrance et le jetter dans un comas profond. En tant que comas, pourquoi comme pour un mineur, le choix de partir aussitot ne peut pas être mis en place?
    Tout celà est hypocrisie.
    Laisser des médecins et les proches le faire est inhumain autant pour le malade que pour le patient.
    Des malades partent dans les pays, comme la Belgique pour mourir dans la dignité, c’est au fond ce que préfèrent les politiques.
    Et pour terminer…je ne parle même pas dela pression des religieux qui exercent un poid de voix sur nos chers politiciens…Pourtant nous sommes aux dernières nouvelles dans un pays laique…

    Et pur Baise, non, la mort n’est pas un Mystère ni la souffrance.
    Et à contrario de ton optique, nous ne sommes jamais seuls, enfin pour ceux qui sont entourés, commepour le droit à mouir dans la dignité.

    Tu dis que le vie est ‘ petit bout tres bref’? tu veux dire un ‘passage’ surement, alors pourquoi doit on la prolonger dans ce qu’il y a de plus horrible, la souffrance continue à perpétuité?

    Je sents ici encore un discours religieux qui me donne envie de ‘GUEULER’!

    Ce sont vos brebis comme Madame Chantal Sébire que vous pousser au suicide!!!
    Où étaient les représentants religieux dans cette terrible épreuve?
    ‘Ils débattaient au moyen le plus fort de donner voir imposer leur opinion, quand au refus de mourir dans la dignité’.

    C’est celà que réprésente ‘aimez vous les uns les autres’?

  3. Euthanasie, le mot à bannir (rctificatif)
    J’ai écrit ‘Et pur Baise’, je voulais ‘et pour Blaise’…
    dsl.

  4. Anna, ce n’est pas un mystère?

    Peux-tu alors STP me répondre : pourquoi vit-on? Pourquoi meurt-on? Pourquoi devons-nous souffrir?

    Partant la brebis Sébire voulait le suicide, pas de l’aide spirituelle, elle avait d’ailleurs refusé des soins auparavant. si des curés s’étaient pressés à son chevet, on aurait crié au prosélytisme.

    Aimez-vous les uns les autres, ne signifie pas tuez vous les uns les autres…

    Débat clos, je ne souhaite pas rentrer là-dedans, les partisans de « l’euthanasie » sont trop malhonnêtes…

  5. Très joli plaidoyer Andréa.

    A lire également l’interview de Clara Blanc sur LCI :
    http://tf1.lci.fr/infos/france/societe/0,,3803939,00-malade-elle-voudrait-choisir-heure-mort-.html
    Des paroles très touchantes qui ne peuvent pas laisser quelqu’un de « normal » insensible. On y voit bien que cette femme est parfaitement lucide sur son sort.

    Sa vision des choses est très juste : « Je ne parle pas de mort, je parle de fin de vie, c’est différent. Je parle de comment finir mes jours dignement. Quand je déciderai que c’en est trop, que j’ai vécu ce que j’avais à vivre, que j’ai fait ce que j’avais à faire, et que mon état ne sera plus en corrélation avec ce que j’estime de la vie, j’aimerais juste qu’on me permette de m’endormir tranquillement et de partir apaisée. Voilà, j’aimerais que ça soit possible et sans représailles pour les personnes qui font ce geste. »

    Il faut dire que lorsqu’on lit son quotidien, ça fait froid dans le dos : minerve, multiples attelles, multiples entorses et subluxations, douleurs chroniques, impossibilité à tenir une position, difficultés à dormir, et cela A VIE et en empirant. Dans un fauteuil électrique d’ici 5 ans et dans un lit ad vitam d’ici quelques années… Peut-on parler de « vie » dans ces cas là ?

    Franchement je ne fais même plus attention aux donneurs de leçons qui arrivent encore à prétendre qu’on peut les laisser comme ça et leur donner quelques dolipranes pour que ça aille mieux. Ils ne comprennent rien à la vie et prétendent dire à la place d’autrui s’il doit souffrir ou pas. Ce n’est même plus de la bêtise, c’est au delà…

    Elle dit aussi : « Que ces politiciens ou ces grands pontes de la médecine parlaient beaucoup sans connaître le sujet, c’est ce qui m’a motivée pour parler. » Ca rejoint parfaitement mon témoignage personnel sous un des mes articles précédents. J’y expliquais l’attitude réelle des « soignants » dans les hôpitaux, puisque je les fréquente très souvent. Les médecins n’ont rien à faire des souffrances d’autrui, ils ne voient que jamais les patients. Ils pensent tout régler en passant 5 secondes et en disant « c’est normal » ou « on vous donnera un cachet ». Ils sont hors des réalités.

    Elle a demandé au Président et à Bachelot un référendum sur le « suicide assisté » et sur le droit à « mourir dignement ». Chose qui sera sans doute refusée puisqu’on sait d’avance que le résultat sera un OUI franche et que le gouvernement s’y refuse pour l’instant. Mais ce qui est intéressant c’est que ces initiatives se multiplient et qu’on ne pourra pas éternellement les ignorer.

  6. Blaise
     » aimé vous les uns les autres, ne signifie pas tuez-vous les uns les autres…

    Même si je comprends les malades demandant le suicide assisté, je suis d’accord avec toi Blaise.

    Nous sommes sur terre pour vivre et non mourir lorsque l’heure réelle du départ n’est pas arrivée, nous sommes sur terre pour quelquefois souffrir et grandir.

    Mais, lorsque la souffrance devient insuportable, tous ces idéaux s’en vont on y pense plus, la souffrance éteind la vie.

    Enlever la vie à un être humain, n’est pas chose facile. Il faut pouvoir le faire, nous ne sommes pas là pour tuer les autres.

    Je pense que si cela devait m’arriver, je ne demandrais à personne de m’aider. Je prendrais mes responsabilités et le ferait moi-même, je ne me déchargerais pas sur quelqu’un qui pourrait souffrir toute sa vie d’avoir fait cet acte.

    Cela ne m’empêche pas de comprendre les malades qui font cette demande, mais avec une petite variante.
    Je pense qu’il serait mieux de donner ce médicament aux malades et qu’ils puissent ce l’injecter dans la perfusion eux-mêmes et cela en présence de leurs proches s’ils le désirent
    Où j’ai un problème dans l’euthanasie, c’est de demander à autrui de faire ce geste pour soi-même.
    Mais je pense que l’on doit autoriser ce médicament qui permet aux malades en souffrance extrême de choisir leur départ, en ayant une mort rapide, digne, en étant conscient et non plongé dans un coma artificiel.
    Mais je me répète en se l’injectant eux-même, poser la seringue sur la table de nuit du malade et le laisser choisir s’il veut ou non partir et à quel moment il veut le faire.

    Pour les malades qui ne peuvent pas le faire eux-même c’est un autre débat.

    Mais que l’on soit pour ou contre, je ne vois que de l’amour dans vos avis.

    Blaise me trouves-tu malhonnête?

  7. non Chère Andréa, je ne te trouve pas malhonnête du tout 🙂

    c’est ce discours un peu anti clérical que je trouve malhonnête, de même qu’il ne me semble pas honnête de revendiquer absolument l’euthanasie sans se demander avant si la souffrance ressentie ne peut pas être diminuée.

    Mais je comprends fort bien ton discours sur la souffrance. Quand elle devient intolérable, en finir n’est qu’un soulagement, et je suis aussi d’accord sur un point : ce n’est pas au médecin de faire le geste…

  8. Blaise
    BLAISE,
    Je me doutais que tu ne me trouvais pas malhonnête.
    Car je connais ta gentillesse.
    Je me rends compte, par rapport à ton dernier commentaire que nous sommes entièrement du même avis.
    C’est un débat difficile où de nombreux critères doivent être pris en considération, faire une loi sur ce sujet ne sera pas facile.
    Amicalement.
    Andréa.

  9. Le droit de disposer de notre vie est incompatible avec notre mentalité, nos conditionnements, notre Civilisation, notre Ere !
    Le droit de disposer de notre vie est incompatible avec notre mentalité, nos conditionnements, notre Civilisation, notre Ere !

    1)Au départ l’instinct de survie !
    C’est la prééminence du cerveau reptilien.
    (D’après les réactions des internautes, très peu connaissent vraiment le mode de fonctionnement du cerveau. Tant pis !)
    Puis au fil des ères, la complexification du monde vivant agissant, le cerveau mammalien puis le néocortex arrivèrent. (V. Internet pour obtenir des précisions)
    Le second cerveau (ou limbique) est analogique, s’occupe de la recherche du plaisir, se contente du renouvellement « positif » qui déclenche un effet de renforcement.
    Ainsi la répétition, l’attirance, les techniques rassurantes, le conformisme, l’obéissance, etc.
    Le néocortex, inversement, analyse, met en doute, critique, REFLECHIT !
    (Bien sûr, chaque action est le produit d’une combinaison de l’activation des trois parties du cerveau, selon des proportions très variables (la preuve, ici même !)

    2) Historiquement parlant, au Moyen-Âge, l’introduction où la mise en exergue de la « peur de l’enfer éternel » par l’Eglise contribua à renforcer les liens sociaux, à rendre « taillables et corvéables à merci » les serfs.
    Tout le système d’exploitation de l’homo sapiens par l’homo sapiens repose en partie sur cette croyance.
    Interrogée sur RMC sur l’affaire « Chantal Sébire » (Une femme formidable qui avait envie de mourir dignement tout en combattant pour le profit des autres), elle a affirmé être « scandalisée qu’on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu’elle souffre et qu’elle est difforme ». Que c’est bien dit quand cela va de soi ! Le moins qu’on puisse maintenant lui souhaiter, ne serait-ce pas qu’elle ait le privilège prochainement de passer aux travaux pratiques et expérimenter. Un psychologue lui serait attribué de manière qu’elle livrât au long des années ses sentiments et pensées.

    3) Pourquoi le changement pourrait-il se décréter subitement mais ne serait pas le produit d’un long processus ? Pourquoi se produirait-il dans la continuité selon la physique classique et non pas dans la discontinuité quantique ou du monde vivant ?

    Lorsque les pollutions tous azimuts altéreront, conjuguées à la précarité du travail, à l’insécurité générale (les services de santé, de protection et sécurité sociales, la Justice, le système carcéral, seront débordés, en faillite), remettront en cause l’intérêt de survivre, alors seulement nous réaliserons l’importance, voire la nécessité d’une qualité minimale acceptable … !

    Selon un effet boule de neige, les suicides ou les « pétages de plomb » meurtriers, parfois dévastateurs, désorganiseront les services de distribution, créeront des paniques, des agressions barbares, des famines ; anéantiront l’ensemble ou presque.

    Si on retenait l’exemple d’une régulation naturelle récente d’une espèce (les lapins et les lièvres), l’épidémie de la myxomatose épargna environ 10 % de la population qui s’en sortit immunisée.

    On peut imaginer que les survivants (masculin neutre) auront alors tout le loisir de méditer sur les nouvelles manières de respirer, c. à d. de se pencher sur les notions d’« homme », de « dignité », de « liberté », de « libre-arbitre », etc. !
    LE PREMIER DROIT DE L’HOMME « VRAI » SERA CELUI DE DISPOSER DE SA VIE …
    C. Q. F. D.

    4) Cette mise en perspective serait-elle pure fiction ?
    Peut-être pas si on se référait à un scénario scientifique.
    Une récente enquête on ne peut plus mathématique, statistique, sur l’évolution de nombreux animaux et végétaux à travers l’Histoire de la Terre, entreprise par des chercheurs de renom (Laurent Nottale, Jean Chaline, Pierre Grou) a révélé l’existence de schémas communs à de nombreuses espèces.
    Ils se sont contentés de conclure en émettant une simple hypothèse : si jamais nous empruntions les mêmes chemins que les organismes étudiés, nous devrions rencontrer un crise majeure, une remise en cause générale de nos modes de vie avant 2080. Cette théorie originale a été présentée avec succès en l’an 2000 dans l’ouvrage « Les arbres de l’évolution » édité chez Hachette Sciences-Littératures.

    5) A noter que si la mort avait été oubliée, il eût fallu l’établir en priorité … : seuls des écosystèmes peuvent perpétuer la vie dans un milieu fermé, le processus de complexification passe pas le renouvellement du matériel et non pas par des réparations et améliorations récurrentes, nous serions si nous étions immortels environ actuellement 80 milliards et plus d’après un calcul effectué …)

    L’idée : « Vous aimerez votre prochain comme vous- même. Il n’y aura aucun autre commandement plus grand que celui-ci » (Ev. s. st.-Marc ch. 12-3 NE SERAIT- ELLE PAS DE BON SENS ?

    Qui peut affirmer et surtout prouver qu’il respecte cette consigne ? !
    Attention ! Que faites-vous pour la moitié de l’humanité qui vit avec deux dollars par jour ? !
    Nicolas Hulot JDD 30/03/08
    « On ne peut pas admettre que 70% de la production de richesses dans le monde ne profite qu’à 20 à 30 % de la planète.
    Ce n’est même plus un problème moral. Tout simplement, ça ne passera pas.
    Imaginez: la moitié de l’humanité vit avec deux dollars par jour, ce que reçoit comme subvention une vache européenne.
    Il y a à l’échelle planétaire un apartheid qui ne dit pas son nom.
    Cela pouvait marcher tant que cela ne se voyait pas. Maintenant, avec les nouveaux moyens de communication, vous ajoutez à la misère un élément explosif qui est l’humiliation.
    La construction de l’Europe se doit de prendre cela en compte.
    Nous sommes condamnés à ce que les Etats interviennent.
    C’en est fini du libéralisme »

    COMME DIT … l’un d’entre nous, NUANCE ! S’aimer les uns les autres ne signifie pas se tuer les uns les autres ! ! ! Eh oui ! « Il ne faut pas prendre les enfants de Jésus pour des canards sauvages ! »

    Si celui-ci n’a toujours pas compris son hypocrisie ou plus, voici quelques autres morceaux :

    Ch.18-22 Ev. s. st.-Luc « ….il vous manque encore quelque chose ; Vendez tout ce que vous avez ; et le distribuez aux pauvres, et vous aurez un trésor dans le ciel ; puis venez et me suivez »

    Ev. s. st.-Luc ch. 6-24 “Mais malheur à vous, riches, parce que vous avez votre consolation dans ce monde »
    Ch. 6-25 « Malheur à vous qui êtes rassasiés, parce que vous aurez faim !
    Malheur à vous qui maintenant riez, parce que vous serez réduits aux pleurs et aux larmes »
    ETC !

  10. C’est un sujet bien compliqué car il n’y a guère de compromis possible.

    Moi je suis pour mais je suis relativement jeune et en bonne santé, c’est facile.

    Ce qui me gène dans l’euthanasie, c’est que si elle est mise en place et officialisée un jour, des personnes de par leur métier risque de se retrouver obligées de participer à cet acte alors que cela va à l’encontre de leur conviction.

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