La substitution de l’euro au franc, en janvier 2002, n’a pas signifié que le changement de billets et de pièces. Il marque un changement radical en changeant l’unité de compte, que tous nos concitoyens avaient l’habitude d’utiliser.

L’euro fort, préconisé par la BCE est une grave erreur. L’obstination de pratiquer la stratégie de l’inflation la plus basse est tout simplement consternant…

Je ne suis pas docteur es économie, mon cher Dominique, mais je peux constater la gravité de cette obstination. Pourquoi ne pas percevoir l’échec de cette stratégie.

L’objectif de la BCE est faux. Les approches réalisées sur des hypopthèses réalistes concluent que la recherche de l’inflation la plus basse est une trés grave erreur.

Les économies ont un taux d’inflation qui correspond à leurs structures productives, financières, et sociales. En cherchant à vouloir se situer en-dessous on ne peut que causer des dommages directes à l’économie et incidement à la société. Pourquoi ne pas inclure la croissance ? Pourquoi écarter les éléments de politique structurelle ?

Une manière dissumulée de laisser libre champ aux spéculateurs ?

Je vous recommande la lecture de l’économiste, Jacques Sapir, dont la réputation n’est plus à faire, qui préconise à un retour vers le franc…

Le passage à l’euro a traumatisé une partie de nos concitoyens. Le panier de la ménagère s’est allégé considérablement. Les griefs contre la monnaie unique sont légions. Mon opinion rejoint celle de beaucoup de ses détracteurs, l’euro n’aurait du qu’être une monnaie de transaction. Comment oser dire que le passage à l’euro n’a pas eu une incidence sur la flambée des prix, sans contrepartie salariale équivalente …

Globalement, le doute n’est pas permis, il faut militer pour un retour du franc. Ratifié à une trés faible majorité, par le peuple français…

IL FAUT SORTIR DE L’EURO…