Ayant donné mon opinion cette semaine au sujet de l’adoption des enfants par les couples homosexuels, des gens (visiblement homosexuels) m’ont traité de tous les noms d’oiseaux. D’autres sont allés plus en loin, en me lançant des propos que l’on ne saurait tolérer. Sans toutefois céder à cette provocation purement fanatique, j’invite ces personnes à un peu plus de retenue. Car ce que nous donnons ici ne sont le plus souvent que nos opinions personnelles qui n’ont rien à voir avec ce que pensent les autres. Aussi, avant de s’abattre sur la tête d’un reporter, il faut prendre le temps de consulter son profil, afin de mieux le comprendre. Je tiens donc à rappeler ici que je viens d’une région du monde où presque à l’unanimité, les populations considèrent l’homosexualité comme une pratique contre-nature et même diabolique. Elle est d’ailleurs très sévèrement punie par nos lois.  

Sans toutefois me désolidariser de nos valeurs traditionnelles africaines, j’ai toujours pensé pour ma part  que l’orientation sexuelle d’un individu fait partie de sa vie privé, et ne devrait le rester. Mais, afin de protéger notre jeune génération des pratiques sexuelles à risque, il devient obligatoire pour nous autres d’attirer l’attention de celle-ci sur les risques liés à la sexualité hasardeuse.

Ainsi, en faisant le tour de nombreux sites internet consacrés aux questions sexuelles, j’ai découvert des choses qui m’ont vraiment inquiété !

En effet, dans un article  publié sur  LifeSite par Kathleen Melonakos, infirmière agréée aux Etats-Unis,  le risque de cancer anal exploserait  parmi ceux qui pratiquent la sodomie. L’étude évalue d’ailleurs l’augmentation du risque à 400 %.

Une revue américaine  de psychiatrie révèle pour sa part que 30 % des jeunes hommes homosexuels de 20 ans seront séropositifs ou morts à l’âge de 30 ans ! Tandis que les spécialistes indiquent que la pénétration anale par un homme infecté par le VIH est la pratique sexuelle qui comporte le plus haut risque de transmission du VIH (risque 5 fois plus important).

Pire encore ; contrairement à ce que peuvent penser certaines personnes, les femmes ne sont pas épargnées. Des études toutes aussi poussées nous révèlent que  « Plus de 90 % des femmes ayant des rapports avec des femmes ont aussi des rapports sexuels avec des hommes.   Dans une enquête américaine, seules 0,3 % des femmes homosexuelles avaient exclusivement des rapports avec des femmes. Alors, c’est dans le cadre des rapports hétérosexuels que les femmes homosexuelles courent des risques et elles en prennent plus que les autres :
– Elles ont des partenaires sexuels plus nombreux, ce qui augmente le risque.
– Elles pratiquent plus la sodomie (pratique à haut risque sans préservatif),
– Leur partenaire masculin est plus souvent à risque que celui des femmes hétérosexuelles (c’est-à-dire plus souvent séropositif, utilisateur de drogues intraveineuses, ou bisexuel)
– Elles ont plus souvent des rapports sexuels en échange d’argent ou de drogue (facteur de risque du sida) 
»

Sur le plan conjugal, l’on nous apprend que les couples homosexuels sont de loin les plus violents au monde. Une Etude Statistique du Canada indique par exemple qu’au cours de l’année 2004, 15% des gays et des lesbiennes ont été victimes de violences conjugales contre 7% des hétéros.

Au vu de ce qui précède, l’on se rend donc compte que l’amour que tentent de nous miroiter les couples homosexuels n’est qu’une leurre. Ainsi, les gouvernants de chaque pays devraient prendre en compte ces différents facteurs, avant de procéder à une légalisation de l’homosexualité.

Sources

http://www.tasante.com/article/

http://www.amouretsexualite.com

http://reloaded.e-llico.com/