Profitez-en, ce n’est pas souvent et ça ne concerne ni Chouchou, ni son gouvernement, ni les "je place mes potes"…
Non, non. J’ai, sur cette honorable feuille de chou (que, par ailleurs, je respecte car elle le vaut bien, mieux que Le Post (faut pas cafter, moi, j’ai toujours cafté – quand ça m’arrange -, ainsi, je vais cafter la Sécu à son ministre de tutelle, passe qu’y commencent à m’agassouiller), un solde créditeur de 6 euros au 31octobre !
Franchement, c’est la première fois dans ma loooooongue (en voulez-vous encore ?) carrière qu’ écrire pour m’amuser me rapporte 4 fifrelins, même 6… LE BONHEUR !. J’hésite… J’en fais don à Giulia (son père n’arrivera peut-être pas à lui verser sa pension jusqu’à la fin), ou bien à la Grèce, à moins que : "Rome, unique objet de mes désirs…" (bah, quoi, on n’aurait plus le droit de détourner une citation ?) m’appelle pour une dernière petite visite aux beaux jours, ou bien Venise (sans soupirs, wharf) – té si vous ne connaissez pas l’histoire des "soupirs", dites, je vous raconterai ou encore Florence et ses merveilleuses piazette et ses doulces collines (la, la) ? J’hésite.
Avec euromillions, je pourrais jouer à la semeuse (la "je sème à tous vents" du Larousse ; qui devrait cultiver la définition davantage que le synonyme) et garder des pépettes pour les îles grecques, la felouque égyptienne (z’ont l’air calmés) et quelques placements judicieux que ne manquerait pas de me souffler, au creux de mon oreille genre coquille de nacre (on ne tousse pas…), la fifille Bettencourt, faire des folies avec tous nos potes, sans oublier les Médecins sans frontières ou du monde, les mouvements pacifistes a – religieux (z’ont qu’à taper leurs ouailles), le Secours populaire et autres organisations laïcardes qui, jusqu’ici ont vraiment fait de l’excellent travail.
Je crois que j’avais choisi "Médecins sans Frontières", pour reverser mes z’hypothétiques gains et ainsi, ne pas disperser les efforts de la famille, mais je ne sais plus du tout.
Avez-vous remarqué les dernières photos de notre Flanby, dit également (Fabius, je crois) "Fraise – des – bois" (pour qui je voterai dès le premier tour, premier acte de discipline non consentie de ma vie) ? Il a repris un peu de rondeurs dans les joues. Il m’avait fait peur, je l’ai vu anorexique, sérieux, bientôt plus "droit dans ses bottes" que celui de Bordeaux. Je le préfère un peu enveloppé, avec des bonnes joues qui fleurent bon le "bon – vivant" que maigre comme un fil de fer : on lui en donnerait ses 6 euros pour un bon sandwich et une bonne bière… (J’ai mis du "bon – bonne" partout, c’est, de ma part, acte de conciliation).
Une autre, tordante, mais alors super tordante, qui doit faire exploser de rire les (bons) économistes et observateurs financiers, c’est la décision du Premier ministre grec. Il se fait piétiner par les autres gouvernants européens qui le traitent de nullard et de menteur (devraient ajouter "pathologique", ce serait plus gentil), toute la population grecque lui flanque le bazar dans les rues, bien déterminée à continuer à vivre au-dessus de ses moyens (comme nous tous en Europe, la faute à qui ?), à ne pas payer d’impôts ou le moins possible. Bref, il n’en peut plus, le Prem. Il faut faire attention avec les gens du Sud : pires que l’âne et son coup de pied (vous ne la connaissez pas ?) . Alors, il annonce un référendum pour savoir si les Grecs sont d’accord avec les engagements que lui demande l’Europe, plus particulièrement, sarkmerkozyel (oui, je sais, ça pourrait sembler un peu bâtard, comme nom. Jef, pas de commentaire, je te prie, ce n’est pas attaquable) – et là, il les flanque dans une panade plus gluante qu’un pot de vrai miel (envoyez les grosses mouches). "Ah, vous me votez des enveloppes budgétaires et je ne vois rien venir ?" "Ah, vous me croyez jobard ? mais à jobard, jobard et demi)" et c’est ainsi que le "Papa…" risque d’entraîner l’Europe dans une mouise sans nom, genre : tout le monde en faillite, "je n’irai pas voir Charon tout seul, na." Les deux, ils en sont restés sur leurs fondements respectifs et "Sader, ça adhère". Convoqué par notre couple de régents de l’Europe (se la jouent) pour la veille du G 20, le Georges va se prendre une avoinée de premier ordre. Le but de sa manoeuvre me semble un peu sud – américain. Il y a un gros bail maintenant, les occidentaux avaient prêté plein de millions à divers États d’Amérique Latine qui crevaient la "gueule ouverte" (expression christique, d’où l’hostie, le pain azim, etc.). Ces braves gouvernements se sont un jour aperçu qu’en payant les intérêts du capital prêté, ils avaient payé l’équivalent de trois voire quatre fois le montant dudit capital. Pas contents, ils ont alors déclaré "on a assez payé, on ne paie plus." ET ILS L’ONT FAIT… Si les Grecs – certes, le bruit court qu’ils ont faussé leur bilan pour obtenir de faire partie de la zone euro – : bandits grecs ! (ça change des Corses). Ce qui est très drôle quand on essaie de comprendre comment est ficelée la Loi des Finances tous les ans, ici (ne regardons pudiquement pas chez les autres, puisque c’est la même chose). Cette année 2012, les ficelles seront obligatoirement très grosses car il va falloir bien maquiller l’horrible vérité : la France est en faillite… On envisage même de réaugmenter la TVA dans les restaurants (les infos positives…). Mais cela ne sera pas : une veille d’élections ! Après, après… Z’allez voir, si vous votez pour Chouchou…
Moâ, j’ai une proposition très positive et très sérieuse à vous faire. Étant donné que les agences de notation internationales font n’importe quoi avec leurs notations (triple A, t’as déjà eu un triple A à l’Éd. Nat. ?), je propose une agence internationale de notation SOCIALE. Je n’avais, jusqu’ici, qu’indifférence pour le fric, lui demandant de m’apporter ce dont j’ai besoin – et je ne roule pas en Bentley (sauf celle d’autrui) mais le "fric" avec notre Chouchou trop avide de deniers commence à me sortir par tous les pores de la peau.
Aujourd’hui, si les populations ne disent pas : "assez joué, vous vous êtes bien marré sur notre laine ; maintenant, on va être sérieux et prendre les choses en mains", on s’enfonce dans la cata et le Petit nous fait le coup de Varennes. Sinon, que feront les gens de l’or qu’ils ont acheté, stocké ? Un lingot contre deux baguettes ? Ça suffit.
L’économie basée sur la société, sur les besoins sociaux de la population, sur les fruits de nos inventions, de notre technique (vous ne me ferez pas dire "technologie", je ne sais pas ce que peut être "un discours sur la technique". Encore un anglicisme) est, on le sait, créatrice d’emplois. Des emplois qui génèrent des salaires, des emplois appelés par les changements sociaux et de société (tout le monde ne s’appelle pas Carla Bruni, encore qu’elle a, aussi, gagné de l’argent). Des salaires qui génèrent des dépenses, des achats, des taxes, des impôts (arrête de loucher, Chouchou, tu ne peux pas comprendre, tu te prends pour le probloc’ de la France), etc.
Et il y en a du travail à vocation plus "sociale". On peut supprimer beaucoup d’intermédiaires qui ne sont rentables pour personne, on peut supprimer, dans beaucoup de domaines un actionnariat stérile, puisque lorsqu’ils sont au bord du gouffre, c’est l’État qui banque (c’est à dire, nous tous, sans en revoir la couleur) et les dividendes de ses M’sieurs-Dames sont payés. Et, autre chose, pour l’assainissement de nos villes. On peut supprimer beaucoup de ces emballages qui encombrent nos poubelles. Tenez, à ce propos (ringarde, je l’ai fait), la prochaine fois que vous allez faire les "grosses" commissions (pas de fou rire) au "super" ou à "l’hyper", après passage à la caisse et avant de remettre vos achats dans ce fichu caddie dont la contenance est toujours faible, calmement, vous déballez tous les produits qui n’ont pas besoin d’emballage (publicitaire) , que vous vous énerverez à stocker dans votre poubelle (et la jaune, s’il vous plaît). Ces emballages, vous les laissez sur le comptoir de la caisse ou bien vous les mettez sous le comptoir. Et vous entraînez, à force (toujours sourire), une contagion de clientèle qui va entraîner un énervement énaurme des caissières, qui vont finir par dire son fait au directeur, qui fera remonter à sa direction régionale puis à la direction générale, j’en passe… Et ne me dites pas que vous allez priver des employés de boulot. Tout ça, c’est traité par des chaînes, avec un z’humain tous les trois kilomètres. Et, qui sait, pour avoir la paix, peut-être engageront-ils du personnel supplémentaire pour dégager vos emballages ?
"Positivez !" disait le chef de rang chez Mac Do’…
Allons, j’en ai encore trois ou quatre besaces, l’actualité va trop vite, elle est trop riche, en ce moment.
Mesdames, mes soeurs, procurez-vous des voiles avant que leurs prix grimpent et qu’ils soient hors de prix. La Charia s’étend. Indépendamment de la charia, il faut penser aux caméras de surveillance qui nous font des têtes a-bo-mi-na-bles (c’est Halloween dès le pied à l’extérieur). Refusons. Pour ma part, j’achète deux voiles noirs, genre veuve du XIX e siècle, tenus par des bibis marrants : faut adapter. Deux, ça devrait suffire, y’a le jeu, quand on lave.
Le dernier motif de rire m’a été fourni par vous tous qui vous êtes tant occupés du K Banon (la Tristane). Plus le temps a passé, plus le ton a monté et les injures ont fleuri. Je ne m’attendais pas à lire de quelqu’un "qu’il – ou elle – devait enlever la merde qu’il a dans les yeux." Olé ! Ami(e), c’est du vocabulaire de "Post", ça.
On peut présager que la frêle greluche pourra (peut-être) vivre de sa plume un certain temps (et non des subsides maternels), espérer qu’elle apprendra le judo, et que vous allez arrêter de nous bassiner avec cette petite (…censuré…), parce que la déesse : y’en a marre !
Sur ce, demain est jour de travail, il est minuit, fermons donc cette page. Mon amitié accompagne vos rêves, je suis la bonne fée qui a veillé pour vous et qui va dormir (ça y est, j’ai fondu un plomb, c’est courant).