Dans la politique, comme au football, en passant par la littérature pour aboutir à la musique, chaque domaine d’activité a un homme ou une femme de repère. Chacun de nous, selon ce qu’il veut faire comme activité ou pratique déjà, s’appuie toujours sur l’histoire de celui qui excelle en cette matière pour évoluer. En Côte d’Ivoire, il y a un excellent spécialiste du ballon rond mondial qui n’y était pas connu auparavant et qui, à force de travail, de persévérance, d’esprit de solidarité dans ce jeu, d’humilité, est parvenu à y être une référence, en la personne de Didier Drogba, le footballeur de l’équipe anglaise de Chelsea. Toujours omniprésent sur le terrain, capitaine courageux, il amène toujours ses coéquipiers à donner le meilleur d’eux-mêmes jusqu’au coup de sifflet final de l’arbitre, dans n’importe quel match auquel il prend part.
Footballeur à la silhouette filiforme, sa coiffure se mariant avec son statut d’artiste particulier, il est toujours à l’affût d’une petite erreur défensive des défenseurs de l’équipe adverse ou de son gardien, pour catapulter le ballon au fond des filets sous le hourra de ses nombreux admirateurs de par le monde. Un coup franc doit-il être shooté ? Didier Drogba, se met dans la position qui lui sied le mieux, il shoote la balle par-dessus le rideau défensif adverse qui, empruntant l’angle droit du poteau, surprend imparablement le gardien. Quel but d’anthologie !