Même si
Selon cette étude menée auprès de 570 voyageurs interrogés sur près de 90 lignes différentes du réseau ferroviaire, font de nombreux griefs aussi bien à l’encontre de la politique des prix pratiquée, qu’au niveau des retards, des perturbations et des indemnisations.
Plus de 85 % des usagers sondés trouvent les prix des billets trop chers et pensent que la bonne décision à prendre pour
Si l’on fait des comparaisons dans le temps, on peut constater qu’en 7 ans le prix moyen du kilomètre a augmenté de plus de 26 %, ce qui reste considérable si on compare cette augmentation au niveau de l’inflation.
De plus, au travers de cette enquête, ils relèvent un manque de transparence et de complexité de la grille tarifaire et cela en raison des différentes offres proposées.
Selon que l’on bénéficie des Prem’s, des Bons plans du Net, de Loisir, de Pro, de Prêt à partir ou d’iDTGV, ou bien des différentes cartes de réduction, on peut voir qu’il y a plus de vingt tarifs différents pour un même trajet. Comment est-il possible de s’y retrouver ?
Si l’on ajoute à cela les mécontentements des usagers en ce qui concerne les retards quotidiens, l’absence de confort des certains trains, le manque d’information en cas d’incidents techniques ou en matière de grève, seulement 25 % des personnes interrogées paraissent globalement satisfaites des services de
Enfin, la plupart des usagers considèrent que les indemnisations proposées par
Espérons que
Il est vrai que concernant les retards…ils ont l’air de cumuler le nombre, de plus en plus.
Ensuite concernant le prix, soyons honnêtes ils ont subit aussi le passage à l’euro, mais reste encore abordable (pour l’instant). Il faut aussi prendre en compte que prendre le train reduit le facteur de risque notamment au niveau des accidents, des amendes pour axcès de vitesse…:D
De même j’ai aussi l’impression que la SNCF rajeunit petit a petit ses gares et cela représente un cout. ne serait-ce que l’accessibilité aux malvoyants et aux personnes à mobilité réduite.
La dessus, je pense qu’on peut leur tirer un coup de chapeau quand même, parceque heureusement on voit de plus en plus de malvoyants fréquenter les gares, et cela permet de les insérer dans la société et développer leur autonomie, là la SNCF a rempli une partie de ses engagements.
En toute chose il y a du bon et du mauvais malheureusement.
Julien,
Je préfèrerais des trains à l’heure et des billets moins chers, quitte à avoir un peu moins de rénovations, dont l’utilité, reconnaissez-le, n’est qu’esthétique.
Les investissements pour handicapés doivent être faits au fur et à mesure lorsque des travaux sont prévus pour autre chose, pas à l’approche des élections. De plus, je me demande si un personnel adapté ne serait pas économiquement plus viable (pour la société, bien sûr, pas pour les parasites qui facturent les travaux).
D’un autre côté, je me souviens avoir assisté, il y a quelques années, à des scènes plutôt étranges : des grèvistes de la SCNF qui assuraient tout de même le service se faire enguirlander par les éternels imbéciles qui vociféraient que, quand la SNCF serait privatisée, tout irait mieux.
Je me demande ce que ces mêmes visionnaires pensent des bienfaits de la privatisation…
Toujours est-il que ça me fait rire de les imaginer prendre la flotte sur les quais.
On est sorti de la logique de service publique pour entrer dans une logique d’entreprise, de rentabilité à court terme, de pognon pour les actionnaires.
Il ne faut donc pas s’étonner de la tournure des évènements. L’objectif est de ramasser un maximum d’argent en un minimum de temps. Qu’est-ce qu’on en a à faire que vous trouviez le train trop cher ou que vous ralliez parce qu’il n’est pas à l’heure ?
Les banlieusards n’ont de toute façon pas le choix. On peut doubler le prix du ticket, ils l’achèteront quand-même. Pourquoi se priver ?
Il est des données dont il faudrait tenir compte, loin de moi l’idée de défendre la SNCF. Les problèmes viennent essentiellement des grandes villes et surtout de Paris. 1- Les trains vont de plus en plus vite, donc maintenance accrue. 2- Les gens viennent de plus en plus loin, donc statistiquement plus de matériel à entretenir. 3- Vu le nombre à transporter, il faut des rames plus nombreuses et les écarts entre les trains sont moindres. La SNCF d’Etat n’a pas pris le tournant au bon moment. Encore faut-il savoir si elle le pouvait, car le rail ne se triple pas comme une route.
Pensons bien qu’en 1968, pendant les grèves, les infirmières allaient à leur hôpital parisien car elles habitaient souvent autour. Pendant les grèves de 95, beaucoup manquèrent à leur poste et aujourd’hui elles habitent à plus d’une heure de transport de leur lieu de travail. Elles doivent toutes passer par la RATP, SNCF, RER. Ça remplit les wagons! Pour les profs des bahuts parisiens, c’est pareil. On est arrivé à saturation. Les grèves contre lesquelles tout le monde râle font moins de 5% des problèmes. Le reste c’est la surcharge du réseau qu’on essaye en plus de rendre rentable comme si ce service public devait avoir les ratios du privé.
j’ai vu une video de jeunes UMP completement déjantés
et alcoolisés qui tapaient sur la SNCF …
DE VIEILLES RANCOEURS D’AVANT LE RIDEAU DE FER !!!!!!!!!