Avec le taux de chômage qu’on connaît dans le pays et le problème que cela constitue d’après le discours officiel lui-même qui en fait le premier défit dont le pays est amenée à confrontée dans le prochaines années parler de recours à la main d’?uvre asiatique semblerait invraisemblable aujourd’hui d’autant plus que la législation de travail l’interdit. Pourtant il existe bel et bien des entreprises en Tunisie qui importent directement leurs ouvriers de l’Asie.
Des indiens, pakistanais ou bengalais sont employés en dessous du Smig à plus de 10 heures par journée en Tunisie cela ne peut pas se cacher indéfiniment. Logés dans des pensions discrets ou il n’y rentre que pour une demi heure de cantine ou pour se coucher. Tenus discrètement à l’écart de tout contact avec la population.
Le plus intéressant dans l’affaire est que cela se passe dans l’une des régions les moins développées dans le pays et dont l’histoire et le présent fait d’elle un bastion du syndicalisme tunisien, aux îles de Kerkennah d’où les principaux dirigeants syndicaux historique et contemporains sont issu. Ainsi une société internationale dont le domaine d’action se limite exclusivement aux activités de constructions industrielles obtient comme par miracle en plus la licence de prospection pétrolière du champs qu’elle préparait les installations d’exploitation et en bonus le droit de se passer outre la législation du travail en recrutant même ses ouvrier à l’étranger.
Juste « pour quelques dollars de plus » peut-on penser ? ou la magouille à besoin d’un tel schéma d’exploitation pour ne pas attirer l’attention. En tout cas, on ne peut pas imaginer ce que les pistons peuvent ouvrir comme facilités surtout quand on les implique directement dans le gâteau à partager ?
TUNISIA Watch – 23 Mars 2007
Avec le taux de chômage qu’on connaît dans le pays et le problème que cela constitue d’après le discours officiel lui-même qui en fait le premier défit dont le pays est amenée à confrontée dans le prochaines années parler de recours à la main d’?uvre asiatique semblerait invraisemblable aujourd’hui d’autant plus que la législation de travail l’interdit. Pourtant il existe bel et bien des entreprises en Tunisie qui importent directement leurs ouvriers de l’Asie.
Des indiens, pakistanais ou bengalais sont employés en dessous du Smig à plus de 10 heures par journée en Tunisie cela ne peut pas se cacher indéfiniment. Logés dans des pensions discrets ou il n’y rentre que pour une demi heure de cantine ou pour se coucher. Tenus discrètement à l’écart de tout contact avec la population.
Le plus intéressant dans l’affaire est que cela se passe dans l’une des régions les moins développées dans le pays et dont l’histoire et le présent fait d’elle un bastion du syndicalisme tunisien, aux îles de Kerkennah d’où les principaux dirigeants syndicaux historique et contemporains sont issu. Ainsi une société internationale dont le domaine d’action se limite exclusivement aux activités de constructions industrielles obtient comme par miracle en plus la licence de prospection pétrolière du champs qu’elle préparait les installations d’exploitation et en bonus le droit de se passer outre la législation du travail en recrutant même ses ouvrier à l’étranger.
Juste « pour quelques dollars de plus » peut-on penser ? ou la magouille à besoin d’un tel schéma d’exploitation pour ne pas attirer l’attention. En tout cas, on ne peut pas imaginer ce que les pistons peuvent ouvrir comme facilités surtout quand on les implique directement dans le gâteau à partager ?
TUNISIA Watch – 23 Mars 2007