David Martinon prié de ne plus paraître à côté de sa seigneurie Sarkozy !

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"Tu ne fais plus partie du dispositif".

Le quotidien "Le Monde" nous livre cette information. Vendredi dernier, lors d'une réunion du Conseil européen, à Bruxelles, le chef de l'Etat a limogé David Martinon. Le protégé de Cécilia s'est vu dans l'obligation de ne plus paraître sur les images de télévision… dans la foulée de sa seigneurie.

Une belle lettre de licenciement !

Le remaniement ministériel…

La première victime, David Martinon, le porte-parole de l'Elysée. Le protégé de Cécilia n'était plus en odeur de sainteté. L'épisode folklorique de Neuilly-sur Seine, où l'UMP a développé des trésors de non-sens, dévoilant à l'occasion une caricature politicienne de mauvais aloi. Déja à cette époque, on pressentait une mise au rebut de David Martinon.

La manière forte pour annoncer une mise à l'écart, l'ombre de Cécilia s'immiscant insidieusement dans les neurones du chef de l'ETAT. Je ne sais si Nicolas Sarkozy, lors du prochain remaniement ministériel, lancera la même phrase laconique, aux ministres en partance…

Pour adoucir cette mise à l'écart, David Martinon retournera à ses premiers amours, les affaires étrangères. L'énarque se verrait confier un poste de consul général à New-York. Un parachute doré, qui va s'avérer pittoresque, dans la suite des événements.

Le mariage de Cécilia et Richard Attias, devant se dérouler à New-York, au consulat de France.! La scène ne manque pas de piquant, David Martinon unissant les tourtereaux, l'ombre de Nicolas Sarkozy s'invitant en "guest star".

Neuilly..New-York..quel parallèle.La trajectoire de David Martinon, de la Seine à l'Hudson, de l'Elysée au consulat de France, et toujours Cécilia à l'honneur. Martinon se consolera, le chef de l'Etat ne l'ayant pas expédié en Papouasie… Big Apple, en espérant que le parachute doré…s'ouvre.

5 réflexions sur « David Martinon prié de ne plus paraître à côté de sa seigneurie Sarkozy ! »

  1. David Martinon éjecté (salement)
    Comme dans la « Marseillaise » on voit déjà flotter l’étendard de la tyrannie, et certains fidèles être salement éjectés. En fait il sera mieux dans la diplomatie qu’il n’aurait jamais du quitter. Il s’en va dignement, sans un mot . Il a plus de maintien que petit H. A qui le tour ? à Devedjan ? Pauvre France, en tous cas, tous ceux qui regardaient une certaine télé, ont pu constater la poignée de mains de Mme Weil à Niko et hop, elle passe devant Carla, il est vrai qu’elle est tellement grande, et Mme Weil sans lunettes, et sans David Martinon pour la chaperonner puisqu’il avait été prié de rester dans le couloir !!

  2. traitrîse quand tu nous tiens
    Pauvre petit il s’est fait jetter comme un malpropre, bien fait pour lui le roi de la lèche se fait bien avoir et en profondeur hihihi…

    Décidément chez les Sarkozy la traîtrise est de bonne augure et héréditaire

    pauvre France PUTAIN 4 ans à tenir avant qu’on vire ce Napoléon

  3. Ce comportement dénote un danger de plus en plus grandissant : le Quinquennat, tel qu’il est vécu par le Chef de l’Etat, permet ce genre de dérives…

    Dans un régime de Septennat présidentiel, nous n’aurions jamais assisté à ce genre de comédie : les conseillers étaient à leur place, même s’ils se déplaçaient très souvent à l’étranger et en Province pour effectuer des missions confiées par la Présidence ! Mais, jamais, on aurait vu un Conseiller se retrouver dans une ville en tant que Candidat aux Municipales, puis se faire débarquer manu militari !
    Je me souviens des conseillers, que l’Elysée préparait pour les mettre au devant de la politique !

    Le Quinquennat présidentiel s’apparente à une monarchie absolue !

  4. Martinon -Aoun-Hezbollah ?
    Selon le quotidien koweïtien « Al Seyassah », la décision de remercier le porte-parole de l’Elysée, David Martinon, a été prise depuis plusieurs semaines. Mais son annonce a dû attendre la fin de la campagne des municipales pour éviter les retombées néfastes du limogeage. Le quotidien croit savoir que Martinon a fait les frais de ses relations avec le Courant Patriotique Libre du Général Michel Aoun.

    Cette information n’est toujours pas confirmée de sources sures, mais elle prouve que le quotidien koweïtien poursuit sa campagne hostile au courant du général Aoun (le CPL) et à sa politique. Le 13 novembre 2007, il avait mené une première attaque frontale contre le Courant Patriotique Libre, l’accusant de mettre ses réseaux en Occident, et notamment en France, au service du Hezbollah.

    Aujourd’hui, le journal poursuit sur sa lancée et souligne que « David Martinon, un ami de Simon Abiramia et de son épouse Fabienne Blineau Abiramia, responsable de la section libanaise de l’UMP, a été éjecté de son fauteuil de porte-parole de l’Elysée en raison de cette proximité, profitable au Hezbollah ». A en croire, « Al Seyassah », les Abiramia auraient influencé Martinon et l’auraient convaincu de « la justesse du combat du Hezbollah, au point que le désormais ancien porte-parole de l’Elysée a rapproché Simon Abiramia de Claude Guéant, secrétaire général de la présidence de la République française ». Cette infiltration a aussi permis à Martinon de tisser des relations étroites avec le Rassemblement pour le Liban, l’association-relai du CPL en France.

    Sans dire un mot sur la probable nomination de Martinon comme Consul à New York, et sans évoquer son rôle dans l’élection municipale à Neuilly sur Seine, le fief du Président, le quotidien koweïtien ârle uniquement du « limogeage de Martinon qui vient sanctionner son ouverture sur le CPL et à travers lui sur le Hezbollah », une politique qui s’inscrit en « flagrante contradiction avec la ligne stratégique tracée par le Président Sarkozy et qui consiste à soutenir la Révolution du Cèdre dans sa revendication de la souveraineté et de l’indépendance du Liban », rappelle encore le quotidien.

    « Al Seyassah » souligne enfin que « le remaniement gouvernemental qui doit intervenir après les élections municipales en France pourrait écarter certains responsables de l’Elysée, et des ministres qui ont exploité leurs fonctions pour s’ouvrir sur certains pays arabes [la Syrie, NDLR] de façon opposée à la politique étrangères de Paris ». Parmi les responsables qui seraient sur un « siège éjectable », le quotidien ne cite que le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, qui avait effectué plusieurs missions au Liban et en Syrie.

    Bien que ces informations soient plausibles et réjouissent tous les souverainistes libanais et leurs amis à travers le monde, qui s’inquiétaient de l’ouverture française sur le régime tortionnaire du Baas syrien, il n’en demeure pas moins que le journal quotidien va vite en besogne. Il convient de prendre ses affirmations avec pincettes.

    MediArabe.info

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