Alors que la participation officielle du président syrien Bachar Al-Assad au défilé du 14-Juillet suscite toujours autant de réprobation au sein de la classe politique et de l'armée, une source au sein de l'Elysée a tenté de défendre cette décision, affirmant que l'attentat du Drakkar, qui a coûté la vie à 58 soldats français le 23 octobre 1983 et dans lequel nombre d'observateurs ont vu la main de Damas, n'est pas le fait de la Syrie mais du Hezbollah et de l'Iran.

Sarkozy essaie-t-il de surpasser Chirac dans le cirage de bottes des assassins arabes ?

Après avoir craché sur les victimes de Lockerbie pour plaire à Khadafi et ignoré les parents de Louis Delamarre, diplomate français assassiné par Assad, Sarkozy jette les soldats français assassinés par la Syrie en 1982 dans les poubelles de l'histoire.

Assez c'est assez. Si Sarkozy n'a pas d'honneur, ses citoyens en ont.

Y'a-t-il encore quelqu'un à l'UMP pour sonner l'alarme ?