Comme un air de bleu

La politique a encore sonné. Hier encore, une nouvelle vague a envahit notre paysage politique. Avec plus de 400 sièges à l'assemblée national, notre nouveau gouvernement surfe sur une vrai légitimité électorale raflant ainsi l'un des meilleurs résultats sous la cinquième république.Les détracteurs de L'UMP disent qu'il ne leur faut pas avoir un grand score, mais eux à leur place auraient ils cherchés à avoir un maximum de siège ou un minimum? Désormais nous attendons avec impatience la réalisation de promesses tenues lors de la campagne, mais déjà, nombre d'entres elles ont été tenues comme la parité ou encore l'ouverture, qui devrait continuer à partir de dimanche prochain. Nous pouvons désormais nous demander si une force politique serait capable de tenir tête au premier parti de France qui a ruiné le front national, mais qui a mit le modem à terre, sans oublier qui à supplanter le PS. Attendons de voir ce qui sera fait, mais déjà beaucoup d'entre nous , électeurs, sont confiants, et optimistes en ce qui concerne les années à venir.

Certains syndicats sont même satisfaits de certaines mesures, et certains membres du PS ont intégré le gouvernement non pas qu'ils ont trahis leur parti le PS, mais simplement pour servir leur pays et essayer d'arranger ce qui ne va pas plutôt que de critiquer sans cesse ce qui est fait.