Chirac : une retraite enviée

Jacques CHIRAC doit être content d’être maintenant "à la retraite". En effet, il touche 18 800 euros par mois, soit un montant trois fois supérieur à son salaire de Président de la République, grâce aux activités et …

mandats qu’il a exercé durant toute sa vie : magistrat, député, Président du conseil général de Corrèze, conseiller municipal de Sarran et Maire de Paris.

Chacune de ces fonctions lui donne droit à une pension, le cumul des retraites pouvant exister.

A noter que les élus de la nation (Députés, Sénateurs, Président de la République), les commissaires européens et les membres du Conseil Economique et Social bénéficient de régimes de retraite très intéressants.

4 réflexions sur « Chirac : une retraite enviée »

  1. Erreur ! Un conseiller municipal ne cotise en aucun cas pour sa retraite. En conséquence, il ne touche rien de sa fonction de conseiller municipal !
    Il serait vraiment bon de vérifier à fond certains articles de ce site avant de les diffuser…et de corriger également les fautes d’orhographe et de grammaire dont se moquent divers rédacteurs !

  2. Puis, lorsqu’une personne se retrouve parlementaire, elle cotise à une caisse de retraite spéciale ! Il est donc normal que le Président Chirac dispose de telles sommes pour vivre.
    Je suppose qu’il a du cotiser également sur ses émoluments reçus lors de sa mandature en tant que Maire de Paris…

  3. Puis, la Constitution de la Vè République stipule que tout ancien Président de la République est Membre de droit du Conseil Constitutionnel, à moins qu’il ne sollicite un mandat parlementaire ! Ce fut le cas pour le Président Valéry Giscard d’Estaing, qui, étant d’office écarté du Conseil Constitutionnel fut élu Député dès les Elections législatives de 1981 !

  4. Par ailleurs, toute personne siégeant au Conseil Constitutionnel est inéligible pendant toute la durée de son mandat. De plus, elle se doit d’adopter un droit de réserve et d’être au dessus des partis (donc, ne plus militer).

Les commentaires sont fermés.