C’est quoi l’Amour ? Le vrai ? Le juste ? Le sincère ? Celui qui n’a ni barrière ni frontière ?

C’est comme un rayon de soleil qui réchauffe,  une création divine…

L’Amour n’est ni dans l’attente, ni dans l’exigence et ni même dans l’espérance…

L’Amour est inconditionnel. Et tout individu capable de percer le secret de l’amour ne peut qu’être récompensé des dieux !

L’alchimie de l’amour, celui qui est sûr et sage, est couronné de succès. C’est une métamorphose qui prend naissance dans le coeur, grâce à l’extraordinaire talent de ce sentiment. 

L’Amour, c’est le plus grand prêtre du plus grand temple. Il faut être digne de lui comme il est digne de nous.

L’Amour est un artisant, pas un philosophe… C’est une propriété magnétique qui a un pouvoir miraculeux.

Quelle juste proportion que cette couleur pure qu’est la lumière de l’Amour…

Au contact de l’Amour, les sens s’élèvent et prennent la parole.

L’Amour, dans sa chaleur, est une qualité froide qui a un effet fraicheur dans la fluidité que cela apporte. On sent les éléments en harmonie dans l’Amour.

 

 La nature tire toute joie de la nature et c’est d’une logique presque implacable quand les révélations mystiques se forment.
Ce savoir m’emmène dans la perfection de l’Amour. Je ressens la vie éternelle de l’esprit, l’Un qui est le Tout.

Il y a deux forces, toutes les deux enfermées dans leur harmonie autant que dans leur opposition.
C’est une reconnaissance de notre dualité : l’amour et la haine, la joie et la tristesse, ou encore la vie et la mort, la disparité la plus dérangeante de toutes dans chacun des tournants de notre existence humaine.

Ce mythe qu’est l’Amour, cette religion qu’est l’amour, cette philosophie existante, sont le fruit passionné d’un besoin ancré.
La fascination du cosmos de l’Amour figure dans notre légende. Elle se manisfeste dans l’unité parfaite. Quelle frappante évocation que cet idéal n’est-ce pas ?

Un ange un jour a dit :

"La moitié de son corps était fait de glace et l’autre de feu ; et pourtant nulle contradiction ni inimité entre les deux."

L’Amour est le plus grand mythe de la création, c’est l’état originel de l’Unité parfaite.

Se sentir irradiée d’une étonnante énergie où il n’y règne aucune dualité… ahlala… je rêve… je rêve éveillée… mais que c’est bon de vivre son rêve…
 Cette définition de l’univers me plait, elle se fraye un chemin et par inadvertance ?, vient danser sur les vagues de mes ondes…
Elle s’introduit comme l’air dans l’eau et l’eau dans l’air, ça met de l’Ordre dans le Chaos… alors l’oeuf éclot… les principes se séparent…plus de coquille, plus de limites, plus de barrières ni frontières…

Mais il ne faut pas confondre amour et possession. L’Amour ne fait pas souffrir alors que la possession peut apporter les pires souffrances.
C’est l’instinct de propriété qui fait mal, pas l’Amour.
L’Amour est à base de haine quand on s’arrête dans la personne pour faire nos "provisions" et pour lui "bouffer son énergie".
L’Amour est possession d’haine quand à peine ce don accordé, il se fait de servitude et d’esclavage.

"L’Amour, c’est comme les deux rails d’un train, chacun sa voie et on avance en parallèle, main dans la main." (Cette phrase n’est pas de moi, je l’ai peut-être même déformée et amplifiée… Il me semble que j’avais du la lire un jour dans un livre de Paolo Coelho dont je suis fan). L’Amour, c’est regarder dans la même direction, même si on emprunte une voie différente. Si l’autre voie flanche, on peut ralentir sa course, s’arrêter pour épauler, aider, soutenir, secourir… Mais "pousser" n’est pas "tirer"…  Et quelque fois, nous devons faire le choix d’emprunter une autre voie pour poursuivre notre route, car sinon, le schéma du déraillement peut se reproduire encore et encore…

 

L’Amour, c’est la liberté de rêver… Ohlala j’aime cette phrase, elle est sortie toute seule…

 

Aimer, c’est vouloir être libre, c’est rêver sa vie et vivre ses rêves.

Un petit extrait que j’ai noté dans un cahier un jour et que j’apprécie :

"Même l’époque accablée est digne de respect, car elle est l’oeuvre, non des hommes, mais des humanités, donc de la nature créatrice, qui peut être dure, mais n’est jamais absurde. Si l’époque que nous vivons est dure, nous avons d’autant plus le devoir de l’aimer, de la pénétrer de notre amour, jusqu’à ce que nous ayons déplacer les lourdes masses de matières dissimulant la lumière qui luit de l’autre côté." Ratheneau

 

Bon, je vais m’arrêter là pour aujourd’hui… Trop de théorie tue, la juste mesure, la juste mesure !

 

Allez encore une petite dernière…

 

Dans l’ignorance, celui qui voit devient ce qui est vu, dans la sagesse, il est le voyant…

 

JOYEUX AMOUR A TOUS !

 

 

main dans la main, la dualité s'unit à ses oppositions