C’est ce qu’affirme le député PS, Pierre Moscovici et d’autres politiciens, notamment du PS, pour qui la « première dame de France », devrait être entendue par la commission parlementaire chargée d’enquêter sur la libération des infirmières bulgares et du médecin palestinien.

Cécilia Sarkozy, tantôt présentée comme un émissaire personnel du président français, tantôt comme une personne engagée dans l’humanitaire, a en effet joué un rôle assez trouble dans cette affaire, mais aurait précipité la libération des soignants incarcérés en Lybie.

La commission tentera de déterminer si la France a promis quelque chose à la Lybie, malgré la négation du président Sarkozy. Elle tentera également de déterminer le rôle joué par sa femme, Cécilia Sarkozy.

Le but est clair : Tout doit être rendu public et il ne doit plus y avoir de négociations secrètes, considérées comme anti-démocratiques.