Bonjour tout le monde.
Suite à mon article "Entretien avec Jean-Galli-Douani (Clearstream-EADS le syndrome du sarkozisme)", je me suis retrouvé dans l’obligation de supprimer certains passages qui apparemment ont eu le don de froisser certaines "consciences".
Notre Président, Fabien Bardoux, s’est vu signifier par lettre recommandée de modifier certains passages du dit article sans quoi une action pénale serait intentée.
A ces censeurs:
"La liberté d’expression se voit bafouer par ces agissements anticonstitutionnels illustrant parfaitement la dérive actuelle. Le pot de fer voulant écraser de son mépris le pot de terre."
Pourquoi ne pas venir débattre ?
Personnellement je ressens cette censure comme un aveu !
Le népotisme est instauré, le pays des droits de l’homme ne devient plus qu’un mythe lointain. Déjà que l’on vous montre du doigt par cette montée de xénophobie qui s’installe dans l’Hexagone…
La diffamation, un mot très à la mode dans l’empire sarkozien. Derrière ce mot se masque l’objet réel de cette volonté: la censure ou comment faire taire une démocratie !
Les affaires s’enchainent, je ne citerai aucun nom, messieurs les gouvernants ne pourront déployer leurs artifices pour tenter de noyer le poisson.
La collusion polito-financière dans toute sa splendeur.
Une main mise sur les médias, une volonté affichée de neutraliser à tous les prix Internet, en créant Loppsi sous prétexte de lutte contre la pédopornographie, une façon de pouvoir à leur guise censurer voir fermer des sites par la création de liste noire…
Ce court article n’a qu’un seul objectif:
"Tribune libre: à chacun d’apporter son témoignage, de réagir à cette volonté de museler tout propos que ces sieurs jugent diffamatoires".
Que pensez-vous de cette façon de faire taire les consciences ?
La justice est-elle corrompue ?
Devons-nous accepter de nous taire, de se plier aux exigences d’une oligarchie maffieuse ?
Cet article vous appartient, à vous de le faire vivre et d’étaler vos opinions, vos convictions.
A ce titre il ne faut pas oublier que Come4News est toujours censuré en Tunisie…d’ici que le gouvernement ait dans l’idée d’appliquer la censure…il n’y a plus qu’un pas !!
A vos claviers !!
oui MICHEL, car il y a certainement des failles dans le firewall !!!!!
{youtube}U7ksNJJGuS4{/youtube}
Michel,
Je commenterais avec joie ce nouvel article.
Vous savez, j’ai lu quelque part que, pour s’assurer l’impunité, il ne fallait pas faire les choses qu’à moitié.
Le secret est au contraire de les pousser à l’extrême, jusqu’à l’absurde. Car si vous faîtes ainsi, le peuple ne croira plus ceux qui vous dénonceront, pensant qu’ils exagèrent.
C’est vraisemblablement la stratégie de talonnettes et sa clique.
Pavel Šarközy
Logo-neni
Adresa: čp. 826 40779 Mikulášovice Česká Republika
[b]responsable de la communaute gitane autrichienne !!!!!!!![/b]
Jean vient de m’adresser un complément:
J’ai la confirmation qu’il s’agit bien d’une lettre de menace et d’intimidation de la part de Maître Stasi, avocat de Mr XXX à l’encontre de mon éditeur, il ose même réclamer 4000 euros sur mes ventes !
Je prépare une plainte pour faux et usage de faux en écriture publique contre Mr XXX que je déposerai au Procureur de la République du TGI de Paris (c’est un joker que je gardais dans ma manche).
Cette plainte fera ressortir toutes les malversations et autres détournements de fonds publics depuis 1993.
Quant à mon avocat il va expliquer à Maître Stasi, la bonne tenue et l’art de la contre-attaque.
La guerre est ouverte, mais j’ai gardé des cartouches.
Le plus intéressant est à venir !
Je ne comprends pas bien le pourquoi de la plainte pour faux et usage de faux…
Poissonrouge,
comme indiqué Jean Galli-Douani avait encore bien des cartouches, et cette plainte se démarque de l’article. Jean est en possession de nombre de documents qui prouvent que Mr XXX est corrompu jusqu’à la moelle, et bien évidemment ce n’est pas le seul concerné.
Bye à plus pour la suite.
reponse à poissonrouge
je publierai lundi des docs officiels, notamment des archives nationales qui démontre que dans le cadre de ces affaires Mr XXXa produit un faux à la justice.
Ces docs doivent être scannés afin de les diffuser.
Sacré Alexandre le grand, ce Monsieur XXX ! Il va pouvoir faire la java !!!
TZARKOZY !
« Ils étaient au courant, mieux, ils en étaient les organisateurs »
Humanité Quotidien
14 Février, 2005
société
Pour Jean Galli-Douani, les ministres de tutelle ne pouvaient ignorer ce système de commissions.
Quelles preuves avez-vous pour étayer vos accusations ?
Jean Galli-Douani. Je détiens actuellement des documents accablants provenant du ministère de l’Intérieur de l’époque. Ils sont difficilement attaquables, car signés de la main des personnes incriminées, comme Alexandre Jevakhoff, qui était le directeur de la programmation, des affaires financières et immobilières, ou Claude Guéant, qui était à l’époque directeur général de la police nationale et, à ce titre, membre de la commission d’appel d’offres du ministère de l’Intérieur. À l’automne dernier, j’ai d’ailleurs rencontré Charles Pasqua – à sa demande – sur ce sujet. Il a paru surpris de voir ce que je détenais. Il m’a soutenu qu’il n’était absolument pas au courant de tout cela. Mais comme il m’a – invité à venir le voir, c’est qu’il devait subodorer que les ennuis allaient commencer.
Selon vous, quelle était la destination de ces fonds ?
Jean Galli-Douani. Première certitude, confirmée par le service central de la prévention de la corruption (SCPC) : ces fonds ont été destinés à d’autres usages que ceux de la comptabilité publique. Ensuite, on vient d’apprendre de la bouche de l’ex-préfet Marchiani que les fonds dont il disposait en Suisse pour ses « missions » provenaient de société dans le cadre de marchés…
Vous établissez un lien – direct ?
Jean Galli-Douani. Pour le moins, puisque les personnes interrogées par le juge Courroye dans le cadre de son enquête sont les mêmes que celles qui, à mon sens, ont élaboré, à la même époque, le système de commissions dont j’ai été témoin au sein du ministère de l’Intérieur. Ces gens ont affirmé au juge ne pas être au courant de systèmes de ce genre. C’est un mensonge. Non seulement ils étaient au courant, mais ils en étaient les organisateurs.
Entretien réalisé par L.M.
________________________________________
URL source: http://www.humanite.fr/2005-02-14_Societe_-Ils-etaient-au-courant-mieux-ils-en-etaient-les-organisateurs
Et malgré tout cela, ces voleurs courent toujours…
Donc, c’est une lettre d’intimidation de l’avocat d’un dénommé (voir son nom un peu partout sur C4N), adressée à l’éditeur, qui peut ou non s’asseoir dessus…
Ce genre de lettre impressionne toujours, et pour un éditeur comme Bénévent, cela peut marcher ou non…
Dans une toute autre affaire, je reçois d’Anne Larue :
«
« J’ai le plaisir de vous indiquer qu’à la suite d’un accord intervenu avec les éditions Classiques Garnier et les deux directeurs de la collection Perspectives comparatistes, mon ouvrage Fiction, féminisme et post-modernité. Les voies subversives du roman contemporain à grand succès a été remis en vente le 25 juin dernier ».
C’est la formule que j’ai le droit de vous adresser à présent, qui résulte d’un protocole transactionnel.
Le délai s’explique par le règlement de l’affaire juridique. »
Si Bénévent s’écrase, un autre éditeur (me contacter à ce sujet après le 27 août) prendra le relais…
Ce serait l’occasion de reproduire quelques fac-similés intéressants et que Me Stasi n’a peut-être pas en sa possession. Je suppose, sans doute à tort, que la somme demandée représente le montant de ses honoraires…
La democracy !!!!!!! :
Le fondateur de Wikileaks, qui fait l’objet d’une procédure judiciaire en Suède, a fait savoir que les services secrets australiens l’avaient mis en garde contre des campagnes visant à discréditer le site internet avant la publication de nouveaux documents américains sur la guerre en Afghanistan.
Tant qu’à faire, en raison des possibilités de l’édition à court tirage (qui permet d’ajuster le tirage à la demande), c’est une seconde édition revue et augmentée, qui conviendrait à l’ouvrage.
Pour Alexandre Jevakhoff, sa rapide bio publiée dans l’ouvrage semble avoir manqué quelques épisodes.
On lit dans le livre :
Ex-Inspecteur général des finances, directeur TF1, Aéroports de Paris, directeur de la programmation des Affaires financières et immobilières au ministère de l’Intérieur, commissaire du gouvernement à la Sofremi, président de l’association Oscar (groupe Vendôme), conseiller au cabinet de Michèle Alliot-Marie au ministère de la Défense, directeur adjoint de MAM au ministère de l’Intérieur puis à la Chancellerie (min. de la Justice).
Il me semble, après recherche sur l’Internet, que ce personnage a pantouflé encore ailleurs avant de reprendre des fonctions dans les ministères.
Voir aussi ses biographies rattachées dans le [i][i]Who’s Who[/i][/i] :
[url]http://www.whoswho.fr/biographie-JEVAKHOFF-Alexandre_226951.html[/url]
Peut-être de quoi donner du grain à moudre à quelques journalistes en contactant tout le monde…
Paru en 1999 dans [i]Libération [/i]:
Jusqu’à vendredi, cet inspecteur des finances était directeur de la Direction de la programmation des affaires financières et immobilières au ministère de l’Intérieur (Depafi), elle- même cliente de l’Ugap, dont Alexandre Jevakhoff était par ailleurs administrateur. Prudent, Me Christophe Cabanes, l’avocat de Galli-Douani, estime quand même que, «compte tenu de sa position, la décision de M. Jevakhoff d’avaliser des marchés de ce type laisse perplexe». Alexandre Jevakhoff nie, lui, être intervenu directement sur ce dossier et rejette la responsabilité sur «certains services techniques de l’Ugap». Vendredi, ce haut fonctionnaire a démissionné de ses fonctions pour rejoindre, après avis favorable de la commission de «pantouflage» de la fonction publique, les services du promoteur immobilier Auguste- Thouard, «un groupe avec lequel j’étais en négociations depuis octobre 1997», précise-t-il. Il n’empêche: d’autres fonctionnaires ont dû commencer à se ronger les ongles.
Cela me remémore un certain Carmona, émule de Mazarin, qui passait de chez Chalandon à des officines d’urbanisme… Là, il ne s’agit plus des prisons privées, mais, comme à Caen, de doter les tribunaux de nouveaux locaux…
Lu sur le site de [i][i]La Tribune [/i][/i]:
Un collaborateur de Maitre Stasi, empêché, vient plaider pour Alexandre Jevakhoff, conseiller de MAM, cité dans les litsings : Jevakhoff qui a appris deux ans après Rondot, qui travaille dans le bureau au-dessus, qu’il figurait dans les listings. La nausée. Il ne le saura que deux ans après que MAM ait été mise au courant. C’est curieux, c’est malsain. De 2002 à 2007, il a été conseiller de MAM, ministre de la Défense, pour les affaires économiques et financières. Pourquoi ? Pour atteindre MAM ? Parce qu’il était en charge des affaires économiques et financières ? Parce qu’il connaissait Marwan Lahoud ? Les parties civiles n’ont pas eu voix au chapitre. Pour Jevakhoff, qui est aujourd’hui directeur du cabinet adjoint de MAM au ministère de la Justice, le préjudice a été important. Je le chiffre à hauteur de 30 000 euros de dommages et intérêt.
Il s’agit bien sûr d’un compte-rendu du procès Clearstream…
Lu dans [i]Le Point[/i] :
En même temps que la Colombie, Falcone lance, fin 1993, l’opération Angola qui lui vaut aujourd’hui d’être écroué, depuis le 2 décembre 2000, à Fleury-Mérogis. Pour « amorcer la pompe », selon l’expression de Bernard Poussier livrée au juge, il est décidé d’offrir au président angolais Eduardo Dos Santos une Renault Safrane blindée d’une valeur de 1,2 million de francs. Le cadeau apparaît sous le poste comptable « cadeaux de prestige, présidence Angola ». Brenco remboursera trois ans plus tard une partie de ce cadeau à la Sofremi.
Un tel présent cadre mal avec les prérogatives de la société d’exportation de matériels du ministère de l’Intérieur. Pourtant, indique Bernard Poussier lors d’un interrogatoire, « il est évident que le cabinet du ministre [ndlr : Pasqua] a également donné son accord ». Selon lui, le président Bernard Dubois a évoqué l’opération « Safrane blindée » devant Alexandre Jevakhoff, directeur financier du ministère. Le conseiller diplomatique de Charles Pasqua, Bernard Guillet, aurait « donné son aval ».
C’était couru d’avance avec cet homme, haut comme trois pommes et qui se prend pour un grand de ce monde.
Où est notre liberté chérie ? Il est en train de l’achever….
Des nouvelles plus fraîches de l’action d’Alexandre Jevakhoff :
« [i]Le groupe de travail sur le financement de l’aide juridictionnelle, constitué il y a un mois, continuera à se réunir alors que le projet de réforme de la procédure judiciaire n’est plus une priorité législative. Sous l’égide de Bernard Spitz, président de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA), cette équipe cherche à étendre les formules actuelles de protection juridique, tandis qu’Alexandre Jevakhoff , directeur adjoint du cabinet du garde des Sceaux, en teste l’application auprès de deux compagnies d’assurances. [/i]»
Pour l’assurance dépendance, que Sarkozy et consorts veulent confier au secteur privé, c’est raté pour A. Jevakhoff. Mais avec la sécurité (vidéo-surveillance et autres missions déléguées au secteur privé) ou ce type d’assurances, de nouvelles perspectives de pantouflage peuvent s’ouvrir…
L’Etat n’a pas toujours le sens des affaires. L’histoire de l’Ugap
(Union des groupements d’achats publics) risque de le démontrer dans les grandes largeurs. Vendredi, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour «favoritisme, recel, faux en écriture et usage», comme l’ont révélé hier le Parisien et France-Soir. L’instruction devrait permettre aux juges de passer au crible une grosse centaine de marchés litigieux passés en France par la centrale d’achats entre 1995 et 1997, portant sur plus de 400 millions de francs.
Placée sous la tutelle des ministères de l’Economie et des Finances et de l’Education nationale, l’Ugap joue l’intermédiaire entre les administrations ou les collectivités locales, et des fournisseurs en mobilier de bureau, véhicules, matériel informatique » Le marché est juteux: 7 milliards de francs de chiffre d’affaires annuels au compteur de l’Ugap. Le hic, c’est la récente habitude prise par la centrale d’achats d’oublier les appels d’offre supposés mettre en concurrence les fournisseurs. Résultat: l’Inspection générale des finances a bouclé, il y a quelques mois, un épais rapport, qui a conclu à l’irrégularité de 90% des marchés passés par l’Ugap. Révélées en 1996 à l’occasion d’une enquête menée à l’Arsenal de Toulon (1), les bizarreries de l’Ugap concernent aussi un marché passé entre le ministère de l’Intérieur et Jean Galli-Douani. Cet homme d’affaires décrochait, en 1993, le marché de l’hébergement des fonctionnaires de la place Beauvau lors de leurs déplacements professionnels. L’histoire rebondit lorsque le ministère met en contact Galli-Douani et l’Ugap. La centrale demande alors à l’homme d’affaires des commissions de 5 à 10% sur des commandes évaluées à 200 millions de francs. Le fournisseur refuse et perd le marché. Sa plainte vient d’être jointe à l’information judiciaire. Elle pourrait devenir embarrassante pour Alexandre Jevakhoff.
Suite:
Jusqu’à vendredi, cet inspecteur des finances était directeur de la Direction de la programmation des affaires financières et immobilières au ministère de l’Intérieur (Depafi), elle- même cliente de l’Ugap, dont Alexandre Jevakhoff était par ailleurs administrateur. Prudent, Me Christophe Cabanes, l’avocat de Galli-Douani, estime quand même que, «compte tenu de sa position, la décision de M. Jevakhoff d’avaliser des marchés de ce type laisse perplexe». Alexandre Jevakhoff nie, lui, être intervenu directement sur ce dossier et rejette la responsabilité sur «certains services techniques de l’Ugap». Vendredi, ce haut fonctionnaire a démissionné de ses fonctions pour rejoindre, après avis favorable de la commission de «pantouflage» de la fonction publique, les services du promoteur immobilier Auguste- Thouard, «un groupe avec lequel j’étais en négociations depuis octobre 1997», précise-t-il. Il n’empêche: d’autres fonctionnaires ont dû commencer à se ronger les ongles.
(1) Le juge Jean-Luc Tournier a ordonné une cinquantaine de mises en examen, dont celle, pour «favoritisme», de l’ancien directeur de l’Ugap, Alain Hespel, aujourd’hui à la Cour des comptes.
Juste pour un test :
[url]http://www.come4news.com/woerthgate-tout-va-tres-bien,-marquises-768004[/url]
est-elle accessible ?
Je pose la question parce que, depuis hier soir, à cette heure (08:50 heure de Paris) la page ne compte que moins de 30 visites contre plus de 2 700 pour son « accroche » ailleurs (avec lien vers la page de [i]Come4News[/i] en question).
M. de Maistre s’était fait remettre la Légion d’honneur en janvier 2008 par Éric Woerth, à l’époque ministre du Budget, alors que l’épouse de ce dernier, Florence Woerth, travaillait depuis trois mois dans la société du gestionnaire. La décoration lui avait été attribuée dans le cadre de la promotion du 14 juillet 2007 sur le contingent du ministère de l’Économie.
Le lien éventuel entre l’embauche de Mme Woerth par M. de Maistre et cette décoration est un des éléments sur lesquels se penchent depuis cet été les enquêteurs chargés de l’affaire Bettencourt, sous l’autorité du parquet de Nanterre.
Fin juillet, le parquet s’était vu remettre par la Grande Chancellerie de la Légion d’honneur le dossier de proposition de M. de Maistre au grade de chevalier de la Légion d’honneur.
Le Canard enchaîné affirme que le contenu de ce dossier « montre que la demande de décoration a été traitée à l’origine – soit en mars 2007 – par le cabinet de (Nicolas) Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur de (Jacques) Chirac ».
Un circuit « incongru », juge l’hebdomadaire satirique, car l’octroi d’une telle décoration à « un homme d’affaires dépourvu de tout mandat électoral » aurait dû relever plutôt du ministère de l’Économie et des Finances. C’est peu après la présidentielle (mai 2007) que le dossier avait été expédié à Bercy, selon le journal.
Interrogé par Le Canard enchaîné, Laurent Solly, présenté comme le collaborateur de M. Sarkozy qui avait alors suivi la procédure, s’est refusé à tout commentaire.
Proche du chef de l’État, Laurent Solly a été son chef de cabinet alors qu’il était ministre, à Bercy et à l’Intérieur, ainsi… lire la suite de l’article sur Lepoint.fr
Je t’envoi cet article du Canard Enchainé à paraitre demain
Mai 2006, en pleine affaire CLEARSTREAM, SARKOZY s’est installé à Beauvau, cela s’expliquait et pour le citer: » Je veux me protéger de tous les mauvais coups…».Du ministère de l’économie et des finances ses tuyaux de Beauvau fonctionnaient toujours, il avait eu le temps auparavant d’installer des fidèles aux directions stratégiques.
Bref, son Chef de Cabinet (Laurent Solly) me contacte souhaitant me rencontrer ; serait-ce l’effet PASQUA ?
Je réponds positivement à sa demande pensant enfin parvenir à un compromis honorable mettant un terme à cette confrontation.
Deux semaines plu tard, ce n’est pas sans une certaine appréhension que je me rends place Beauvau. Bien décidé à ne rien céder j’attends de cette entrevue une mise à plat de ce dossier que je traine depuis trop longtemps. C’était malheureusement surestimer mon interlocuteur. Il me fit tout d’abord poiroter une demi-heure à l’entrée de son cabinet, puis un huissier me conduit à lui.
Une poignée de main peu chaleureuse entama nos présentations et nous installâmes autour d’un bureau.
Nous discutons devant son écran de télévision, ou Monsieur de VILLEPIN vocifère à l’Assemblée Nationale répondant aux rumeurs déjà insistantes sur son implication dans l’affaire des faux listings. Notre discussion se fixe sur mes contentieux avec la DEPAFI et d’autres directions de l’Intérieur. Il s’engage à régler cette affaire, mais je devine facilement qu’il souhaite avant tout obtenir des documents que je détiens pour les remettre à son «patron».
Ce personnage relativement jeune, d’allure insipide genre grand benêt, ne m’inspire pas confiance, ce qui me dissuade de trop en dire. L’aparté s’achève par un cordial « salutations» sec comme un coup de trique.
Toutefois il était troublant de constater, à posteriori, qu’aucune question ne se posait alors sur la destination des commissions versées. Tout le monde savait sans oser réellement s’intéresser à ces dérives. Pourtant des journalistes d’investigations commençaient à s’interroger et n’hésitaient pas à interpeller certains protagonistes du dossier ce qu’il ne pouvait ignorer. Trois articles successifs étaient parus dans la presse nationale mettant en exergue l’illégalité de ces pratiques et l’utilisation des commissions.
Après avoir fait connaissance avec ce charmant garçon est une perte de temps inutile, il n’y eut plus aucun contact avec le ministère.
MOTUS ET BOUCHE COUSUE , LUI AUSSI !!!!!
Laurent Solly, présenté comme le collaborateur de Nicolas Sarkozy ,
s’est refusé à tout commentaire en ce qui concerne la manoeuvre
d’attribution de la légion d’honneur au fondé de pouvoir de Betencourt.
I AM SO SORRY !!!!!
Au fait, serait-ce Alexandre Jevakhoff qui aurait quelque peu « poussé à la roue » le marché de la vidéo-surveillance lorsqu’il était dircab’-adjoint de MAM à l’Intérieur ?
Voir en tout cas :
[url]http://www.come4news.com/videosurveillance-un-marche-de-dupes-142230[/url]
Au fait, serait-ce Alexandre Jevakhoff qui aurait quelque peu « poussé à la roue » le marché de la vidéo-surveillance lorsqu’il était dircab’-adjoint de MAM à l’Intérieur ?
Voir en tout cas :
[url]http://www.come4news.com/videosurveillance-un-marche-de-dupes-142230[/url]
Bonjour tout le monde,
Jean vient de m’annoncer que Benevent renonçait à la publication de son livre.
L’éditeur craint trop le rapport de force avec le pouvoir.
Jean Galli-Douani est à la recherche d’un éditeur prêt à relever le combat.
D’où je suis, difficile de réagir promptement au lâchage de Bénévent.
Mais j’ai déjà signalé le fait à deux petits (par leurs tirages ou leur notoriété) éditeurs.
Je n’ai aucun doute : ce livre sortira et sera diffusé.
[i]Alexandre Jevakhoff qui aurait quelque peu « poussé à la roue » le marché de la vidéo-surveillance[/i]
attends …avec Alain Bauer ?
C’EST QUOI CETTE HISTOIRE ABRACADABRANTESQUE ?
LE CABINET DE SARKOZY PROPOSE UNE MEDAILLE EN 2007,
ET ON MET EN GARDE A VUE POUR CELA, CELUI QUI L’A RECU EN 2010 !
[b]MAIS ON EST EN PLEIN CINEMA !!!!!!!!!!![/b]
» La décoration lui avait été attribuée dans le cadre de la promotion
du 14 juillet 2007 sur le contingent du ministère de l’Economie.
Fin juillet, le parquet de Nanterre s’était vu remettre par la Grande Chancellerie de la Légion d’honneur le dossier de proposition de Patrice de Maistre au grade de chevalier de la Légion d’honneur.
La garde à vue de Patrice de Maistre intervient dans le cadre de l’enquête du parquet
sur un éventuel trafic d’influence susceptible d’impliquer Eric Woerth. »
[b]On voit, par ce geste de lâcheté, de peur et d’autoritarisme, [u][i]la censure en fait[/i]e[/u], que la Sarkozie en est à sa fin et que le Régime présidentiel est excessivement dangereux
La presse est muselée, mais elle est capable de se révolter.[/b]
COMMUNIQUE DE PRESSE.
SORTIE DU LIVRE «CLEARSTREAM-EADS , LE SYNDROME DU SARKOZYSME». Entre intimidation et menaces.
Les réactions ne se sont pas faites attendre à l’occasion de la sortie du livre écrit par Jean Galli-Douani aux éditions Benevent.
Tout d’abord c’est le site d’information C4N qui à été la cible de la censure du pouvoir. Le ministère de l’Intérieur ayant adressé aux responsables un courrier lourd de menace et d’intimidation afin d’interdire toute mention et commentaire concernant le directeur-adjoint de cabinet de MAM.
L’intervention des services de Mr Hortefeux, Ministre de l’intérieur, laisse clairement penser aux effets voulus par cette démarche pour la moins curieuse et inacceptable.
En quoi est-il diffamatoire de mentionner le nom et la fonction d’un personnage public, fusse dans le cadre d’un article relatant le parcours professionnel de celui-ci ?
C’est au tour des éditions Benevent de recevoir une missive de Maitre Stasi, en date du 11Aout 2010, agissant au nom de son client Alexandre Jevakhoff, menaçant l’éditeur de poursuites si le nom de ce dernier apparaissait dans l’ouvrage diffusé.
L’auteur précise, très clairement, que ces manœuvres n’ont pour seul but que de retarder la diffusion du livre en librairie et se dit prêt à affronter sereinement toutes poursuites judiciaires, ayant en sa possession les documents nécessaires et utiles.
Eric Woerth devant la cour de justice de la République?
Si le Ministre du Travail risque d’être renvoyé devant la CJR, il est d’autres personnalités au fait de l’état qui pourraient subir le même sort.
Aussi il n’y a pas deux poids deux mesures, à l’instar d’Eric Woerth, un courrier de Mr jean Galli-Douani adressé au Procureur Général de la République de Paris met en cause directement un membre du cabinet de MAM ainsi qu’un proche du Président de la République.
Ce courrier est accompagné d’une plainte pour faux et usage de faux en écriture publique , détournements de fonds publics et trafic d’influence.
Il s’agit d’actes commis au Ministère de l’Intérieur dans le cadre des marchés de déplacement des fonctionnaires et des expulsions des étrangers en situation irrégulière.
Il est aussi question de la remise de la légion d’honneur à une personnalité étrangère par Mr David Levitte, conseiller du Président, en 2007.