Avec Leclerc, le retour d’Amélie Etasse

Comme le monde entier s’en souvient, Come4News avait consacré un long papier à la comédienne Amélie Etasse, ce qui nous vaut encore de recueillir des commentaires enthousiastes (à propos d’elle, pas de l’article…). Eh bien, attendez-vous à savoir que « La Blonde » qui scotche toute la famille devant l’écran lorsqu’elle qu’elle vante des produits Leclerc récidivera bientôt… 

Des mois après la parution de « Total fada d’Amélie Étasse » sur C4N, vibrant hommage de votre serviteur devenu crapaud mort d’âmûûr (et toujours moribond), une déferlante de commentaires continue de louer celle que la plupart des téléspectatrices et téléspectateurs ne connaissent qu’en tant que « La Blonde » des spots publicitaires pour les produits Leclerc.

Total jaloux des commentatrices et commentateurs qui me font de l’ombre (quels talents !), j’ai évidemment totalement et rageusement supprimé leurs enthousiastes (voire délirants) témoignages, ne gardant que celui de LeChad (qui ne cherche pas trop à me ravir le titre de fan nº 1 ; et non, ce n’est pas un autre de mes pseudos d’emprunt).

N’empêche, c’est assez bien vu, même si cela reste très en-deça de ce qu’elle mérite :

« On l’aime sans trop savoir pourquoi [Ndlr., le niais !] : son naturel à l’écran, sa beauté [Nldr : ah, quand même !], son côté girl next door, ce petit quelque chose indescriptible [Ndlr : que ma future hugolienne Ode à Amélie permettra de mieux détailler]. Devant sa toute dernière pub (…), je ne peux m’empêcher de me répéter : “mais elle trop forte !”. Elle est à la limite du surjeu, mais ce serait un surjeu de second degré, excellent quoi, Actor’s Studio style. (…) J’espère que ses pubs ne vont pas trop lui coller aux basques ; ce serait bien qu’elle trouve un rôle dans un film à succès, je la comparerais bien à Audrey Lamy (…) ».

Relevons qu’Audrey Lamy, meilleur espoir féminin 2010, a encore beaucoup à envier à Amélie, mais bon, comme cela part d’une bonne intention…

Or donc, Amélie Etasse, qui s’est distinguée aux côtés de Marianne Sergent (enfin, ou l’inverse) dans Doris Darling (de Ben Elton) pendant quatre mois au théâtre Le Petit Saint-Martin – de septembre à décembre derniers –, se trouve en Afrique du Sud « d’où je vous écris pour de nouvelles pubs Leclerc », m’indique-t-elle (rien qu’à moi, hein…).

« Je commence un tournage en mars-avril pour un rôle récurrent dans un tout nouveau programme court pour HD1… Beaucoup de boulot, donc, de rencontres, de castings, de chance… La vie me sourit toujours autant… ».

Souffrez que j’expurge la suite des effusions qu’elle me prodigue, je ne voudrais pas susciter des apoplexies d’envieux. Quoique…

Or donc : nouvelles pubs, et rôle pour la nouvelle venue de la TNT. Alice Nevers, le juge est une femme, et Diane, femme flic, ont des soucis à se faire. Je vous en dirai davantage le moment venu…

Auteur/autrice : Jef Tombeur

Longtemps "jack of all trades", toujours grand voyageur. Réside principalement à Paris (Xe), fréquemment ailleurs (à présent, en Europe seulement). A pratiqué le journalisme plus de sept lustres (toutes périodicités, tous postes en presse écrite), la traduction (ang.>fr. ; presse, littérature, docs techs), le transport routier (intl. et France), l'enseignement (typo, PAO, journalisme)... Congru en typo, féru d'orthotypographie. Blague favorite : – et on t'a dit que c'était drôle ? Eh bien, on t'aura menti !

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