La poésie est une manière d’exprimer ses joies, ses peines.
On peut l’utiliser aussi pour passer un message à travers un codage universel.
C’est un échange de sentiments profonds mêlé de sincérité sans censure.
Son enveloppe renferme des mots successifs parfois réels et irréels.
Le contenu peut dépasser l’imaginaire pour l’évasion d’un instant.
On peut l’agrémenter de divers ingrédients fidèles à sa personnalité.
Ces quelques lignes que je viens d’écrire sont ma propre définition du mot poème.
Pourquoi il n’existerait que le dictionnaire pour expliquer ce que finalement celle qui le pratique sait, ce qu’elle ressent dans ses moments d’inspiration.
La conformité me semble trop canaliser pour que je suive cet aspect trop directif.
J’écris avec mon âme : celle qui guide les traces sur une feuille blanche sans me contraindre à une formalité qui ne ferait que fausser mon intégralité d’écriture.
Le sens plus restrictif n’est pas un habit que j’aime utiliser, je préfère l’excentricité aux couleurs variantes.
On peut ne pas apprécier la simplicité et l’arrogance de certains textes. Mais de dénigrer la manière de retranscrire ses émotions est un abus de non liberté.
AU DELA DE MES REVES
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Assise les yeux rivés au ciel
Je te contemple comme avant
Ce regard intense remplit de miel
Dirigé vers moi butiné de sens
Je t’imagine en soleil levant
M’enmenant un temps ta chaleur
Me couvrant du même élan
Qui me manque à cette heure
Ta tendresse soutenue que j’aimais
Sans retour tu n’hésitais pas à redonner
Sans limite tu la déversais sans compter
A la moindre détresse tu m’écoutais
Mes paupière s’entrouvent c’est le réveil
Sur ma vie réelle appauvrie d’éveil
Par l’incompréhension en latent sommeil
D’une similaire lumière existentielle
Lydia giganon kenkham écrit le 19 septembre 2011 sur la chanson Ghost ma chanson favorite……