Bon, selon la page « Mes articles », j’en suis (ou serais) à 996 articles publiés, en fait, 1004, car j’ai des retours contradictoires (en bas de page ou sur mon profil). Donc, pour un euro, vite fait, mal fait, traitons donc du site adopteunmec.com…

Si vous saviez comme je m’en fous. Trainer sur Meetic ou d’autres sites de rencontres pour faire la connaissance d’une ménagère de plus de cinquante ans férue de jardinage et de petits plats, alors qu’elle se faisait une promo de quasi aventurière avide de voyages et de grands larges… (je suis de bonne taille, circonférence de… appréciée). M’en tombent les bras. D’autant qu’il y a plein de jeunes ou moins jeunes femmes de deux fois sept à deux fois soixante-dix-sept ans dans les endroits que je fréquente. J’ai vu aussi qu’un hôtel de la rue Saint-Denis à Paris voulait tenter de louer ses piaules à l’heure. En cas d’urgence, traîner à proximité, et reprendre le gag de Woody Allen (« toi coucher, moi coucher » ; une chance sur cent, et cent passantes à l’heure).

Mais bon, on est curieux, journalisse, &c. Donc, interpellé dans le métro par l’affiche du site Adopte un mec. Après les cougars, les milfs, les candidates à l’adoption, dis donc.

J’ai fait récemment un papier sur les arnaques aux rencontres en ligne. Du sérieux, du documenté, du fouillé. Là, je tire à la ligne pour me rapprocher du millier d’articles publié sur Come4News (et sans recycler les 800 du Post, devenu l’Huffington).

Je continue ? Même pas la peine… J’ai vu aussi l’annonce Meetic sur la ligne 9. Tu peux la ou le rencontrer en prenant le métro, mais si tu veux toutes tes chances… Paye !

J’apprécie les petites genre brindille. Mais une grande et, mettons, très légèrement ronde (car elle va me lire…), rencontrée « de visu », ça le fait. Zut, sortez de votre coquille. Plein de bars, d’expos, d’événements gratos.

Je devais vous entretenir de l’éventuelle reparution de France-Soir (un tuyau de mon kiosquier), ou du site de la RATP (que je subodore cherchant à promouvoir les trajets en bus…). J’en suis réduit à détailler le bonus pack : imberbes, bodyat, blonds, minces, grands, végétariens, musclés, bisexuels (pourquoi pas trisexuels, au fait, les filles, j’ai un copain dans la catégorie, m’envoyer un courriel), non fumeurs, cuisiniers…

Mon style ? Pas fashion, pas classe, pas sportwear, pas rock (enfin, plus), pas hippie (jamais, plutôt beatnik, antan). Et la catégorie vaguement avachie qui fait encore illusion en Smalto, elle est où donc ? Intello ramollo, ex-cadre, plus vraiment bohème (sauf au loin), pas artiste (vaguement artisan d’art, mais l’expression est douteuse), plus trop aventurier (quoique…), c’est où ?

Les niais. En plus, le fond d’écran capitonné rose. Aucune agence de com’ ne leur a dit que le rose, pour les filles, ça fait de plus en plus nunuche ?

En plus, ils montent des pseudos bisounours : la pupuce, Belle Amour, babydoll, Smootplume (belge ?), La Fée Bleue (une nouvelle absinthe ?), Framboisess (sex serait mieux, non ?), Clochette, Choupinette, &c. Mais où vont-ils (ou elles) donc chercher tout cela ?

Loligoth vient d’adopter un mec en Île-de-France. Dommage, je lui aurais bien cassé ses petites pattes de derrière, en levrette. Je suis grossier ? Non, je déteints.

Les promos du jour sont tous mignons. Zalopette s’est « casée » avec un décoratif. Ben, je lui souhaite. Au fait, j’ai dépassé les 15 lignes, là ? Sur un sujet aussi dérisoire, c’est correct pour un bouche-trou…